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Le Courrier d'Ottawa, 17 Apr 1861, p. 1

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1A LINIMENT DU VERMONT of neway hoi a uk Aurvic lc ds d d cA iss Tnms-r:ronnobn-., ~ 5* élargement®" ulcéres, carie ot exfoliations des os. On nous a.rapporté beaucoup de cures ao-- complies par cet exeelent remdde, 'at nous référons nos lecteurs & notre almanach amé~ ricain que les agents ci--dessons nommés se font un plaisir de fournir gratis d tous coux qui en font la demande. 5 Dy-g&iq, affection du ccur, abeds, épi-- lepsie humeut sombre, névralgie, otc. ' De nombreuses cures da--ces maladies ont été opérées par la puissance ultérieure de cette médecine. d)l:" stimale vigoareuse-- ment les fonctions vitales, et combat des maladies que Pon pourrait eroire an--dela de son alacu:ilé. fl'. besoins du peuple ont longtemps réclamé ce reméde, 6t nons sommes certains qu'il opérera tout le bien qu?il est an pouvoir de la médécine de faire. Baume Pectoral d'A{yor, pour la prompte guénsson de Rlinmes roids, influza, entone~ ment, croup, pulmonie naissante et pour le soulagement dos malades dane une phase avancée do cette derni¢re maladie, Ce _ reméde si universellement . connu surpasse tout autre par la cure des maox de gorge et des affections pulmonaires, qu'il ost inutile de reproduiro ici 'évidence de sa Yertu qu6 pour ces sortes de maladies, il ast sans rival dans le monde civilisé. 10n f de communautés et méme de familles Tfl n'aieut point fait une expérience personnelle de ses effets. Comme chacun contait Jes | fatals résultats de ces maladies winsi A' Nefficacité de reméde, nous no pouvons faire | plus que d'rssarer le public gu'il posséde | Act,?rllemanlmh la 'mi ?:;?' avait lors-- | qu'il opérait des cures gu Out JSE juste {itre la cor--flance de 'tout e [mh- < 'main. C Préparé pat le Dr. S. C. Ayor & Co., | l.ow-fl,"Mnuchm. Prix 25 cents par boite. 25 oct--am. La meilleur remode encore le Riub-- ww.hmc.fimu mal de Dents, les Contusions, les Brulures, le mal de Téte ot les *maladics des Intestins. LE . NOUVEAU PAIN KILLER VR verta que t ces ost ur?a ri::'lu dans de communautés et n'aieut point fait un de sos effets. Con Jules Y. Getchell de St. Lonis, écrit ce qui suit:--"Jai été, durant des années affligé d'une affection du foiegni avait com-- pletement détruit ma santé. ucun reméde ordinaire n'ayant pu me soufager, mon bien-- aimé ?utaur le Rr:d. M. Espy m'a conseil-- 16 de faire usage de votre salsepareille en he disant qu'il connaissait que toutes vos prépa-- rations ne pouvait pm}m'm que du bien. Grice & Diew, votre salsepareille qui m'a guéri a tellement purifié mon unihqus je me sens actuellement un nouvel homme. Jo me sens rajeuni, et je pourrais jamais, sons ce rapport, dire assez de bien de vous. " : MnA bew Thact nioadih o bkdemidt morot t l 1009 dans ma famille, au moyen de. votre sal-- salsepareille une tameur ovaire qui avait jus-- :}n'é présent défié tous les efforts de la mo-- lecine, mais aprés avoir employ votre re-- méde durant six semaines, il ne restait aucun syimidme de la maladie." Maladies syphilitiques ou mercurielles. Nouvelle--Orléans, 25 aoit 1859, 14. J. C. Ayer,--Monsieur, jo suis, tout~ a--fait de l'zinun de votre agent sous le r:lp- 5'0" de Petlicacité de rotre salseparoille. 'al dans ma. pratique, opéré maintes, et maintes cures dans (llu cas de maladies vé-- nériennes» L/un de mais malades avait des ulcéres au gosier, & la bouche et au nez; il a 616 guéri dans cing semainos." Une antre atlaque de la meme maladie a 616 également guérie et nulle trace n'en resto sur son vi-- sage. Uno femme traitée auparavant pour lo méme mai par le .mercure, et qui avait é1é la proie d'incroyables souffrances & In suite de i'humidité, a été également rendue & la santé on guolquu semaines. Je sais daillears que d'aprés la formule que votre |. agent m'a remise, que votre préparation, sortie de votre laboratoire, ne peut étre qu'an grand reméde, et je n'ai pas, on conséquen-- |. ve, 616 étonné de ses heureux résultats. A Tout & vous fraternelement. G. V. LARIMER, M. D. Rhumatisme, goutte affection du foie. { Tudépendance, Preston, Connvetiont, 6 uillet 1859. Dr. J. . A'rsrl--Moqsigux, Pai 616 affi~ s g¢ _ pendant ongtemps d'un douleurex thumatisme chronique contre lequel avaiont échoué tous les efforts de la medecine. . J'ai eu recours & votre salsepareille dont une seule bouteille m'a radicalement guéri en | p deux semaines, de sorte que je jouis actu-- ellement d'une bie maiflaum santé qu'd-- vant d'avoir été attagué de cette maladie. s Je pense que cest une merveilleuse méde-- | ' Je pense que cest cine. I Lo e e e hidenx gonflement du cou que on n'rpella goitre 6t dout je souflrals cruetiement lenuis deox ans. MS--MM--NWM-W bama, cite le cas suivant ;--« J'ai guér. dane me fuwina clc 222 00,) T 1 Mn Sontetr d vely dP anPhid 22 l de votre salsepareille. II a opéré également Ja cure de viclent Irésipéle & fortes doses du méms reméde qui en outre guérit les én&p&hn- ordinaires. tonchite, goltre m;vnflumam du eou. Bebulon Sloan, de Prospect, Texas, écrit ce qni suit:--* Trois bouteilles de votre sal-- salsopareille m'ont complétement guéri de hideux. gonflement du on ana Fax' a2» .117 Alfred B. Tallory, Erésipele ou feu de St. Antoine, Dartre, Calvitie, Maux d'&nx, !;lv.dlvpiuo, &e. Le Dr. Robert M. Preble écrit do Salem, N. Y., en date du 12 septembre 1859 qu'il a guéri radiealement un cas dhydropisie qui menagait d'étre fll'ul et op par le moyen Prvinin cabih shntiie ieb alt s . 9iA selon votre Brasiringic., " 4 Piit on remide yotre prescription, en ites doses et &xml un mois dans n::" w\fio tulhé. Je wen est pris que trois boutei ue peau lisse et bmc%nn remplacé Ia plaie qui con-- vrait mon gorps. Je suis actuellement con-- vaincu que cette tertible maladie est chassé de mon systéme. Yous _pouvez me croire en wous déclarant que je vous considére comme l'un des plus grand: bienfaiteurs de Phumazpité qui aient existé dans ce si¢cle, et je suis avec reconnaissance votre dévoue serviteur. N ons que c'ost uns tentative temé--~ sALSLEFARLILLE -- VAYER o ifi n ripera Pour purifier le sang, et pour la prompte wfl-l o4 remdéde contre toute dou-- guétison des maladiog ehusoles, sa¥oir: le / lour dans un moment ou le ost telle~ scrofule ou tumenrs, ulcéres, éruptions, bles~ ment rempli de tant .de -.E de cette sures taches de rousseur, pustules, et tout les spece ; et nous avons retardé Pintroduction maladies de la peau, _ R du notre aprés avoir résolu de : Oakland, Indiana, 6 Juin 1859 le soumettre au publi ; nous arons consulté J 6. Ay.rtCtk,~ un grand nombre de médecina éminents, et Jcmhuun_mvw::"'mu'u""l?flt nous on nvon;'pl:l:':nn M'.Il-blp de votre salseparcille a en moi. Une | propridgires iniments ot! remédes, maladie -nrn(nhu-m'zul 616 tranmise, contre toutes donlours, des populaires J'en ai-- souffert durant ) longues années. @t nous sommies arrivés & conclusion Tlnl\l.lh'cllllillnlbfl.uulg'fll" que nous pouions nétre ds aux jambes, tantot atteignait Postomac, la iocati i les tous ; oar téte ot les oreilles qui n'était plus quune | nous a des ceite sorle: -eul-s:"m Tw-hlu&nu-ufi-daph ot awone suivi naires faifait w.-*'m lears 7 aveus ~de cet mcnnmhfinnl. an coftraire le mal | article, o4 y avous apporté q change» empirait. fin, je me suis réjoui de voir ments, puis essay6 e, ot «ommes dans un journal le Gaspel Messenger in pré-- sertains que cast m le qui paration de votre salsepareille, et vous Con> | puiase étre fait. 'Nous n'avons pas en-- uaissant, de réputation j'en ai envoyé ober~| tion de faire A notre reméde une réputation cher & Cincinnati, fen ai fait usage, et l'fl nu dépens des autres, mais nous demandons ¢16 onti¢rement guéri. J'ai pris ce rei seulement al'e-ufu- Pessai, ot a'il oat | glon votre prescription, en petites doses et | man«s e 1 YOLUME I. J. FREAM Ouffiof JOURNAL PUBLIE DANS LEs INTERETS FRANCO--CANADIENS DU CANADA CENTRAL w'"' que pendant les doux a 'ai recommandé | do l-dn":?nu- ......."'.:'L Wistor, pour in Maladic des Ponmons, et a ma connaissance, bouteilles ont #416 bues par mes quitous en ont ob~ n riarey deor cas, on fasdaine somblait dtre dbotzice, le Ces rem Pour guérit PAsthme, DAcidité on le Brile old avilamas it faw inigg usage dos M Soas e eevel Pour guérit la Touz criaide la Grippe on l: maladio des Branches, i\ faut faire usage du Bawme de Cortster Buavage dn Dro Wistar, Pomnnfinhrfldnpou' ition & Ia Consomp-- tion, il faut faire usage des * Banme de dn Dr. Wistar Mmmm il faut faire usage dos AMERS OoxicEkneEs. Pour guérir un Rhwme on une Tou il fant faire teage da Baume de Ceriater Sanvage da Dr, Davac® et Cie., puCAl'r:n: fiu;-a:,' et par Lamprovon et Campozct. Fout plus que soulager, elles guérissent promptement pour toujours. LE8 PASTILLES PULMOXAIREs pe Bayax Sont garanties devoir donner satisfaction A tout le monde. PASTILLEs PurMorare®s ox sayan Toute personne devrait avoir une boite des PASTILLEs PULMoNAIREs oz BRyan Tout veyageur devrait avoir une boite des PaSTILLES PuLMaNamREs o Bratax ' dans sa poche, Pour une boite des J PASTILLES PULMONAIRES px BRYAN Lxs Pasticues Pormonat®e br savax Se recomandent aux Chanteurs et Orateurs. Lks rastiLuss PULMONaIRES ps Baxax Sont faciles et agréables & preadre. LEs PASTILLES PULMoNatezs De BRvax Fout plus que soulager, elles guérissent Soulagent les maladies ci--desus dans l'es pace de dix minutes. Lks PastILes PULMoNAIREs nz payax Sout un bienfait fl'." toutes les clanses e toutes lea constitution. GRANDS REMEDES ! C ED CCCOTT CULMONAIRES DKE BRYAN Guérissent Ilrritation do la Luette et d Amycdales. Ls PasTILLis PULMONAinEs be nravan Soulagent les maladios ci--daans dune i« ism}u, Sruorissent de 1'Asthme, des Bronches ot de 1*Oppressions. LEs PASTILLEs PULMONATREs D€ Buyanx Gogrisgont 16° Crathomant de iuscius .. LEs PASTILLRS Pubxtonatexs oz syas Guérissent les Rhumes de Gorge et de C vean,les Maux de Gorge et les lrg:muo!?en LEs PastTiLLEs PoLMoNAIREs oz Bayan Guérissent de 1'Asthme, des Bronches ot Guérissent le Crachement de sang 'et les Douleurs de Poitrine. Uks rasticies PULMoNAIRE pr Brvan Guérissent les comencement de Consomption et les Maladies du Poumon. n irel TR ONEALIT L1 natre sont des contrefagons. Les vérifables se 'Wiamdlan{mzm de BRYAN qui est apposée sur chaque PASTILLE, Mhain i n o eecte Ee ait jamats éé présenté sous le nom TILLES PULMONAIRRs," soit dans ce ailleurs ; toutes les autres pastille naire sont des contrefacons." Les vis 6t SR U orveebuc ie g n 920 1737, et est lepremier article de ce LESPASTILLES PULMONAIRES DE BRYAN. > Soulagement e n Dix Minutes A Vendre & Québec, chez O. GIROUX, J. MUSSON, & Cie., J BOWLES, J. H. MARSH, J.'S. BOWEN J. E. BURKE et 8. STURTON, 9 fév. 1861. 107--12m. UEs PASTILLES PorMoNAIRES o (ld' ""; hfl:n. : aprés avoir. résolu de iA ml '..I ; nous arons consulté '". i7 m T i P T DOUb all mennsrandra .i!"'_" éminents, et Carre Mapeont i Ere Votre tout dévoné. RSs Ooxicenes. _ produisent Poffet gu'on on at~ E. Borpes, Médesin & Rreter Cerner Laonata®s;"" soit dang "c'e;ay--; .o: toutes les autres pastilles pulmo-- ; Me., 30 septermbre ou une Thu.r sévéres Montréal, C. E. Go;fe ot de Cer-- es Entouements. Dzcovverte zx dm--135 . Wistary et des enre qui e 'taas-- M.J. B; HUSSON, a 'honneur d'offrir ses plus sincéres remereiments pour Pencoura~ m'iflfl'fi"lwdommnu. rhpfl-t trois années qui viennent «"boonler, stil prend in tiberté de leur '_-uuvr'u-.-'apnhp-,n.. jours prét & servir l-m-nfi NOCKS, diriers on sonpers da 8OUS LE PLUS COUVRT DELAI servants «ont des altentifs t rien i-hzl p-vb:-ah*iuh entiore. Montréal, 8 mars 1061 . I1 a obtenu is MEDAILLE D'OR de Plnstitet Américain ot des prix partont on i} a 616 exposé. Pour des appareils ou des rensergnements d ce anjet, "flro-ov aA & CET appareil (dont un modéle fonctionne tous les jours au No. 142, rue Craig, & Mon-- tréal,) s'aiopte trés rapidement dans los Eiablissements Privés ot Publics, corme on peut le voir par les certificats et articles de journaux en la possession du Sonnignb. * Cest l'lTproil & Gaz le plas simple, le plus sir et le plus effectif qut ait encore été imventé. 11 s'adopte & tous les climats et A tons les 6pqu, attende qu'il n'est exposé. a étre dérangé par le froid, et qn'lr:xmit le le Gaz de toutes les substances qui le conti-- ennent, comme la Scieure de bois, la Résine, la Houille, la Lfmue, les_Os, 1'Huile, le Pain de suif ou de graines. Propurt. LALUMIERE ARTIPICIELLE la plas économique et !a plus agréable ue l'oll: connaisse. I lked 9 BREVETE POUR LE CANADA LE 10 Décembre, 1858. Breveté aussi en Angleterre, aux Etats--Unis et on France. E. BEAUMANN, Agent pour le Bas--Canada. Rue Clis No. 142, chez M Gartn Montréal 16 Fevrier 1858. ; 0. GIROUX, J. MUSSON & Cie., J. 8. BOWEN, J. k. BURKE, J. H. MARSH, J. BOWLES et S. STURTON, . B. HUSSON, L' APPMAREIL ADBIN GARE A LA CONTREFACON DU Jas-- POR CURTIS ! Rappelez--yous ?ne I'Elixir véritable est garanti, et signé de mon nom, a la plame. N. H. DO'J'NS. 1 y a sur ie marché un petit Elixir contre-- fait fabriqué Ipll Jaspor Curtis, de Saint--Al-- bans, mais i1 n'est pas signé de la main de N. H. Downs, i porte J. Curtisy & Pencre touge. . Cest une contrefagon, on peut faci-- lement le reconnaitre au signe que nous venons Pindiquer, et par le fait quil ost marqué 37) et 75 cents Yu bouteille. _ Natu-- rellement, le dit Curtis n'ose pas signer le nom de N. H. Dows, parce que co serait un faux. ' & } Le priz de cet article est de 50 cents a $1 la bouteille, et pour les bouteilles \ dessai 25 cents. II n'y a que depuis quehknu mois seule-- ment gue nous avons udn})l les bouteilles dessai, et_ nous Pavons fait afin %ue vous gni;_ai_ez essayer cet excellent reméde i peu ' o frais. les Phares 9 f6v. 1861 BOUTEILLE _D'ESSAL,--25--CENTS, Gaz d'Eclairage, \ OUS dissons mfubflu que ceile méde-- -- cine s'est vendue dans toute la Nou-- velle--Angleterre, pondant plus d trente ans, et i. toujours 6t6 garantie comme donnant une entiére satisfaction & ceux qui en out fait usage ; nous ne connaissons un seul cas oil les gous aient 616 méeon!:x.u et aient redemandé leur agent. Nous garantissons de--plus que si, lp:s- en avoir fait usage, une persoune veut qu'on lui rende son argent, elle n'a gu'd le demander aux Agents ou Propriétaires qui l'emroueronl de ln satis-- faire. Que dire de plus ? Vous fant--il wm, grand almanach rempli 'de certificats que personne ne eroie ? S'il vous faut quelque chose de plus que cela, demandez & vos voisins quiont fait usage de ce médicament, et ils vous diront qu'il est le meilieur remé~ de contre in TOl?x le RHUME las Prit S VIVE LE VIEUX REMEDE OU vermont détai MONTREA J A Vendre & Québec chez CONTRE LA TOUX. Elixit 'Bdlpiigne Vegetal 8 jauv. 1861 OE bmll'nmv&iuhhmedi ui, mie écrit sur Penveloppe la -i'nnm"-k:l 1. va , les Hotels, les Colléges, POUR LE 106 12m K DOwWng. , Boston muow Ceitiques. Ces Tyrtées ganloinétaient en vénération ; fl: cumulaient xfih les fonetions de barde, Ipr!tre, et de législatonr. Il aurnit falln voir dans in bataille, le colosaal Gaulois avec les yeux d'an blen vert, avoe, ses moustaches ronsses et pen-- m avee see lozg chevenx rougos EV Au u / r re-- P w on tien stt M mm 'un ; ou i onfi Uikaiiont en boncles flo/tantes sur ses lea nues. . Ils avaient un grand soin de ure de 1. 'I-Mmdcnmqn" int 'Institut | Lp.m.;',' Cu:l:inhmnh dOttawa, ! (Les Peuples se déplacent quelque fais, _fl:,."*""""'")' TORVRAieDDadiceet ic gieurs, qwelle était son épitaphe t . . . La voici; elle est courte, mais carac-- téristique :--« J] tomba, rit, et mou-- rut!" Remarquez, Messicurs, cette joie sublime du Gaulois expirant . . . Ajoutez A cette bravoure une taille ot une force herculéennes. Comme les Turcs et les Zouaves, les Gunlois faieaient fuir les Romains (les meil-- leures armées du monde cependant), gien qu'en criant, qu'en se laissant rowler--A demi--nus, le long des collines cécarpées, sur leurs larges boucliers : rien qu'en apparaissant tout--A--conp, avec fracas, aux yeux d'ennemis aur. pris ct terrifice d'e In présence de ces géants, ausai égmlvlntlble & entendre et a voir ane dificiles & mnmhaisk. .. contri .« m 10. T'""',""".'"K > | pour cette lecture, si J avais rousei |raviver un peu en vyous tout le fou | sacrc des nfi{'ctions religicuses et na-- | tionales ; & ranimer, sp'{'ciulcment an |sein de In jeune société eatholique | d'Ottawa, le respect du passé, 'amour du présent, et 5 fonder en quelque sorte, sur le--rappel des gl'um}es ver-- tus et des habitudes héréditaires de notre race; la foi et Pespérauce en Pavenir! -- Je--ne m'arréterai pas sur cette considération toute de senti-- ment ; son importance . méme_pour-- rait m'entrainer loin de mon sujet. Seulement, consultez, l--dessus, Dien et votre cosur, Messieurs ; ils yous en dirons plus long et mieux que tous les lectureurs ct que tous les livres du monde! . . :. Examinons & présent les Gaulois en détail et Paugsi prés que possible. D'abord, que ces hommes fussent beaux et _ bons soldats personne n'en donte. En effet, un hon soldat est esser(litiellemcnt brave, vuillm(;t. lOr, rien de lus courageux que le Gaulois, | Le Gng.lois! mais illne craignait |, ?:'une chose, la chdte du Ciel{. . . . |, € dlnger, les pr'iv.fignujde toute es. |-- oo oo d e eevRittt's pléte entre les diverses espoces du genre gaulois, provenant de In com:-- munauté origine?.... Cest qu'il doit exister sans cesse entre nous, qui somines les gallo--francs, et nos frores Porigine et surtout de religion qui gont les Gallo--Saxons, les rn})pnrts les plus fraternels, Punion la plus en-- tidre et Ia plus cordiale, anssi long-- temps que nos intéréts'et nos droits les plus chers no sauraient en souffrir, Je me croirais bien P"?"" Mwieum{,{ Sn en 1emoont __Eh bien, Messicurs, a'il m'est per-- mis de tirer comme une conclusion morale de cette petite digression,-- que doit--il résulter, pour nous, de cette ressembance plus on maing anm . I hx C dn presque, comme le Cicl, une beauté tuufours ancienne et tonjours nou-- velle!{ ... freres, tous issus de Pancienne et im-- 'mensc famille des Celtes ou Gaulois de la Gaule m\tiqnc' devenue plus tard, Dieu aidant, sous le sceptre vic-- torieux des rois gallo--franks et sur-- tout des empereurs Charlemagne ot Ns}mléonI ln velle belle France nom quelle doit jamais l}i)erdw.-, parce qu'il sera toujours vrai de dire qu'elle eatJ Rdae ou moins conmue, que nous voyons subsister encore, parmi les Galles mo-- (lernes de toutes espdce, rhu ou moins de traits parfaits de similitude. -- Ccla vient de ce .que nous somines tous freres, tous issus de--D'anclenna at is.. Souvenez--vous dos temps anciens ; rap-- pelez--vous chaques géaérations ; intorrogez voire pére, et il vous instrtire ; vos ancés tres, t ils yous répondront. Suite. > Facies non omnibus una ; nec di-- versa tamem, qualis detet esse soro-- rumy dirai--e avec Ovide!--Chacune des trois graces porte 'empreinte des traits paternels ; voild pourzuui elles ont entr'elles tant de points de res-- semblance! De inéme aussi, Mos-- sicurs, est--ce, on peut 1i t en vertu dune fraternité éloignée, plus (Deutéronome, Suntique de Moise,32.) LHP_ inuster, Messicurs,iur ces dé-- taile ' purethen ,"l& ce qu'il 'lmm de vous m 'm-;r:r. cest que Jules--Oéear, le m nt . ot . le . pacificatour . des j avait udo-qs-::h"". pournient ut oilgy," 41 eipn dn coftverte d'sne espéce de manteau on de hlonse ganloise (Bactm, Baie ou Bryon) ; grand chaque en enivre, sur-- monté d'une ningmt une bote froce Lu. hm cipaix articles de In tollette on Weuant a 'accoutrement ou & Pha-- bit ordinaire des Ganlois, ils parti-- cipait A la fois de lenr donble nature de gn'errim et ?eén chassenrs. Panta-- lons larges et liés anx mmx rbgfln!g;i_eu: vestes de to n'hopr: Om pagh uy t ~ se i ce C909 m;r-ro-.-._g.e.m.._., serait, par exemple, le chevalier, Té-- cuyer, et le servant d'armes. Le tri-- marque était exclusivement propre & la cavalerie gauloise ; On y voit la chevalerie en germe. Quant' a Paccoutrement ou & Pha-- bit ordinaire des Ganlois, ils parti-- ¢ipait A la fois de leur donble nature Nous awrions encore & parler, pour plus de développement,--in trimargue Ganlois eqé?:e d'associdtion militaire compmée trois gnetrriers comme --|__ En général, pendant la bataille, t |Parmée des Gaulois formait une es | poce de trian)fle, dont Ia pointe pre-- |nait toujours Pennemi. Scmbkhic}\ | la redontable pbhalange macéd mienne, |ce, triangle, ce coin armé, Dmu]cvcr-' |sait tout sur son passage, et fayoris-- sait ptissamment, en outre, la/résis-- tance quelquefois par trop--faible, des ancions Ganlois. Je dis par trop faible, car plus les Galls étaient im-- pétuenx dans la premiére attraque, an premier choc, plus ils perdaiont cou-- rage au moindre échec. -- Cest ce que nous contfirme Tite--Lite : " Gallorum | prima preelia, plus quam vinomm;' postremia, plus quam fominarum |" conséquence funeste de la mobilité gaunloise!. . .. . Une fois leur fougue rulmée} ils perdaient conflance ct se plaissaient A'P)c)attrc A la moindre op-- rosir,ion un peit soutenue. Comme es Francais actuels, dn moing, en fzé ] néral, les Gaulois, seuls on jaolés, | dontaient d suceés. -- Leur conflance |' n'était nullement personnelle ; elle | reposait presque toute par la valeur " qu'on nnpz)mnit & son voisin ; aussi, quand ils étrient en nombre compact et suffisant, il était bien rare qu'ils | C eussent le dessous .:; . . H Nous no DA CC 00 D ATPRTCC CE France, et en-- | trautre de MM. Thierry, l(ichekat, Théophile Lavallée, et. de tant dau. tres, sans oublier Paméricain Good-- rich, autcur de cotte excellente His-- toire de tous les Peuples. Je me bornorai & yous dire un mot de leur armure et de leur accoutrement ; la premicre était une vmiefl\parrupiie: Quatre ou cing armes 0: ensives, et presque autant «de défensives. La chevalerie du moyen Age devait les réduire a peu prés de moitié, en les bornant, au moius généraiemmt, d'une part; & la lance, & 'épée, ot an i'avclut; et de Pautre, au bouclier, & a cuirasse on cotte de maille, et au casque. N'oublions pas de dire que les anciens Gaulois étaient dexcel-- lents cavaliers, et dhabiles conduc-- teurs de chars militaires. . Les gons | du nord, entr'autre, excellaient en ce |/ enre de combats de cavaliers et con-- 5uctcnm de chars de guerre, ] . se oo en e erp t chesse _iuuf'u'fl Pexcés, soit par gout et_ par inclination, soit par vanité, soit par enthousiasme martial et par esprit mldltes(fiue; mauis les détails en seraient trop long. On peout, dail-- leurs, les trouver reproduits en entier dans les Etudes Historiques de M. de Chateaubriant, et dans les ouvrages ai (:"n?(ein.:!llt'icux des principaux an-- 10 m Cg C al_BU®, C686 pr Sepatullog mCt n teurs de 1'Histoire de France, et _ Il me resterait, Messieurs, pour vous donner plus de preuves de la belle Apparence de nos vieux soldats Gau-- lois, & vous faire la description de leur costume, de leur toilette ct de leur équipement militaire, dont ils poussérent plus tard le luxe et la ri-- missantes du ]mtriofirr'liu't-"'rl;;;;f" D Isle." 1 PC S e NT P UTHIE ur la Syrie," couyte de in Reine ffortenst', meére de Napoléon III ; et puis surtout, ce chant sublime, et {(wernis presque dire inspiré de la _nmillals'e, éclos sous les touches fré-- gais de nos jours. Nos zouaves ct nos hussards ont aussi luuz «m]:u'- Biques, seulement, plus raftines et plus varics en ooululu'}, sauf toutefois la stricte uniformité de Pordonnance militrire. -- Les cantinidres danjour-- dhui, quoique certainement . moins ' impre-mom%lel et plus habituées que les anciennes Guul':u'm aux ardeurs d'un soleil méridional, ont dailleurs bien d'autres fords & lour service que 'écume de bidre. Et quant & nos bardits, qu'il me suffise de vous en mentionner deux seulement : le pre-- mier, que yous aimes tant, © Pwr£m¢ e foroce ; tols étaient lesprin-- | an front articles de la tolletto E::h-uup Artitien do 1t tl/ete grmiownn | Peamet "":x-""'.-rmd# man hrir arethent W Tanvé e qu'il importe de vous da w-'i ner, cest que--Jules--Oéear, . le | en oc ten: Dlancheur. possible, de la frotter d'écume de bidre, "ou cervoise" (corvisia), enréos de boisson non fer-- mentée, que quefois inéme tournée, dont le guerrier ou le chasseur Gau-- lois était fort avide. Peut--tre on avez--vous deja fait ln remarque, Mes sieurs, il existe assex de ressemblance entre ces vieux Gaulois, si beaux et ai _bu:'es soldats, et les guerriers fran-- lour chevelure, "et de leurs vec de e Ia frotter °P d uP Comommes. La jeunésse de Reine avait 616 un ro-- man hrirdi ot ; mon pdre 6t son hd,'h'-wmnl-dnl,hhv'dn di tous denx leur aalut, Elle alait; on ce temipa, amoureuse ot bien--ahnée, ducachot ob pAlissait son amant at E:-dfi--ui le --views : ghevalior fim-m uu: faim., Lo bonnes monty\ mé:-'h'v.h"m, E -fl monvants des tangnce ot frore Gilles, Reine de Manrever avait an front tout ce qué In poésic 6t In beanté ponvent mettre de cotironnes. téres d _ Une moguense pourtant, quiavait l hnussé lesOZpau]ea sans pitiG lq | , Une soupnoise, qui ge cachait, pour rire, derridre Tépmis ridean de fi:i)nc drapé hu coin de la croisée! dh! que messire Aubry la détes-- tait! -- i]t qu'il Paimait ! «* Jeannin, mon ami, dit Mme Reine | & on fendtre mmgcz, Je vyous prie, que ' mon fils reléve des dévn-s. etne Je fatignez pas. EuJ e sI;?: A vos ordres, nnb}o dame, réplirslm Thomme d'armes en nluant ; au_nm vous me direz: Assez! nous mironk, " ' -- Eh1 Jeannin, mon ami! w'écria la chAtelaine avee un mouvement d'impatience. _ Dieu! maitre Jean-- nin, nous savons bien que vousa ne donnesz point ces looonn2 meéssire An-- bry pour votre plaisir!" Jeannin la regarda étonné. * Vous vous trompez, noble dane, dit--il avec respect ; clost pour mon Inisir que je suis & cheval auprér du filu de mon maitre, " de DOttatma. -- _ Aubry était piqué vivement, 1 lui fallait sa rcanche. Certes, son grand désir de toucher juste lui yenait en partie de la présence de sa thore. Mais une bonne --moitié de ce désir, soyons franc, les. trois quarts ot pout tre un peu plus, se rapportaient # lw ger_n_tillek)rm}euw. Mibitinsseta itc cctl dR uid dWarmes; prenez du champ ot fournis sez une autre course |" . --Qu'est--ce done, enfant ?" deman-- da Mme Reine. Aubry ne répondit Foiut ectte fois. Bon regard rencontra Pesil noir de Je annine qui se levait sur Ini furtif et repentant, . "Non, non, ma Meére, répo je ne suis pas bless6.," Co n'ost coup de biton de 1'Anglais qu fait le plus de mal ! Au dernier commandement de Jean-- nin, Aubry retint la bride Pinstinet et trop t({t. Son cheval obéit an mors et dévia. La lance d'Aubry :'int frapper la quintaine en dedans. Fouilleton du Cin;riot dOttawa. L'MHOMME DE PE R. premidre fois, peut--6tre; ils nuraient senti qu'ils éuiem frores, ct se so-- raient donné le baiser de paix, mais il était réservé au Christ, flI}l de Dieu, d'opérer ce prodige tout divin. uio o o d e on en in venet aurait introduit dang Rome toutes les nations du monde. _ Les hommes jus quo--l' deshéritée, se seraient réunis & Pombre de In ville éternelle, pour la romaine, aux m&mes titres qu'y étaient entrés autrefois les habitants du La-- tinm et de I'Italie Méridionale. -- On a dit que i Jules--César out vécu, il Lls eurent la meilloure part dans les dépouilles du monde. Ils vinrent s'asseoir dans le Sénat, entre Cicéron et Brutus, -- I1s entrérent dans In cité i t Allons! messire | s'6 "OTE, 60108--00sar, comme tous les ,m% se mit & fiatter 16e Gan-- | lois. istoire si courte do son prin-- ,cipn ellt m-*mfl des havts faits de ses ot en Lluticm lier de sa , "Falanda, par ce welle portait une allouette au bout je son ensoigne. :On les trouve an premier & Phorsale et & Munda, us).ihdém\m@ la-- vietoire.----Ausai, Messiours; Jules--Oésar les réoo:n.fm- saient magnifiquent. Ils lui avaient donné la vicu}n, il leur donna les richesses . et -- surtoiit M 'honneurs "u'ih ambitionngient par deasus tout, Litterature. LA CHATELAINE. PREMEE | rakin n ami, dit Mmme Reine fcz, d'c vyous prie, que es fiévres, t ne Je les flatter pour en faire des (A,continuer,) Suite La Rance Lia lance d'Aubry iintaine en dedans. , ot la gaule sonna Meére, l'§pfmdit- es hommes éeria Phomine pondit--i1, st pas le qui m'n 616 Poir dame Prng «i son file Cette foir, messire Aubry, notre jeune gentilhomme, «e disait on pre« nant du champ ; " Seoléernt J:A\nglaiu! tn vas voir si jo te manque!" Le sourire moqueur de Jearninet chose terrible! et Peffroi hamiliant de Mme Reine! La traitait--on assox comme un enfant! On avait pourlui dn baton dn mmmqnlnr"'r "Cost In main gauche wicn fait des siennes, messire Aubz,'fiit Jean-- nin avec douceur; il ne fhut jamais serror in beide:an dernier moment ; ... 8i Mile Berthe de Mantevor, votro noble cousine, vient an mafoir, -- com me on le dit, elle rondm voir votrd _ Et Jeannin, ce bon Jeannin, le plus innocent de tout et le plus mnal-- mené par Mme Reinc, Jeannin ft tombé deson haut si on lui en avait dit seulement le premier mot. Voyez ln subtilité! los mnores ne veulent point se souvenir de leurs seize ans, ot clest lmrc'e qu'clles w'an; sguviennent qwelles voient & travers Tes murailles -"le granit, qu'elles de-- ~vinem'. en un mot qu'elles sont sors cidros ! & Ce que Mc Reine avait par In puissance de sn secor maternelle, Jeannine n'en say rien. _ Jeannine ne saynit | messire . Aubry--Pnimait, Aubry, Iui, ne #en dontait gn plus, _ _ Ces mores veuves, & qui ln mort a imposé la l'lun sérieuse de toutes les responsabilités, dépassent le but par-- foig, Jeannine n'était puscanse (otre belle. Ne sont--ellos as, ces femmes, ces mores, l'oxpmsallon Ia plus touchunto de Ia providence de Dien ? Selficmont In pnuvre Jeannine n'en pouvait mais, !I fant otre justo en-- vers chaeun. Avoir seize fns n'ost pas non plus un crime. C I Rhti AntctmmentediAccs c 14 c o 1 phelin comme une seconde providen-- ce. _ Mime Reine savait tout cela ; elle n'6tait point ingrate. Elle ail mait Jeannin ; clle aimait aussi Jean-- nine, la gentille fillette, _ Mnis --elle étaitmére. -- Mais vous ne trouveres point de fename qui-- garde ce facile cosur de seize ans apros sa trentiome. année. On ne la voyait nullement, la -- , tille Jemnlnu.y Elle était hm@fi:zo ronr Mc Reine. Mais Mme Reing a devinait & travers Pépmisse gaillie de pierre. Mme Reine fi:vinnit en-- core autre chose, et ses sourcils déli-- cats se fivngnientmulgréelle. . 1 l o e L _ Quand elle eut suivi un instant de Pcsil la retraite de Jeannin, 16 beau t vaillant soldat, son ragmi se tourna rupider presque méchant, vers la par-- tie de sfws&a ou s'ouvrait cette se condé croisée,la croisée de ln_brodense aux yeux noirs, l?vnl"@;n'nne son' 'Tront "sane rides adoucit Pazur foncé de a¢s youx. Eet--co bien cependant la Reine 'd'an-- trefois t... Maintenant, le fils do Reine 'por m hn ie s oan Sufont elle est tonjours joliex--at cette' nelr6 Jeannin K.P],.é.';',,-_"-'d?-_fl'e; devint datme de now to Sdurire des fhame mgro hoi at Aveine avit alors seize était plus vaillante encore maine ayec des lovriers' 5; l# in F66 Tor Grevee, dont tisint eyafoqt donné le nom. darmes qui faisaient in chase. ho ie Ivemme nvait deviné ce de n seconde vue annine n'en savait trop ne ne savait pas que '¥--nimait. _ Messire 8'en donutait gnére non alors seize "ans. Elle ie thog g B\ q io

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