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Le Courrier d'Ottawa, 26 Jun 1861, p. 2

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5. m 44 n o ?v-'!-m Batr, Eer., Ottawa, f & q.g ie (fRieinky 4 NLapd t6 'da 18 juin 1861, ot sign6 "Un «®'~N>\Presbyteri@h Beosuais;" jo deniaade do dire n'll a'y a rien do vrai dans la phrase o% mon ® .# 3. 'We rouve mentionné. 8- plus jo diral ~ * \igue to seut dogument relatif au Courrier dOf-- tawn q 1i ait 6te fait ou exécuté & mon office, an .1s ule su,et dont J'aie nlndnrrln eat al 4 omun. @ntre vour--méme et Mr * ncet, et besiaga .. Yous .consenter =.L corder widity . dune certaine i vos apparte-- + s To lt Cuad cemmcion parue de ror aroguie: ©9 d wy ""¥eCourrier D Ott1tox ([ami dos e ant sogent aiput a feepsa f n t * Hpreende doirty qropind To mrm d M. Réaume, *«\ dont tes mequs seront considérés par «»ameuvaise foi, si nous ne craignions :um mmfi;'wpu &_induire en er-- reur quelques uns de nos lecteurs du ""Qotite do Russell.: Dans tous les se Albgnm réponse, v. Bell ayant eu connaissance du mouveau --mensonge . formulé . contre «*lut, écrivit sur le champ & Mr. Lees, 4 les chaque yemain® moyenment une ie rTpalee s t Oiraletemr on 1 hroues i epeiamdnadimmel divo: t teais entends dire qu'll fit pour 'm'w votre In*'euol r:n '#iRermettes--mot do.vous transmettre 1e pré-- gent placard daté du. 18 coorant ot signé: f'"'tfmb_vllpbl Reossals." . Permettes--mol anasi.de vous Gkfl}}Ta"im-I r de déclarer ar Ccrita'il y a quelqué de vral dans la, 'dains le placard. < Aussitot, Mr. Loes wnndim formelleme?xt le fait. Voici les lettres de ces deux Mes-- siours i 4 phrams uh voire nom 6 troure mentionné (tata)--~» Votre, etc., lp;s.'l-lnt de vouloir bien déclarer publiquement s'il était yrai qu'il fit em possession du. contrat mentionné "lfldflblnm rougirions de ré-- pondre &.un écrit inspiré par tant de ;!?iomluphnb&m t do re-- aux mensonges les plus impu-- »'Out, Pautenr do Pécrit avait menti ' ent en 'affirmant que Mr. ell et le vénérable Eveque d'0t-- hufihmpfl'tfim 3u Cour-- rien / bien { mlieM les déclara-- Mon'k Tormelles qui lni ont 6t6é faites qu'en soutenant cet avancé il était en flagrant.délit d'erreur ou de men-- songe ; --il.@. limpudence, dans un nouveau placard %:l;ment hypocrite et rldicngu. de uler le méme amensonge ajoutant, afin de mieux tromper les élécteurs, que le contrat 'de propriété en question se trouve, a E'm' n'il est, déposé a Poffice de F I.'co%'ot qu%{l est prot & ~pronver ee qu'il avance & :quiconque fo dési-- 'mw"? t Bell no craint pas de soulever ' ons les plus basses ~et --do re-- LEPERE DE MB. BELL A xB. Lzss. n 4P thuty priiaé un certain nombre Oltawa, 21 Jain, 1801 aonanedi P Ottawa. 21 Jain 1661 En 'offet, & qui ROBERT BELL TA pme d ; Durant led;ne;,T;':'nn;;s suivantes urent pro : _ Notre trés gra-- cileuse &nm. Dr. St. J eu:, firé- sident de la Société St, Jean--Baptiste, A notre Nationalité, P. Comte, Pré-- sident de 1'Institut Canadien Fran-- gais. Notrehonofable Membre pour la cité, R. W. SoottLN. Germain. La ;'rred'Othw J. B, Lazure. Au ' ident de h%ooi"é 8t. Jean Baj tiste, E. R. E. Riel, M.D. Le Prés- dent de l'Institat, R. Lapierre, et les Dames "('Dm.d;cnln)eu si'njngnnu de notre cil o Dr. St. Jean. 'j x.'-&'f. l;iol dirrfl- alors joyeusement au milieu vats on-- thousiastes. -- Sur les 8 heures r.a., une foule nombreuse nn?li-it la salle de UInstitut : mais la séance & peine ouverte un incident qui heu-- uuuolnt n'n't t;oul. 'nixez &1 cheuse, la so % e plus hflmm contribua & nous consoler de la perte de notre soirée. f A. 2 heures, r.ar., dang les salles du Marché de la basse--ville, un grand diner national donné par M. fiolse Lafontaine, notre habile restaurateur, et il va sans dire que le tout corres-- pondit & Pattente générale. L'Office Divin terminé, la proces-- sion se mit en route et défila par les rues Sussex, St. André et King, pour se rendre & 1'Institut, oh le Br. St. Jean, Président, aprés avoir remercié les différentes soeig"n et les citoyens en 'qnéral pour le concours unanime fl:l s'empressérent de lui donner, invita & revenir pour assister & la soirée littéraire ot musicale qui de-- vaient avoir lfen le méme jour sous le patronage de Sa Grandeur. Cathédrale, sous la direction du Rév. Pore Pallier et de M. Dossert, notre habile organiste, exécuta avec un en-- train admirable la 12e Messe de Mozart, si bien connue des amateurs, ce qui contribua beaucoup & la so-- lemnité de la fite. Comme Péglise était remplie d'une foule immense de Canldienu-fi'ungil et autres, la col-- lecte faite par Mesdemoiselles Richer et Tambeau, woommnéa de M. Cointe et de A, L amel, M.D., fut trds abondante, . La procession se rendit & 'Evéché au--devant de sa Grandeur Monsei-- &m Guigues et Pescorta juequ'a la thédrale. L'église offrait un spec-- tacle admirable. La vofite et les pil-- liers élégamment décorés par les soins dn comité de la St. Jean--Baptiste, présentaient a la vue un coup deil enchanteur. Sa Grandeur accompa-- §n60 d'un _ nombrenx clergé assistait POffice Divin qui fut chanté par le le Révd. M. Blanchard, de St. Phi-- lipe. Le coour des amateurs de In Nous devongici faire une mention toute M'@ motre bande ca-- nadienne que nous trouvons toujours en téte de toute fote nationale, aussi devon#nous complinenter leur ha-- bile chef, M. G. gnmund, qui sur-- tout en cette occasion s'est surpassé par Pexécution de nos airs favoris. BnBtllte, les officiers et.le Président, le Dr. St. Jean, & qui les plus grands éloges sont dus pour le troubl% qu'il s'est donné & organiser 1s Flm belle fote nationale qui jamais ait eu lieu & Ottawa. nooe Bs storn oo fone 'en parlethent out de F ihl: choisir o de lours intéréts 3::: 168 comices du.pays. En téte de la procession figuraient trois petite personn representants Bt. Jean--Baptiste, fi:;ues Cartier ot tin Indien, avec leurs beaux costumes et emblemes allégoriques, fournis 'Sa\' M. Joseph Roy, M. Laurent Duha mel et le Capitaine Dufour, leurs E» rents, qui n'égarg'nér'ent aucun trouble pour rendre ces personnages char-- mants, Nous devongici faire une mention Aprés les différentes sociétés, qm; suivaient, venaient, pour terminer la procession, les Membres de I'Institut-- Hadit's uid Anitadinentc idb en Acic t Ennadien f'nngnil, en corps, ainsi que les Membres de la Société St. Jean-- ._ Avant--hie? "fut célébrée dans 1a dtt POttaws, ln féte fi notre. glo-- rieux Patron Br.-- J TE, ot jamais elle n fut si belle. 'Tout con-- courat a 'embellir ; le temps fut des plus magnifiques et Pentrain de la po pulation fnnfin général, Les ma-- gasins et les boutiques se fermérent, et toute ls ville prit un air de féte. Bur le dome du spacieuxs Ho-- tel de Champagne flottaient les dra-- aux de". et de la France; S: vertes 6 ornaient la gallerie ot nnnon%liem le patriotisme de son digne et bien aimé proprictaire. _ Dés 8 heures du matin, la foule s'empressait autour des batisses de I'Institut--Canadien Frangais, chacun fut exact au rendez--vous, et a 9 heures précise la procession se mit en marche, banniéres déployées, musique en 'tote, dans un ordre udmirnglb, grhce su zdle et & Pactivité des com-- missaires ordonnateurs MM. I, Cham-- EgmetO.Triollo. Dans les rangs de la procession, se. faisaient surtout re-- marquer, par leur belle tenue, les Oonpcqan; des Capitaines Dufour et Lariv Fete de St. Jean--Baptiste. e. Aves Paide de--notre digne 'Nfifiouionhlepromiul laanain & Pcouvre, loraqu'il de notre nationalité, nous ns tous les ans offrir & nos dorigine étrangare, un 5!- peuvent s'empé-- rons que l'année prochaine, lb-aunh-nohomeom plus d'enthousiaame s'il était droit de son" ll_ll_llt.. étant Nous --manquons absolument de mflnum de in gnerro; jo vyour ai déja parlé des On avait bien mis r':lual me espoir dans la réunion prochaine fln congres le 4 juillet, _ Mais les optimistes n'ont pas réfléchi que la majorité dans cette mombla appartiendrait & la fraction avancée du parti républicain, omm n ban io Th n tat de New--York et de l'Ohio. Les quel-- es démocrates nommnés par d'autres %fifi n'oseront élever la voix ou s'ils Példvent, olYe'-en étouffée par les cris de leurs adversaires. 11 ::\ considérer encore que la partic mili-- tante du parti d&noon? 3ni était déléguée en entier par le Sud, no sera nullement représentée dans l6 Con-- _ Qu'attendre done d'une assemblée ainsi composée ot qui sera cireonve-- nue ihum sn.:'rr coux qn'i'iont lancé ot ont tout intreta 1y maintonit sans Tai _ Or' est--ce I& le cachet du patrio-- tisme? Sont--ce l les nobles dé-- vouements que doit insrimr Pamour de la pntrie'% Et d'ailiours la patrie est--elle réclliement en danger ? Cest ce que personne ne croit, et Pon sait bien aussi que la guerre n'aménera aucun résultat, mais la coterie qhui y a poussé tiche d'aveugler le public, et la majorité des gens honnétes et s:dflqnu trenible, comme tonjours, vant une miporité turbulante, au-- dacieuse et armée de grands mots. _ : C Je trouve la preuve de cette asser-- :uil tion dans la conduite des hommes qui | 1q & passent pour les plus émine®ts et qui que ont pris en main la direction du sitic mouvement soi--disant patriotique.-- | 12,; Le comité de défense de 1'Union de h New--York, nn{ourd'lmi heureuse--| P d ment dissous, le conseil militaire|"°" @'Albany, d'autres comités secon-- 30"1' daires enfin, tiraillaient en tous sens | 48 le Président ot le général Seott pour port qu'on leur. demandit le plus y r6-- s:: giments gouibles. Et la raison en est facile a concevoir. ~ Plus il y avait | trer de réflments # former, plus il 'y avait | rent duniformes a fournir, d'équipages | POrt militairesicommander! de vivres a pris distribuer, et tout était matidgre a | ralis spéculation et & tripotage. Les dif--| arrh fg:euu comités ayaient entr'eux de|la ; scandaleuses discussions, et on a vu | sion des hommes qu'ils avaient englfiél régi deux fois dans des régiments diffé--| tent rents pour qu'ils regussent deux parts| O de_ viyres et leur rendissent celle| thel qn:i\ls ne mangmient pas. _ « 'I fend Il est peu de révolutions dans le monde qui n'intéressent les specta-- teurs par la manifestation de quelque idée sociale ou religieuse, et ce(ile dont les Etats--Unis sont actuellement le théitre est peut--6tre la seule, & la-- Bl;elle on doive refuser ce mérite. part ni d'autre on n'obéit a un entrainement un peu noble. Dans le Nord surtout, des intéréts maté-- riels sont seuls en jeu, on se rit «de la patrie qu'on met en avant & tout propo:i et ce n'est que par la misére générale qu'on est arrivé & trouver ces volontaires dont on fait tant de bruit et qui ne sont en réalité que des mercenaires. Le comité chargé de Porganisation de In soirée ne se tient point Xour battu par ce petit incident, qui, dail-- leurs a permis & plusieurs 3% audi-- tours d'lSleer achever la soirée au thé-- ftre, et nous prie d'aunoncer que jeadi soir & la mé&me heure, aura leu il'lnstimt, Place du Marché, une Boirée du méme genre, moins cepen-- dant la partic a 1 uelle nous venons de faire allmion._que comité promet & Taudtoire un plancher tout&--fait solide & Pépreuve de tout accident, et une des plus jolies soirées qu'on puisse passer g Ottawa. A jeudi soir done. Fort heureusement que la peur a 6t6, en somme, plus grande que le m-i{ et qu'il n'y a eu & regretter t};lel quelques pentalons déchirés & diffé-- rentes places, et quelques. chapeaug et erinolines plus ou moins bossés. aolewe ~Woane ecue ks P en du Tricolore. Nous sommes assuré-- W,l-'::]nh'dunjmh::.fl. mq'.i" de notre trds dunlo-"nh-.'&d.qu n'oublions pas --cependant que nous sommes wjo-#i.. et nous sommes loin de v mnan-m convenances, qui, surtout p-fl m,mmms.w m, sous les auspices de la C Bt, Jun-Blmte, le plan-- cher s'affaissa tout--i--coup sous le poids de la foule, et lairsa libre en-- trée aux caves de I'In:vitut & une s:"nie de Paudience, qui ne s'atten-- t nullement & ce délassement d'un nouveau fenu, dautant plus qn'il n'avait point 6té entré dans le pro-- gramme de la soirée, Ei plusicurs autres membres de P Institut Canadien--Franzais N. B.--L'Ottawa Citizen est prik de reproduire. SEROE pmions m';]'m'i :;a'g'w(mfi & m ?:.«'fi de is Bt. J"'."hm." des ciers de l'I:ml;m ..,.F.-..oz ; batisses de l'm au. dessous' Lundi, perdant la Soirée don née & PAncien Institut Canadien CORRESPONDANCES (Pour ie Courrier d Ottawa.) Naw--Your, 9 juiri 1861 Prés. de P L. C. F. dit une poursuite plus longue impos -"N:.MMPO hw'?"' Efi:mm eu si peu de suce mmmtéflf sés an f:nldu. & New Port et Bh-peon, déoonn.& TI"?:périfio de lours chefe. %: rh uw:'o est de l&m 100 leaséa mlkllo cou plus n P Le fait matériel méme de la défai-- :-;;d-.-t p.uqln'ilyn us déplorable 'armé unioniste ; ce qui dfi', 6est dorincopaotte dn se thoh, "Ainal quel est ce M. Butler, qui envole sen . & une lutte in6-- sécessionistes l'épée dans les reins, jusqu'd Little, Bethel, on les unio-- Deux combats ont eu lieu depuis que je ne vous ai écrit; le premier, sans importance, & Romney, est res-- té indécis, le second, qui est un é-- chec véritable pour les troupes fedé-- nlel,l 'l'gg dgem d:]u un en]droit appelé . Voici quelques dPégails .":y cette affaire. Les gens du Sud avaient établi un 'avant poste dans un hameau du nom de Little Bethel, a environ 8 milles de Newport Revers et de Slampton, deux points occupés par les sogdats du Nord et a portgf.du fort Monroe, on commande le général Butler a la téte de forces trds 'respectables. De Little Bethel les Virginiens in-- quiétaient les troupes unionistes, et le général: Butler résolut en consé-- quence de les déloger de cette po-- sition et de s'emparer méme des bat-- teries de Big Bethel, situées un peu plus loin. Cinq régiments parti-- rent de différents gointlpour se ren-- contrer & un carrefour aux environs de Little Bethel, mais comme le dé-- part des troupes eut lieu la nuit s:nr 'mieuw P'ennemi, ux réegim amis qui se rencon-- trorent ne se reconnurent et fi-- rent fou un sur Pautre. &'Ifl des pertes inutiles.: Une seconde mé-- prise eut lieu, et acheva de démo-- raliser la colonne d'attaque. En arrivant au Petit Bethel, on trouva la position ¢vacuée par les s6oes sionistes, dont les coups de feu des régiments égarés avaient veillé Tat-- tention. On se porta alors sur Great Be-- thel,.qu'on m;:xrfitament dé-- fendu par des ries masquées, od entraient des pidces ray6es et par-- faitement servies. Les ouvrages.en terrol étaient si heureusement faits que les unionistes ne pouvaient a ceyoir les l::ll:lfi:.u d:: pméoe: z:P:; voyaient briller s que Péclair duy:non. L'm t;lu trou du Nord se com; t de trois mm rables petites pidces de campagne, vieilles et de courte portée, dont pas un boulet ~n'6tait a?.ble de faire le moindre mal:--aux fortifications en terre de F'ennemi. Le brigadier gé-- néral Pierce, qui commandait Fex-- réditir;m Irll'i'"]o' de faire en-- ever ouvrages 'assaut, sans a' que les dits ow émm par un marais '::'u: large fossé rempli d'eau courante.| Naturellement ses troupes se heur--| torent & ces obstacles sans les pou-- voir fimflr. ot uvinmi inutile-- | ment Enfin Pierce | fit sonner m @4 les soldats | du Nord furent poursuivis par les | Je pense. que faurai plus de faits lérien:'r'% Vbll'fll fig]n'ler dl:-{s l;?; &ro- chaine correspondance, car enfin il faut bien que les événements se des-- sinent, et si le fivrcmier pas n'est pas fait par le Nord, il le sera par le Sud. ton, une dame . américaine, et odfcun sujet du Canada. Cette dame portait un éventail orné de trente--cing étoiles. Aprés quelques compliments, Lord. Lyons lui fit ob-- server qu'il y avait une étoile de trop : .« Onbfiu-vou le Canada t" répondit la. dame qui voulait étre malicie , whord "Lyons, ajoute ;tnomplmuu un journal améri-- cain, ne sut que répliquer & cette spi-- rituelle réponse. Pour notre part, nous l2 trouvons encore plus imperti-- nente que spirituelle, et nous pensons qu'elle fait peu d'honneur an bon rdt des--dames invitées a la Maison g;mche. On est en train d'organiser a New-- Yorkélolu les auspices du représen-- tant Sickles, une firignde qu s'inti-- tule pompeusement Zzcelsior Bri-- gade. M. Bickles, jadis démocrate acharné, .est devenu unioniste dés 8u'il a vu jour & se nommer général. 'est lui qui a eu ce fameux procés au sujet de sa femme, qui Pavait in-- dignement trompé et qu'il a j"flé A propos de reprendre ensuite. ais ici les scandales font connaitre un: homme et finissent par Pélever au pi-- nacle. h ls quitter serait pour lui un échec mot ds itrainid itihe 3 ue mfeven Les opérations marchent Tolile oo q0 nuevbechs fasie sin. ce con-- -W-.j& onm?'::bmet de fllll'm. t 8' maintenant & donner des d:n'):;ugle B'l;mmqnu & la Maison Blanche, et cite un mot adressé & Lord Lyone, ambassadeur britanniqne a Washing. doute une" résistance désespérée.-- oo * Richmond, o i1 ooo or e a Richmond, et i1 6t il seconfirme que les s New--Yorx,--14 juin 1861 itres sont indécis; y ies A Phillipg as irgimie «c-- in6 & 'avantage E'A-m un pont qui ren-- iou in Virginie lflfl_..:n faveur de C ihmcciver Eio ils feront sans nul le pre-- La commission enroj e chargée de réorganiser le Lime concert avec ls Erqnie a tenu plusieurs sé-- ances & Constantinople, mais 1& en-- core l'Angleterre et la France ont chacune leur candidat, et se montrent divisées. T est pourtant décidé 3:10 la Syrie sera gouvernée par un chef chrétien, et que ce chef devra appar-- tenir & ln secte chrétienne qui compte le plus d'adhérents dans le Liban. M ll; uis de Lavalette, ambassa-- deur ':l':"i'nnee, préside les confé-- rences et partira vaisemblablement en oongé de Oonunu-oaz les affaires de Syrie une fois ;-?l MC& anta-- isme perpétuel des x grandes g:?-u:ee- occidentales en orient est un fait grave; et,'si jamais une ru ture a T',l:n entre elles, cest par K question d'orient qu'elle sera prove-- quée. ' Quelques troubles qui avaient éclaté l&ihn ont été n&innmt ré-- primés, et les Piémontais les ont re-- présentés comme le résaltat d'un complot austro--clérical ; d'autres ven-- lent y voir la main du mazzinisme. Dans tous les cas ce conflit, on le M.:fid. Milan s'est trouvé engagé, Tok ot is 'Hpricnst anoire pioa mhe et * enoore ah(hm los -odl'vuu étate I:Ihu. tout reste, cette distinc-- tion ahnh._':'- denx pouvoirs a été le réve de M. de Cavour, La question de Syrie a été le sujet d'une violente polémique entre les journaux anglais et fnn?.is. Les premiers prétendaient que la France avait fomenté plus qu'apaisé les troubles, et les seconds se défendaient de cette accusation. ~Quoi qu'il en soit, six bitiments de transports, partis de Toulon, sont déja & Bey-- routh pour en commencer Pévacua-- tion. Cette proclamation est évidem-- ment le signal de la guerre civile dans le Missouri, et pldt au ciel que cet événement éclairit M. Lincoln et sa coterie! Partout on ont &uné ses troupes, elles n'ont pas pacifié ; elles n'ont fait qu'irriter les haines. Ne vaudrait--il pas mieux déposer les armes et reconnaitre ce qu'on ne peut empécher ? suspendu, les r?gortsentre lesconci-- toyens soumis & l'incessant controle d'une soldatesque armée ; des citoy-- ens inoffensifs emprisonnés sans man-- dat légal ; des vieillards, des femmes et des enfants impitoyablement mas-- :créu. Aprés ce lugubre tableau, . Jackson--expose qu'il a tout fait pour en arriver a une conciliation, mais qu'elle est imépouible. Néan-- moins, on doit obéir & la législatu-- re, quia convogué §0,000 hommes de milice, et, ces 50,000 hommes seront levés, en dépit des troupes fédérales. Le Missouri, que le général Lyon, wpr@s M. Harney, maintient par la terreur dans le giron de 1'Union, va probablement en appeler & l'insur-- rection. . Son qouvemeur, le géné-- ral Jackson, a lancé une procfnmn- tion dans laquelle il énumére tous les griefs duui(ilsouri contre le gou-- vernement de M. Lincoln, les droits et les libertés du peuple violés, les volontaires faits prisonniers, le com-- merce avec les %tata--Unis du Sud Telle a 6té cette affaire du com-- bat de Big W'.gu{ 'vdl causer une ,:-nda joie a Vi et qui devait Jémontru m"fi.do plus au gouvernement fédéral que soumettre le Sud ne.sera pas facile, car on y trouvera une :u':m dé-- uq)érrfle. "Levez--vous d'::ug a dit le général Beauregard, une clamation aux virginienss hvez-\l"::; tous pour défendre vos foyers mena-- cés, vos femmes, vos enfants et tous vos droits les plus sacrés: Que chaque buisson, chaque pli de ter-- rait cache une embuscade. Songez aux calamités qui fondraient sur yous si jamais les abolitionnistes du Nord se rendaient maitres de votre pays. Enfin que tout le monde coure aux armes, et qu'on traite nos féroces ennemis du Nord comme vyous trai-- teriez des Comanches." Telle est la substance de cette proclamation, a la suite de laquelle lg général Beau-- regard a été prendre le commande-- ment des forces séparatistes a Ma-- nassas gcp. Quant aux retlunche- men'ts de t's Ferry, ils sont, dit--on, fomlu, (!t":yll ne préte nullement aux Virginiens l'intention de les évacuer, On recommence: méme & craindre & Washington un mouvement en avant du général Be.unsu'd sur la ca'piug]e. . L En | pereur 1'adres 1 TEET [::. -:.'-" nk l.:é-i-'filg arais sous uo Jox Thive | e nourdiiue de -- guerre sur. '- 'assaut et les laisse fusiller | Eiront de ce coté. ;'.Ll.hnp"' quel est _I:d'l'vl:n;- Gm-::hl, sourer-- ce genéral qui ne fl*'; lieudsno-v-.mx m""'vmh, doonu.nnmot'd'u;doau Frag: yheou'> . e & ments et cause d'sussi andlé-"nb- y~ P Mdukymmle pm.gedladoniboot viee miwninn..hml. "r&m i $ is jrst ate K. hayanett. Pcnmn-ee une 06-- e en refefent foute MbUSE | casion pout Alexendire. 11 de faire '"":a?é"' opens 4) "Abeouf | quelques concessions a ses" sujets per i i tous & son tour anx dépens du colonel | in Conemmos uanalies 4 Bandix, simplement parce que le ré-- Peoce dre Aneunaitee ue ie it et qu'en qualité d'étranger il doit porter le poids des bévues améri-- juste les forces de l"---_a"';'"' bongroise chargée de "vpit-!-p-tdruq-oi u:fw- Vadresse des dn1 bataille, sans connaitre au | qui s'abouchers juste hn.dol'.u-i.u-lzuunind-é:r REVUE EUROPEENNE. Naw--Yorx, 16 juin 1861 Comte de Caricton. Les deux Candidats 16 Com#é 14 enc i odorinaat noven M. Friel m& réussit & mer-- vel'lledmhl to d'Ottawa, ot lea nou 'on en ces Ts in maraaine m lnissént plus le moindre doute sur son élection. _ Avec M. Friel pour le Comté d'Ottawa. M. Bell Rus-- E. byar paee buloice 1e eA interdts s Snonde Smoont us Pcarmiens the mieux san ve--gardés. La nomination aura lie@ Landi le ler jour de Juillet prochain et i yo-- taion les 8 et 9. _ _Les nouvelles que nous recevons de toutes les parties du Comté de Russell sont des plus favorables & Mr. Bell, et tout nous porte & croire me ce M. remportera une victoire 3gndée sur ses ndvnfa_uiml. Nous ne vons _que . féliciter élec-- l:ennpo':le oequmté sur' le choix %:l"' fernient en la personne de M. lu'l. Tout le mondé connait ses ta-- te, son énergie, son fimdo anx aftaires, et influence t il jouit déja Aalp'l:o du Gouvernement, li: pourrait u'augmentée mendat ql_'onAlzi conflerait, -- s des courses & E ont sus mntes les nfl'simsl:mmreurdé le m de 24 heures et permis & Lord Pal-- mertson de rallier bien des voiesper-- dues. Les affaire;, américaines }xgo- cuprient totjours beancoup le pu-- blic, et, malgré tons les voiles de langage possibles, i1 est évident que le cabinet anglais penche pour le Sud. i Le parlement de Londres a enten-- du de vifs débats relatifs a la sup-- pression de Pimpot sur le papier, qui a fini par étre voté, et cé vote a dil combler les veenx de M. Gladstone, qui l'a provogué; Une autre mesure, purement administrative, in suppres-- sion de la subvention accordée par le précédent cabinet pour assurer le service des corres&ondmees transat-- lantiques entre . Galway et New-- York, a failli assurer ou rendre au moins f)rol)ab]e le triomphe des to-- ries. Les deputés Irlandais, défen-- seurs naturels dugort de Galway, sont accourues dans lintention 3; voter contre le ministore, mais de Ce nest p5HMnt pas Paccroisse-- ment de la marine frangaise, surtout de la marine marchande, qui doit inspirer beaucoup de jalousie & 1'An-- gleterre. Ainsi tandis que, de 1838 & 1858, le tonnage de la marine a voiles, en France, n'augmentait que de 370,000 tonneaux, il augmentait en Angleterre de 2,900,000 tonneaux. La marine & vapeur, _(luoiqne rece-- vant des subsides, ne s'est accrue en France que de 50,000 tonneaux, tandis qu'en Angleterre elle a aug» menté de 400,000, quant & la ma-- rine de 5nem en France, elle s'est scerue dans des proportions plus considérables, mais PAngleterre de son eoté n'a pas cessé ses construc-- tions navales. NOUVELLES ELECTORALES. Le Times de Londres a fait ressor-- tir cette différence et calculé qu'il y avait en France 1 soldat sur 70 hom-- mes valides. . Or, continue le journal anglais, personne n'a jamais possédé un bon outil sans avoir la plus grande envie de s'en servir, et quanfi bien méme la France n'aurait pas d'es-- Eérances immediates et de politique ien définie, il est évident pourtant quelle doit vouloir se servirdune armée si puissante et si maniable, Contre qui? nul ne le sait encore, mais ce que nous tenons pour certain, dit le Zimes, cest qu'elle a aujourd'-- hui la méme sttitu%e qu'ily atrente mois, lorsqu'elle langait ses légions par dela les monts et fi:s mers, ct qu-- elle arrachait un antique apanage & un grand empire et & un Etat ami. Cette assemblée se 'montre moins coulante sur le budget, relativement surtout & celui de la guerre et de la marine. En examinant ces budgets, lw commission s'est apergue '?ne le chiffre de plusieurs chapitres de dé-- reme n'étaient pas en rapport avee e chiffre Weffectif des armées de terre et de mer tel qu'il est indiqué dans Pexposé des motifs du budget. Le chapitre de la solde, par exemHln, analyse d'aprés les régles actuelles, comporterait beaucoup plus Phom-- mes sous les armes que le gouverne-- ment n'en déclare dans son exposé. ce ministre de ne se pas démentir. Ainsi, le projet de loi ne -- laisse sub-- sister la suy ion --de plein droit qu'au ?dam&mnm en moins de denx ahs pour cri cir-- constance qui ne .peut mue. De plus, le gouvernement-- renonce & la faculté de suspendre on de mpgri- mer un jolu'lm)e aprés unegrenn re condamnation. _ Le corps législatif ratifiers sans doute ces amendements. _ En F) om s'occu; o ipoe d be en iorent reux décrets sur la presse du 17 16 vrier,hlsbg.h C"-v.'m pumvnl'n dans la voie libérale de Persigny, et Fon fl; &:mr Comte de Russell. Comte d'Ottawa. WR xiien de roputation Euro-- & Haaoust," ot jours encore ce soir. rant qud mivio is foolnquiny reod 3 o ll.'-h Nous voyons que Phabile directour du M':\ f"fi::;n;:?u tien rendre us w m possibles. ufl vient faire un engagement avec Mr. NEAFIE, o6 M. Langevin a 616 élo par acciamation représentant du comté Dorchester. 11 parait certain gue |*Hlot: M. Alltu- ra élu sans opposition pour la division de Québec. Enzcrion Momolnc'.--lgu.'dj, a on liew an Chiteau--Richer |'Appel Nominal des Candidats pour le Comté Montmorenoy. L'Hon. Commissaire des Travaux Pablios a #té nommé par acciamation Représentant de ce Comié. par acclamation. Quoique votant mlkment avec le ministore, M. s'est acquis, pendantsa carridre s:rlemenuire. le respect lfe Vestime ses 0 nts en itique, qui Pont w}_)im comidgg gmm: le type du parfait honnéte homme. T1 est un du petit nombre des supports du nllinim}n dont nous ne regretions Lllgl (ca__ z_0 CTns n fegretions t la réélection.--Montréal Herald 21. du Comité d'élection d'Haldimand, de la maniére la plus honnéte. Comme Ottawa doit étreune: Cité minigth. rielle nous sommes Heure@x de ypir qu'elle ait choisi un mussi ho homme."--ZToronto Gipbe d u nnéte + Nous apprenons par un télégramre spécial que R, Wp'gu F'ancien membre pour Ottawa, & été réélu « M. Scott a été élu par acclama-- tion, M. Scott a agi comme président Nous sommes henreux de pouvoir citer l'appréciation que font de M. Boott les Jourlnunx qui%\i sont mhn.' o en politique. Voici ce qu'en dll)siméle Gfie dz Toronto, et le &o»- tréal Herald, journanx dont Popi-- nion ne peut paraitre suspecte en eette circonstance. M. Scott s'adressa & Passemblée et dans un discours vivement a plaudi il expliqua sa conduite pl.r]g moentaire pendant les quatre der-- nigres lnngo. Aucun autre candi-- dat n'ayant 6t6 présenté, Poffcier Rs')portenr déclara M. Scott élu par acclamation. + Joseph Aumond, Eer., secondé par Phil%i&;pe Thompson, ficr., &ropun R. W. Scott, Ecr.l comme étant ls rsonne convenable r représen-- g}_l_- Cité dOttawa. rg" T'Hotel--de--ville--afin de nommer un candidat pour représenter cette Cité en parlement. Iprés les formalités ordinaires et la lecture du writ d'élec-- tion, Pofficiet Rapporteur, E. Sher-- wood, Eer., demanda aux électeurs de nommer leus Candidats. Jeudi, a 11 heures un grand nom-- bre . d'électeurs se sont assemblés & 1'Hotel--de--ville--afin de nommer un tant ces derni¢res lpud-. deux ont semblé étre de l'avis "du reste du comité ::. ma candidature, 3:' n'al ire autrement me Mais je. ne me suis pas retiré en faveur de M. Yong, qui reste le seul candidat lns-'dqt du oon':z' ; parce ue je ne le crois malgré : q?l:lité de m& malgré la :&.uio::u oalnité de dremnlm la veur opulations des paroisses, (dont je eoP:Esin plus particulidre meut les sentiment et les princi-- ;) tel que je l'ait dit d'ailleur s:m la petite assemblée qui a pré-- codé la réunion du comité et cela, pour une raison seule, que j'ai bien expliquée & M. Yon 'Ini'mime et & ses amis. Purcegu'il f.n partic d'une société, dont existence est consi-- dérée comme une source de dessor-- dres pour notre pays. _ Ottawa, 25 juin 1861 (Copie traduite.) _ _ Le comité des délégués des diffé-- rentes parties du comtg ayant décidé que parmi les candidats nommés, M Bourassa avait le moins de chan-- ce d'obtenir la majorité des élec-- teurs du comté. M. Bourassa se sou-- met au ]jugunent du comité et so re-- tire de la contestation. Je desire que cette note sort Pub-- lieé avec le petit document qui Fae-- compagne, et du se trouve ma signa ture ; pour que les Partisans zélés de Monsieur Youg ne se prevalent pas de ma decision, en lenr faveur ; comme ils ont déja essayé de le faire meme devant mi(ii. Veuillez me croire, Monsieur, Votre, Sir, ete., _ _ former une réunion des s dee Mpfm-dumoi ven d-m quatre personnes ues ticgtien dinv Terrevaiiiin e is raissait difficiles au milieu de tant de P tous deux *-lm"au': Lzfl_,h,(bu-apfi h'flzfi- Consé surs fi."ch:biulj& tundidats. --'Je ' n'étais 'confic au ugement . de ceux que l'on ma dit THEATRE ROYAL Election de ia cite CORREBPONDANCE ___ N. Bourassa. Geo. Ed. Steacy, Président. Irvine Allen, Secr., Conte: d'Ottawa. Ottawa, 26 juin, 1861 N. BOURASSA. 3 N64

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