spatriik is on devint Rosutaf wl to uesn * R?brl':ul;wu houui?e, et se fustiger d'importance P' Anglais 'IP:tvvd. e «'Tiens, sedlérat, tiens? a'écria--t--il j 'tlons 1 tions t tions i}.. tiens enéore !...' '\ N frappal i'}'mudebm i'.n?&f grand éo on t . O' t' flw km 1i7 "man-- qua tout lm&fltmwmm ront Daignéen suonr: \ 09 ""'A voild commic nous on ML, :llm Rhine !'Nous feodont "gnllqnhn' nots. le lfiw Reine avait Ja téte. tournée en sens inverse, mais, néamjhnoins, elle yoyait tout cela. i'euonne w'i-- gnore,que Je "f"d lg'q' dames se mo-- fi';d' toutes les lois de"},'opt,ique. ie Reine haussa les épaules, ; Bn'ce mioment, la.lance de Jeannin toucha la quintaine sous le menton, _Lum an e}ntlelde {avité, l'e]nlevn & ixgg&? n sol.et in jeta au loin. " Bravo! cria Fierflm. --Brayo I .cria Aubry. _ ; Jeanmine frappa ses doux petites <**Merdi--Dicu! dit Mme Beine avec impatience; voici un bel e€ploit, mai-- tre Jeannin! Vous sied--il bien & votre Bge de faire montre! de votre ) force pour humilier mon pauvre fils Aubry. \.'\Jeannin ne répliqna point; mais il Jeannin avait pris, en effet, du champ ct venait n:*pnop sur la quin-- taine.' Il était inoling. sur le garrot de son cheval, et tenait sa lance de 'maniére & fl-q:g:r le mannequin de bas--en haut, de frire. ce 'bean ootg)quieomintaiu\mleverl'A%glds, le Sarasin ou tout autrecoquin de son pivot et a le lancer 'sur l6 sable. 'Messire Aubry suivait, attentif. 5 Fier:?'-le:iu avait raisongl.ll' ét]ait impossible de yoir un cavaliet plus pn?f:: que Jeannin: force, gr%ce, adresse, tout était en lui,. Son corps souple suivait les mouvements du che-- val comme ai les quatres jimbes du vigourenx destrier eusserit 6t6 la base naturelle de ce torse harmonietx 'et robuste. + Le vent et la course prenait ies che-- veux blonds, dont les. anneaux se jou-- aient sur Pacier étincélant 'du casque: »--Oui, oul, répliqua lemain ;) cest ««in--bean--cavalier .. . grand et fort, %ui est noble comme vous et moi, a pour nom le comte Otto Béring-- hem; il est venu d'Alle'nugne avec les pélérins du mont. .:. Si--je con-- mais 1'Horanie: do Fer! Diew merci! Yeicorinais tout le monde! Holi! s'in-- terrompit--i1, voild maitre Jeannin qui va montrer & messire Aubry comment 'on pique un Anglais do droit' fil! 'Voyez, ~voyez, moble -- dame;' quel 'homme d'armes fait ce |Jeannin | Vous iries & Paris, la grande ville, avant de trouver son pareil !" ' Mme Reine fronga le sourcil et dé-- tourna'la tote. m sous .le balcon oi s'accoudait ntelaine. Wm"""z er Kergarion il eit mille Lois sa vie.: B'il: avait ou que sadillo.et fiubry #'aimaient, i1' .edt | pris. sa) en eroupe etse:. fht enfuiavec, elle au A Sak Heimewe rauinl y Tot 4 ne--wou! 12. ENo so. défiait. Blle %'T.?.?mt tente d'elle--méme et mécontente d'an-- trui.> D--Ini falluit ds vietimes. «»Obh1.oh1 dit le nain, yous me --de-- mandes des : nouvelles,. noble dame? Tlest,bientdt onze: heures :¢t. j'aime vais--mieux»'diner.... Des nouvellcs! saitit/Jésns ! I1 on manque bien,«des nouvelles! No .savez--vone pas que le mangeur denfants m yolé les deux Alles:d'Haynet Beaulien,. du.. bourg do la:Rive ! * * Dix ans, onze ans, ¢a va juequ'd doukze--ans, xeprit--il ; uf:il dl e':?%n mnssi les demoiselles do dix--huit ans, ajouta--t--il tout & coup. en se tournant wers la fendtré de Jeannine ; cost.un ogre galant [ _ _ _ . f -- =~Las--tu vu, toi, enfmfi., ce monstre abominable { demanda Mmic Reine. vube=Est--il . possiblei ; a'6cria . Mme Reine; deux pauvres anges, qui n'a vaient par dix ans! "~ i. © _/ .. ,%,( A contxu®r o tls td Si done cette mon est imprati-- cable, absurde, lisable, on doit la rejeter comme funeste : car en polid'qm, ce sont les hommes prati-- mfim l6 bien ; tout le mal t hommes & théories. M. Brown a 'oublié qu'il Sagitait clx':lm la' W en lnglunt lh présentat M sur l la-- tion ; Cest ce &I'M I{ mn ©t'Onnadien, de St. Jear, i1 l nu«l- M t 86 at i. D'ailleurs, si cette idée de donner pour telnombre d'aunée tant de re-- présentants .dans les conseils de la nation, est vraiment une chose pra-- tique et juste, elle doit avoir 6té mise en pntiv.}ue dans les pays par-- lementaires ; il n'est gudre croyable que ce soit M. Brown,.ou un autre qui en ait fait le premier l8 décou-- verte. Cependanty on ne la voit nul-- le part ; le prhmigl représentatif lerrt absurde, s'il étaitabsolu ; da'uo- 8ly ovnituLW partout dans de juste bornes, seulement au chi&}e d'Ames, mais & la richesse et a l'inportance des localités. VoilA la pratique de l'Angleterre; telle a étf aussi la: conséquence du fameux bill de la Réforme. oa _ WVadte impérial de 1854 permet de m.&-fimmww ,.om ne doit . envisager . les fi%l:" 2dhme' % nl;" '-uems;f:ée de chi et d'abstractions. :'mflnestd imais non d':ngmm' nénter le M hi dine mnues. ie I'homme n'est pas comme un chif-- fre ; car un' homme ne vaut Yu un autre homme ; la loi civile elle mé-- me en établissant Ja condition de chaque personne régle l'ordre, la hiép@J; les préséances, et dit que, humainement et politiquement par-- Et d'abord, la représentation basée sur ls population est--elle une ques-- tion ?pruthuc, constitutiounelle _ et Justef .. -- > 0 0_ -- @E"r'm'f'fl 9 hy o yA s 30 fi'b% tous lu'rh'c de cette ville, ibd dt par consiquent se res, sans doute, dans la distribution de notre feuille; clest un mal augquel nous . Comme vient de le, dire Thon. J. A. n,:)donbld, dans un excellent dis-- cours prononcé vendredi soir a la Chambre d'Assemblée, si tout ce qu'on a dit sur cette, grave question avait, été recugilli et imprimé, Popi-- pion publique n'gen nnnh pas besoin davantage pour. se former et se pro-- moncer. »Entre tous ceux qui ont Parlé dans ces débats, ouverts dos le endemain de PAques, nous devons distingner le Premier Ministre, M. C:é'tier,et son collégue du Haut--Ca-- nada. Tous deux, chacun au point de vue de la partie du pays qu'ils repré-- sentent, ont: presque tout résmn}(: et f{faenté ce qu'il 3 avait A dire sur la ?eprésentation d'aprés la Popula-- .. I1 ne sgra done pas hors de propos de traiter la méme question sur le Gourrier, Wautant glul que on sait maintenant & quoi sn tenir. sur les idées de ceux qui tiennent de prés ou ;i;dloin aux intérdts du Ctma(Yu Cen-- tion, CeOonrries b'Ottaton u, Ottawa, 24 --Avril, 1961 population. a portera la bakance d leur terre pout chan-- wobAie phby m notre journal, de J btner en idns > sc B citicicaia cce ul un Frangais, nn"?huse, ne sont nul-- lement disposés & se trouvor compa-- triotes. Il en serait ainsi avee nos voising. _ Nos rapports avec nos fréres dorigine anglaise est différento, nous nous sommes habituées & leur carac-- tére, nous avons contracté m&me quel-- ques unes de leur habitudes par nos rapports journaliers avec eux. . Mais pourrions--nous | contracter . d'autres affections et d'autros mceurs, nous soumettre & de nouvelles législations, mous ne pouvons le croire, et nous eroyons aussi en réfléchissant sérieuse-- ment que ce cri d'anuexion n'est ni Flm ni moing q'u'\m Canard ot que on a voulu parler de l« confédéra-- tion_des {rvvincm du Nord au lieu des Etats-- Tais. Nous avons joté le premier cri d'alarme, yu que les inté-- rdts du IlIan-Cnnn&a y sont pour y "d* Rameay est Panteur g:me s6 rie ayant til né-- Ti : Za Prance aue Clanics. Dojs il a :bh& un : remarquable volume lnr Acadiens et les Canadiens. 1 continue see voyages : il: parcourt le monde, #'arrétant partout on la Fran-- ce a posé--une tente, a fondé une co-- lonie. Il se baisse pieusoment sur ces westige amorés, voudrait ranimer ces foyers--bteints ot faire 'roverdir ces hlm- desséchées. Dernigrement, il. en Louisiane parmi nous, re-- 'mt les documents, dn::fin les j ues ot t une belle pa-- 30 Risturiqns £ notre tolonis." -- j b otq-nummdens m....m:::m&: quelque chose, chacébé sexprime en parlant de Tan tour de m ar:'a;lom'a & Dans la plus grande partie de 1'En-- rope, la classe riche posséede la con-- naissance--de plusieurs langues, de manidre & communiquer sans diffi-- culté les idées dominantes, la religion, les nceurs, la mmanidre de juger et de sentir sont semblables le fi:;ucoup dégards. . Malgré tous ces rapports communs, un Anglais, un Allemand, Qu'est--ce qui forme des rapports en-- tre les hommes # -- Une mime langue comme moyen de communication, des resaembfances dans la manidre de penser et de sentir, des relations com-- rounes, (llui acquidrent plus facile-- ment de la consistance, loraqu'on est né dans la méme ville ou dans le méme pays. Wlsf ib y Tout cela a été prouvég dans le temps, et los plus grands admirateurs du gouvernement républicain out été forrg d'avouer qu'aprés tout, Pannex-- ion serait ou Jeviendrait une cala-- mité Pnblique. aid eE aW . Nous es%rons que le télégrame quidisait "Northern States" avait une autre signification, et voulait dire les provinces du N. B., Ile du P. E., car lous ne pouvons croire que M. Mc-- Dotugal aurait ainsi perdu la raison, ot suivrait les traces (f: l'infortuné 8. Hogan. On a prouvé dans un temps que la république Américaine était unie ou paraissait Pétre par les liens indilsolu%les de la fraternité, que Pgsk nexion était une impossibilité, (flfislle aménerait avec elle la destruction, si non compléte, du moins particlle de notre langue, de notre religion, et de notre nationalité. Berait--il possible que le sujet si usé de Vannexion reviendrait encore sur le tapis, ot serait discuté en de-- dans comme en dehors des Chambres. Hélas! oi en sommes nous? Est--il ible qlno le fanatisme puisse con-- msre si_loin! Demander ou cher-- cher Awannexer anx Etats--Unis est le plus grand acte de folic qu'on puisso imaginer, _ Demander Pannex-- ron dans le moment nctuel, ce serait vouloir 6}')011501- la guorre eivile, et avec elle Panarchie; vouloir In ruine oomg)h':te de notre pays. Co serait vouloir de plus, unir nos maux qui sont moindres & ceux plus grands d'un gouvernement divisé. Nous apprenons que M. McDougal vient de I&r}en.wr en P]oin Ea.rlemeut ue si on n'apportait 'autre re-- ?nédss aux maux cumzs" ar Punion, qu'il se formerait une al)inums entre le Haut--Canada ot les Etats--Unis du Nord. a Cela at--il 6t6 dit? nous no yons le croire. : , temps vers le Bas--Canada. Voild en quoi la question de la re-- présentation bagée sur la population affecte nos intéréts. Ponssons la chose plus loin, et ad mettont Papplicaticn de ce principe quelles seront les suites pratiques ( (Suite au --prochain No.) _ Est--il une seule Joi du Bas--Canada gnn'nklonclapalr]ul:i noug; si son est bienfaisant,.il Pest aussi pour r;ro:.mb est le frore dlll;osl. urice,'si au.contraire son tarif est funeste, oest anssi notre malheur. Tesgens de Toronto tournent les yeux vers 'Ouest, vers Washington, vers les grands Lac ; nous, nous les tour-- nons instinetivement et dans le méme 'ile y oduitd, mm*u Canada est u"na débouché naturel et le marché 'de notre industrie Bous le rapport politique et national nous / avons. eofstemment . marché Tows a00eln, "ruur,' o nos nos familles. S/isgler 'eux.(;oul:'b:: vre la destinée du, Haut--Canada : se-- rait le suicider. La rivigre des OQutgougis ct le flouve L/'ANNEXION DE is50 VIT-- ELLE ENCOREt... De son ooté M. Ramean a adressé Voigi comme le rédactenr du Mes s prétexte de faire justice, io ainitce sds in e ho Canad dn comat dn ln'g eprésentation h& pou A Laprairie Pimondation avait plus tot commencé sos ravages; Peau y est d'une hauteur considérable et dépasse tous les deé= bordements précédents. On voyait dimanche le pavilion de détresse hissé dans Paprés-- midi. Nous n'avons ancun détail précis de Laprairie, mais on nous dit qu'il y a ot aura beancoup de pertes et de mathours. A Phou-- re o% nous dorvons ces lignes, Pean n'a pas )mpri-m cours ot d'Enormes monta-- ! gnes derglace stationnent devant !a ville. 8i Ia Corporation no vient en udnu"mb- lier« pour sauver les personnes ot rotifer les marchandises des voutes, on no sait pas oi sarrdiora lo désastre. La ciroulation so fait que difficilement dans les endroits submer-- ges anssi nous ne pouvons donner aujour-- 'WPhni un compte détaillé do tous los ravages produits par ce fléam dévastateur; dans notre prochain namére nows reviendrons sut ce wojot. . La Cuepe. T Hier, 15 du courant, certaines partios de In ville présentaient un spectable curieux et d'une tristesse navrante. . Tout le Gritfin-- town, quelques parties des faubourgs Récol-- 'Tet, St. Joseph et St. Autoine, la tue dus Commissires, la roe St. Paul & quelques endroits, la rue McGill et la Place des Com-- missaires étaient complétement inondés. Dans la nuit de dimanche & lundi; une di-- gue s'6tait faite en bas de Montréal et Jans quelques heures ce terrible déberdement out lien 'Date 16 Griffintown, i y a de 5 & 10, quelquefois 12 pieds d'eau; quelques per-- sonnes.ont déja 616 submergés dans ce rapide gonflement du fleuve; la plus grande activi-- 16 régnait hier ét régne encore anjourd'hui dans cette partie de la vilie pour operer le sauvetage des personnes qui ne peuvent plus habiter leurs maisons envahies par les eaux. Cet accident si désastreux joint & la misére qu'il y avait deja dans le Griffintown fait de ce liew un vrai théatro de désolation. Des pertes immenses ont aussi 6t6 occasion-- nées par ce malheut si subit; les caves, dans !a rue dos Commissaires étaient pres-- que toutes remplies d fleur, grains, liqueurs on d'autres marchandises nouvellement im . portées d'Earope; tous ces effets se trouveut aujourdbui on perdus ou considerablement endommages. On cite des marchands qui perdent chacun £10,000 par ce désastre. [' Inquirer de Trois--Rividres nous npprenique Peaudufleuves'est répan-- duesur rresqne toutele s)artie basse de cette ville, et que les glaces du Lac St. Pierre ont empong avec elles des débris de maisons et de granges. Nous apprenons aussi, que plusicurs batisses & la pointe du 'Lw, et de la Banlieue ont 6té rasées par les glaces. Nous venons de recevoir une co-- pie du Srggport des comptes publics, pour 1860, ainsi qu'une copie des es-- timés pour 1861. Nosremerciments qui de a droit. Nous avous, cette semaine, visité le magasin de nouveautés de MM. Béliveau et LeBlanc, et nous pou-- vous en toute sureté le recomman-- der & nos lecteurs, et particulitre-- ment A nos lectrices qui désireraient se procurer leurs to%attee du prin-- temps ot d'été. Ces MM. viennent de recevoir un assortiment trés con-- sidérable de marchandises les plus nouvelles, et des mieux choisies. Nous avons particulidrement remar-- gué leur assortiment de chapeaux de ames, draps de dames, et tweeds sour habillements d'Eté, qu'ils ven-- ent a des prix extrémement modi-- ques. Nous voyons par les estimés de 1861, que fi: législature a accordé & I'Institut Cunafiien d'Ottawa, une aide de $400 00. ** Vous serez fortement secondé dans cette voie par les journaux fran-- gais du Canada, qui suivront certai~ nement ce mouvement avec z6le, car tel a toujours été leur réve d'établir en Amérique Vinfluence des idées et du |fénic i}nmqnis en regard du génie anglo--saxon , aussi s'empresseront--ils, dans une telle circonstance, de don-- ner la main aux efforts de leus frores de la Louisiane." ._ UInstitut Canadien de cette ville offre ses plus sincdres reraerciments a M. Scott, pour Penvoi du rapport du Manitre Généra) des Postes, et aussi pour Penvoi de documents parlemen-- taires.-- @En faisant entrer votre journal dans cet ordre d'idées, vous lui don-- nerez une couleur et une attitude tou-- tes spéciales, et il obtiendra foreé-- ment parmi la population eréole une sympathie qui l'enwdhbord pout--btre, eroftra -ingnl?éumém & mesure que les sentiments que vous susciterez en slle prendront 3e la foree et de Pur-- eur, mot, le mouvement naturel des nais-- sances--et 'déces me ;::h btre, sauf plus vmrlgig@nne, contre la popula-- tion américaine-- = bre leur appartiendra. En effet, il %flc , a statistiques, Te o celui d-wAmM rplumm Cest leseul élément blane aui progresse var Inimnéma en blane qui pr lui--mé Louisione, 'et on dchoes dee rentorm apportés par. 'lmigration. . En .un LINONDATION A MONTREAL TI no faft -- ire, M. hR'MP;:emt::tpu:ic;'uném In noble carmere: que vous venez dombrasser ot dans lg'dh vous "--M-!dn::( bien. T ne mang pas muflg auz -- (Colomies ; vous concourrez, comme vous Pavez compris vous-- méme, autant qu'il est en yous de dé-- tourner--des Canadiéns de Ja voie des Etats--Unis, ot & les attirer dans cette z@ dn pays oi former paroiases: e t fran-- rilu, et ofl ils trouveront toutes les acilités que Pon peut désirer dans un pays aussi nouveau, pour faire ins-- truire leurs enfants ot pratiquer leur religion. _ _ En faisant ainsi, vous rendez un véritable service & Ottawa et a mos compatriotes ; vous mm'rlim les viies d'un des amis les plus dévoriés de ce pays, Pestimable auteur de ZLa France Ensuite, M. le Rédacteur, que n'a-- vez--yous pas a nous dire, quand vous nous parlerez des immenses pouvoirs dWenn d'Ottawa, de ses m:;gfliflqnu usines; lorsque vous nous ferez con-- uaitre les ressources non commnunes quelle offre & Pindustrie et au com-- merce, et sutont lorsque vous décrirez les innp')ri'oinh]m avantages que Jm'r sentent les environs de cette ville & la colonisation ? .. . . us sur le Pensionnat si florissant des gmun de Charité ainsi que sur les nombreuses écoles séparées de cette ville. Yous avez commencé a nous faire comnaitre les progrés intellectuels a Ottawa, ainsi que les avantages que cette ville offre pour Néducation de la jeunesse, J'ose esperer que vous ne vous arréterez pas en si bon chemin et qu'apros nous avoir parlé d'une maniéte si intéressante du Colléege St. Joseph, vous ne manqueres pas de nous }lotl:ner aussi qn:e(llrlnes aper-- LNX No on Sn Québec, ne laisse pas d'avoir une im portance relative trés considérable. Assurément, M. le Rédacteur, en commengcant la publication d'un jour-- nal & Ottawa, vous ne pouvez avoir une meilleure idée que celle de tra-- vailler & faire connaitre cette ville, si ignorée de nos compatriotes. Vous le savez: combicn de Bas--Canadiens qui eroient l]u'()nuww nest qu'un misérable village, situé au. milieu d'une fiyrét,_ct'iedmé par quelques individus sans vesse mar prisct les uns avec les autres. Vous ne pou-- viez done mieux faire que de ratifier les idées Pune certaine partie de nos compatriotes en leur donnant le vé-- ritable état d'une ville qui, sans. pou voir étre comparée & _fionp-énl ni A Maintenant, s'il m'était permis de méler ma faible voix & t'el};(; de vos confréres dans le journalisme, non-- seulement, je vous souhaiterais le suc-- Le village d'Acton--Vale, par sa forte population toujours croissante, et par son marché qui se tient deux fois ln semaine, le mardi et le same-- di, offre le plus grand avantage aux habitants qui ont quelques produits a vendre. Cet avantage est reconnu gar les habitants de St. Germain, de te. Héléne, de St. Hugues, de St. Simon. etc., lesquels n'ont cessé d'apporter les produits de leurs ter-- res aux marchands d'Acton depuis 8iX mois. Monstev® le Repacrevr,--Le jour-- nal que vous venez de fonder est unie ceuvre qui devrait rencontrer les sym-- pathim(fies plus vives de la part des Canadiens; je suis heureux de voir que les encouragements de Ia presse ne vous ont point fait défaut. -- cés le plus brillant, mais encore je vous otl'l'rir;tis mes sincéres félicita-- tions pour In mani¢re dont yous vous acquittez de votre noble thche. Les mines d'Acton vont contribu-- er a faire habiter en peu de temps ce township, devenu un des plus importaut par la richesse incompa-- rable de ses mines, par son bois de construction et par Pexcellente qua-- lité 'de ses terres.--Communiqué. -- La population des habitants des rangs qui avoisinent les mines aug-- mente sensiblement. Elle augmen-- terait beaucoup plus sans les graves difficultés qui existept depuis plu-- sieurs années au sujet de:ggne: qui ont été tirées dans cette importante localité. On espére que M.ifnm-- boise, Membre du comté dé Bagot, couronnera tous les efforts 41\1'11. faits en faisant vérifier ces ignes sous le plus court délai. Alors les chemins s'ouvriront de toutes parts, et une forte population de cultiva teurs se portera en peu de temps dans les rangs de St André d'Acton. Le village d'Acton--Vale, aux I-- mites duguel se trouvent les mines, represente en ce moment un vaste chantier de construction. Les rues et les emplacements sout encombrés de bois destiné a construire au-- ilelé de 150 msxlou. (l)ln';' pd;;ié que a ulation de ce vi passe-- mfgl.)floo Ames avant un an. -- . On a déc@uvert, vers le dhilitu du penchant 'de la montague Cn-ln'nb' une masse de minéral ayant a sa sur-- face au dela de 25 pieds de diametre. La richesse de ce minéral surpasse de beaucoup la richesse de celui qui a été exploité jusqu'd ce jour. 1! bas de la montagne, du cdié opposé aux travauy d':fin fait, on a pareille-- ment décogvert du minérai que F'on -u;ipo-e dtre riche, et sur le sommet de Ja méme montague, on a trou-- vée du quartz impregné ou tout cou-- vert de vert--de--gris. le cours de 1' n _Pope et Clark & éta e pour broyer le séparer le cuivre d'a-- vee la petite quantité de pierre cal-- gaire gui Fapcompagne, _. . > ; # Parmngavymue, 20 avril 1861 0 -- Maigre qu'il yait uno apparence m..m':':-:'m;: une grande disproportion en favent de T'An-- n':m m-.«,-oau--.:.,.. sare est uiile on desiable .. Poor co quy 10. garde 'Angloterrs, i'Iriando: ot 1*Ropase, )e principe de hlfl.* pulation n'a pas 416 adepth : :.':"::.Z M. F .--Mais l s P":"' z- grand royaume deprat Ton rndoot whee schian on ie P m ranin s aorice, come, on re celle de PAngleyerre m Fl.'fin_u'll Yait uno :.;':.5 Lo nomben des dépuiés siégeant dans in ch::od-PG--n. était do 654. ?. Ton do. 18,000,000, en tifen 406 : Phigas, avrc fine ,population de 6,000,000, en arait 105; at 1'Ecosse, aveo uce population de 3,-- 000,000 en cemptait 53. Imises ont duré hfi:--P 'ancune &: .h". """'::Fi ppnrmn pour J'ai devant les yeux un résumé de la po-- lation des divers comtés de |PAngleterre, r 1'Reosse et do I'Irlande, at il apport s., ces chiffres qu'en 1851, im population des iles britanniqnes était de 27,000,000 d'Ames® H.--C., et Phon. aafi'u de North Oxford a 6tb plus loin, luig it'n'a' pas craint de diro me si I'on n'obtempérait pas au désir du H. 8., que si on ne le faisait pas sortir de 1'6~ tat do dégradation et de tyraunie dans leque! les bas--qanadiens )e tiennent, certaines par-- ties do o%u section du pays déclarerait Ia guerre au B.--C., ou bien auraient recours en chambre & des moyens qui rendraient toute espece de gouvernement impossible. . Je pense que Ton peut gouremner le pays pour que um&.mn sous 1'Union ac-- uollé «6 qu'on vebt biem @ppeler ty-- rannze et dégradation n'existe pas, . Lo dé-- paté de South Simooe, bien qu'il soit Po-- figine irlandaise, se dit grand admiratent de I'hon. député de Simeoe qui veat passer pour un grand conservateut, en préeentant un bill comme celai--ci, se donne au pays comme le plus grand niveleur flli ait jamais existé dans uonn'fuyn. Le bill de )' Fer-- guson tend & niet le droit de la, rmpribte qui est la base de Pexistence sociale ; ot le sys-- téma ce la représentation d':erd- la popla-- tion qui reonnait simplement Pexistence in-- dividuelle, doit tot ou tard mener & la disso-- lution non--seulemment dir gonversement, mais de la société elle--méme, L'hon. députe a dit que -'All':il une question majeure pout le uo m o c l0 i oC 3" IPSTUTe pout I¥" Ls " Covrrrer D'Ortawa."-- Nous avous regu avec beaucoup de plaisir les deux premiers numéros de cette publication frangaise, faite dans l'intérét bien attendu de nos com-- patriotes d'Ottawa, dont le nombre et l'importance augmentent tous les jours dans cette intéressante partie du pays. Nous espérons que notre confrére se-- ra toujours fidé1e et ala hauteur de la bellle et utile mission qu'il s'est imposée et, qu'en cela, il sera puissa-- ment aidé par nos compatriotes d' Ot-- tawa et d'ailleurs. Pour notre part, nous faisons des veeux ardents pour son succés le plus entier sous tous les rapports et nous lui soubaitons une longue vie.--Gazette de Soret. Le Courrier d Ottawa.--Un jour-- nal frangais vient de paraitre sous ce titre dans la future capitale du Cana-- da. _ Le prospectus annonce que les intéréts nationaux auront, sur ce fyoint du Enyn, un champion qui eur fera honneur. La partie ty-- pogra'phique est élégante, et cela nouE':nit regretter de ne pas connai-- tre Pimprimeur pour Ven féliciter. Le Courrier d Ottawa paraitra tous les mercredi et Samedi. Le prix de 'a-- bonnement est de trois prastres par rnée. Notre nouveau confrére s'an-- once comme indépendant de tout parti_ politique.--La Guépe. Ne serait il I;" bon, M. L'Editeur, de conyoquer une assemblée publique immidia:lmhlt, pour prendre ce an-- jet en considération. is Quoiqu'it ;n soit, ¥ le m'nw' r, 3 onmant & yos £ igents .»m&e&n Tattention qu'ils inéri-- tent, vous saurez vyous maintenir dans la louable ligne de conduite que vous avez ermbrassée dés votre début. quant vouloir\déchirer une des plus glorieuses pages de nos annales. ' As-- surément, i1 a ;'xeu tort de i'qxe]er Canadien, celui qui ose émettre pa-- i¢, uequ a ce Jour, le clergé canadien n'a cesst dCiry Pami 16 phis dévou6 de . Véducation,, yous n'aves fait que signaler un des faits le saillant et peut--6tre le de. .fl" histoire. 'Mais cefait seul n'est--il pas le plus éclatant Pon puisse dé cerner au clergé? a:'jrmnnchu T'éloge, nest--ce pas vouloir retran-- mu; n'est--ce 'pas par .cons(> quant vouloir--déchirer une des nlus fublen dtnbimaiy boine prostsore io . jusqu'a ce mul::ln-fl NAE it M. Foury.--Mais le Démats sur LA reraferytamon sasie _ SUR LA PoPDLATioN. °_ Seance du 5 avril, 1861. Suite. OPINION DE LA .PRESSE ASSEMBLEE LEGISLATIVE Ux Asm ors Canaprexs Orrawa, 28 avril 1861 6t6 adopté ; ot si am dépuaté on Chumizess m fored Ux Crrovex , le8 institutions Lhon M. Cartier.--Lbon. député sera bient6t édiffé & "eo"njel. %flrponrm. j'en reviens an systéme américain que je snis 'hi- M'm.: o sait. . J'ai toujouts é16 i "le gouvernement des Etats-- U Mlnw.l. longtemps qu'il y aurnit dos & peobler, mais que, Iomtu Im deviendrait dense et qu'il #6-- leverait que frouble, il se trouverait "vx faible pour triompher 'des difficuiies. LC t exemple, cette trinité de grands hmnyl::':p-Wabcler. Clay et Calhoun. Tous ceux qui connaissent la politiqne américaine savent que Webster et Clay sont les denx plus grands hommes du parti Whig, mais ils sarent aussi qu'ils ne pourront jamais se faire élire président des Elau-{]m-. M. Colhoun, le plus grand défenseur de ia cause démecratique, le pourrait--il plus ? Non 3 M. Clay a été élu vice--président ; M. Webster n'a pu arriver }d, bien qu'il svit un des trois 'hommes dont parleront avec les plos grands éloges les historiens futurs des Etats--Unia, Je connais ces choses parce que j'eus hon-- nent de lier cennaissance avec un grand nombre dhommes politiques des deux par-- tis ou plutét de tons lo= partis, parce que L'on en compte quatre ou cing, de sorte qub le gouvernement rr un parti n'y oxiste pres-- que plus, i me fait peine de le dire, car i1 ne peot y avoir de bon gouvernement san« un parti qu l'appuie. J"o?dn que le gourer-- nement par un parti on Canada se maintion-- dra aussi longtomps que possible, bien, que Popposion ne soit phus lagjourdhui un parti ; mais plusicurs partis en face do parti minis-- térie! qui est uni comme un seul homme ! M. '-'onv.--\'memz-vnnn tous pour ou contre la.représentation basée--sur }a popula-- tion. P20°7 @TDif de bon gouvernement sans un parti qu |'appuie. J"o?dn que le gouver-- nement par un parti on Canada se maintion-- dra aussi longtomps que possible, bien, que Popposion ne soit phus lagjourdhui un partic mais plusicurs partis en face do parti minis-- tériel qui est uni comme un seul hames 1 Quand Washington, Jefferson, Madison, Munro, les deux Adams prirent chacun pos-- session du fautenil présidentiel, entourés d'hommos&n'.j comme eux, #'étment formés sous le systeme colonial, la constitution amé-- rieaine avait alors plus de prestige quelle mnéen & jonais en defnin. Malheurense-- ment pour les Ejats, les grand hommesv ricaine avait alors plul:l; vpr;su'jgeual;';:lc!; mnéen & jonais en defnin. Malheurense-- ment pour les 3;&, los fflnd hommes y sont rares lI}jOII Phai, et les plus capables ne peuvent plus parvenir aux premicres pla-- en Jn 1 Eral, fremictesp _ Peut--étre que les 30,000 Américains du temps de W-(slhi&l'on avaient plus do valeur intrinseque que les 110,000 Americains d'au-- jourd 'hui ! 3n admettra. toutefois qu'aussi {onghmpu que les Etats ont ¢té soumis aa systeme colonial, ils ont eu de veritables hommes d'Etats & la této des affaires. fdgnlnion et Cest f)oul'"c;l'i-mz?u--';x};u r"dhu: 10,000 hommes n'ont pas plus de pouvoir que 30,000 d'autrefois. _ _ Nous jouissons d'une existence olitique beaucoup plus nationale que celle (res Eltats séparés, qui ne peuvent voter un tarif ni régler autre chose que les affaires intcriou-- res. Ce serait faire un pauyre compliment anx institutions sous lesquelles nous vivons ae de prétendre qu'elies ne sont pas de mucoup préférables & celles des Etats-- Unis. lgous n'avons pas le pouvoir, cest vrai, de régler les relations internationales de 1'Empire, mais nous avons Parmce et la marine de la Grande--Bretagne pour protéger notre législation, sans que cela nous en cofite; et nous pouvons ainsi administrer nos affaires & moins de frais quaucune au-- tre nation du monde. _ D'abord, chaque 30,000 hommes éli-- saient un représentant. . Anjourd'hui, 110,-- 000 hommes n'en élisent encore qu'un seul. Les Etats--Unis se sont efforcés d'imiter la révolution frangaise. _ Mais il ont manqué & la théorie de la représetation basée sur la Mais pour en revenit au gouvernement fédéral dés Etats--Unis,--et je patle de co pays sans m'oceuper do mouvement sépa-- ratiste qui, jo rogrette de le dire, pourrai-- bien précipiter ce pays dans de grives con flits.--j'y vois-- qu'en dépit fiu nombre eroissant de sa population le nombre des re-- présentants reste le méme. 7 se y Lhon« M. Cartrer.--II a eté dit en cet-- te chambre, par quelques députes, que nous, Lgui habitons le sol nouveau et verdoyant de I'Amerique, nous no devions pas prendre les vieux pays pour modéles, que nous de-- vions jeter les yeux sur nos voisins qui ont le bonteur d'étre gouvernés par une consti-- tation enti¢rement soumise au principe de la représentation basée sur la population, Je sais quaux Etats--Unis tincipe de Im représentation dapres la population est mis en .pratigue--juequ'a un certain point, mais il n'y est pas adopté jusque dans ses consequences extrémes. . Je parle, bien en-- tendu, du gouvernement federal, parce que les gourernements des Etats ne sont rien de plus que de grandes corporations, de gran-- des municipalités n'ayant aucuns attributs nationaux, _ II y a encore us ancien comtc--celui de Surrey--nom que portait autrefois le comté de verchéres que j'ai 'honneur de represen-- ter, et quia eu pour un de ses premiers ré-- présentant, mon grand--pére ; --hé bien ! ce comié de Surrey a avjourd%hui. une popula~ tion de 683,003' Ames ; il nelit que quatre deputes, et sept en comprenant ses divisions électorales ; mais poor se conformer au prin= cipe de la représentation, il devrait en élire 18. I! serait oiseux d'argumenter plus long-- temps pour prouver que la régie anglaise ne reconnait pas la représentation basée sur la population. 'Ceci posé, on peut dire que Phon. député de Simcoe ue donn» pas une haute idée do sa sagesse, en abandonnant ainsi des grirwipes britanniques et en s'eflor-- gant de changer une coutume anglaise. M. Coxmon.--L'hou. pro.--gen. est--il cer-- tain de Pexactitode de ses chiffres ? L'hon. M. Cartiem.--L'hon. député pout avoir une mémoire ingrate, mais au muins il ne pout avoir oublié un ehiffre. (Rires.) 1i u'y a pas de doute que la représetation, telle qwelle a lien aujoord®hui en Angleterre, re-- poud & tous les besouns. . Mais si le puncip» de lw représentation 'd'aprés la poPulalion mnémph juste, on de¥rail Patopter Jusqae ses consequences extrémes, qui l?nl'lt :ll.fl'llgfi universel. . Le grand com-- 1 Nambonp en ie cmd M. Fercuson.--Ce sont les hommes dé-- vou6s & 'Angleterre qui_ ont toujouts com-- battu pour lesmeilliour lois. (Ecoutez, écou-- tez, du c6té de 1'Opposition.) n oonmnd " is La population de Luncashire, en Anglo-- terre, est de 2 millions ; ce comte envoie qua-- tre représentants au Parlement, et toutes ses divisions électorales, prises eusembie, éli-- sent 22 représentants, mais ce serait: 56 re-- présentants qu'elies devraient nommer d'a-- pres son nombre. n e eotty ler Pattegtion de Phon. dé-- pjm& représentants de IP'An -- gleterre. On a vu que, d'apres le regense-- ment de. 1851, I'Aq&lnno nowmait 496 ré-- presentants, . Maintenani en prenant .pour exemple le comié de Middlesex. qui contieut une population de 1,856,000 dimes, on verra ;: ce comié Wenvoie que deux dépulés au lo'n-ulv;di'l y a Londres dans le méme comié, q@i, divise en deux divisions électo-- nlo'.l&?l lfi"p-;-c'uudmcl(pomh comié. on oo oo e n titt s t de Middieton, d'apres les théories do Phon. député de Simcoe, devrait avoir, au lieu quatorze, . cinguante--deax repiésentants, nombre égal moins un de ceax do |'Ecosse. Dans la Chambre des Communce, le [)rojet de Phon. député de Simcoe serait Pobjet des moqueries de ses collégues, mais ici on est plus --courtois, par egard pour les sus-- m','"b""é' et les préjuges de certaine loca-- Cs, meni tsés--heureux poor ie peuple du Haut-- Canada, que ce soit un députe aussi distingué ie Vest iPhoo; diéputé de Simcoe qui ait pris sotls sa prolection un interét aussi graud que selui de in représantation. (Rires.)