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Le Courrier d'Ottawa, 15 May 1862, p. 3

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plus ~de qui sait ut alors} époise, ranches went de hss iptempe mps en ai ren-- el trop mme le portent nent de Cette nveanx ette se~ lle que it on & endant ite & ce qu'aux payea-- ucunes lles de s tiges t pour limite leuse ; nit par urs les ration ir que squ'une ind une n por-- primer, rolon-- glan-- s vers la vé-- ujour-- me on > plus lesquels ondante il suffit sa Lige s qui r tour aussi ui font que ainsi e les Rosier lusieurs T trds s sur un ille lui-- mbre de favora~ exis-- Panncé ux que nent oir sup-- lles qui de leur ble-- hore, it eat an ite qui P des amis de la tempérance, qn'on '.Mo-vofit(hndfirmw Babchis, frife 06 qu'il a fait quand i1 Etait at gouvernenr de notre RéAt, s6déciarer on faveny de ls loi du Maine, afind'obtenir les votes mu..' rale, émis Pidée qu'il fallait pro-- Is manafacture de In bicre ot de tontes boissons enivrantes 1 Cette assertion que je viens de faire n'est pas une hypothdse elle est fon-- dée sur des faits passés et vient de «"établir .aussi-- durant la ~présdate "'d'o'?fll;wl'mmm au sujet do bill régardant la taxation titution, .; qu'ils verlent le réta-- bti-";'m' 'de 1 Uniont _ Laréponse n'est pas difficile a don-- ) IAaOomfi':::ion I:tmnionsont une ot ifs6parable. premiére, cest P'Ame}la seconde, c'est le corps. Vio-- lez la constitution, vous renverses 1'Union. Détraises les Etats, comme ce plan le propose, faites en une ag-- E&fim de provin w&l- constitution nxm > pout vivre dans les archives du gouverne-- ~*wat, olle peut exister dans .nos sta-- tuts, mair\e sera une lettre morte, / olle no sera pas m.p-.hladerro-' téger les libertés ple que P'ame d'un patriarche peut. gouver-- nerla poussigre q, f.rmait antrefois Leur volonté fait Ja loi. _ S'ils sont en faveur de la loi du Maine, ils venlent que chacun le soit aussi, et sont prots, sille faut, a mettre en force tont le ponvoir du gonverne-- mtkpiq-rfiinmm cette loi. Enfin pour tout dirc,*Union que les abolitionistes /v. uler t soution: nent n'est pas celle qui tiste:on qui a jamais existé. ,Ils veent former une . Union d':{réc lou. idées de bien ou de mal, ui tisme q: lequel les consciences, et passions du petit nombre feromg la loi au plus grand nombre. 'Tout ce qM/ils font est détrimental aux autres leur convient, ils proposent de. dé-- truire on d'établir. { P# Et qu'on no soit point surpris, si Phi '(':ache la tyranmie sous ses plis, il| prés le sens de la Constil.tftion, et 'joue hyprocrite, il professe Pattache-- 3u'en conséquence il peut et a le ment et Ka dévouement & 1'Union, i1 | droit de s'en occuper. ' N'est--il pas rle le langag} d'un patriotisme | évident qu'il est dans le tort, et que ?:int, il ouvre ses bras lponr att is Constitution ne lui accorde nn(he' la nation afin d¢ lui dter Ia vie etiP&s tb [ * Woemewiolez ls Con-- touffer pour toyjours sa liberté -- ' r vous." . Il vous re-- _et étabiront les programme; poll-- fiqus"k; sbmegx ausei qu\ ngle- mnt Aps fonctions etl&gmxlx:]mauieront romages dr. parti ublicain ; mais j ite fort 'Bih pengent foflxr M. man, ceyx qui s'accordent avec Iubgetles personces distinguées que jrof imentionnées plus hatt & sacri-- figr leur conscience et la éonstitution po&]'nnour d'un -- triouphe poli-- t | On ue peut assez exagérer la mons-- fi':'wl' g:ceplan. S'il vient & étre , (le gouvernement général s'empsrera de suite du pouvoir abso--"| lu et mettra les Etuts du Sud sdus une dépendance tyrannique. Ce plan, d'aprés les résolutions de.+ Charles Sumner, homme & une senle idéc, a vues basses et rétrécies, donne au Cougrés le pouvoirde chargeren-- tidrement la forme du ouvernentfent,* de ¢réer pour nous de/nouvelles ins-- titutions, en un mot de mettre de co-- té la constitution quahd il lui plaira. La question la plus curieuse est dé savoir si les radicaux vount forcer les conservatife d embrasser leur doctrine extrémiste. Quant & moi, jesuis loin de croire qu'ils peuvent +u avec PEOTOPSCSERTTR ND TB MUCEVE. . S . Quoique les hommes los pils d# tingu u i ublicain s'acce dent avec m& sur ce point, Paile abolitioniste de leur parti con-- tinue tonjours--de les presser d'aban-- donner leurs vues constitutionnelles, #'ils veulent trigmpher dans les pro-- chaines élections congressionnelles,~ D'autres personnes non moins émi+ untadunho:n.i que lui parta~ pntureenr vues de M. Sher-- man, . MM. ontgomery Blair, Fes-- genden, Cowan et Harris ont mani-- 'festé la inion. . Ils woient tous que, de par_ un acte du Qongres Pexistence dus Etats du Sud, Cest détruirg la liberté américaingy et est vouloir un verne--' -hsuntntmud& fi:'voi-w de plus que d'.l-nmibctuoq' que le peuple des Etats ainsi m'est pas capable de s6 gouverner de&iumproprugi,aqu'aum- séquence il fant qu'il soit lnfim' mnnégmhw:a'pnr une ' armée toujoure gur pi ui ¢st armée toujoure sut pied, qui ést par-- L'Hon. John Sherman de I'Ohio| 4 209 étendue. Lorsqu'il devient un faisuit voir dernicrement en phl&clln-nh-'hqiu' M""'"_ ls grande est sa fécondité nécessité on se trouve le pour toutes espéces d'oppression. blicain de s'attacher & la N'importe quelque soit le lieu, le t prouvait en méme temps que .-!ubp&m,uilnioudom plndol-n'-ulad.itli;- né naissance, il se fait partout sen-- | moins qu'd recounaitre le droitde}tit; si cest en France, il pnduit] sécession te! que promaigué d'abord|@des maux terribles, sociaux et po--| dans le Massachusetts et ensuite mis | litiques 3fl out besoin d'6tre nl en force dans les Etats confédéres. E.l'l; clest dans ce pays, Paboli-- D'autres personnes non moins émi+ et la sécession m;::fikpn. untadunho:nj que lai parta--| ple dans une guerre i et mis pnturunr vues de M. Sher-- -rillonaxiuenuufi«uk | iman. _ MM. Montgomery Blait, Fes-- Jn pouvoir sans restriction détruit| senden, Cowan et Harris ont mani--|!a liberté du peuple, et un peuple | festé la Mnion. Ts voie;l gqui m!.wl.w'lt vollon}bb? tous qu un acte ceux qui le gogvernent ia force | Congvos Fexistgpes die Etaiedu guge|dun to! paagitr e pout is fare t--co parcequ'ils aiment la cons-- ot Pour ie Courrier dOttmwa. Le plan de Summner. le proposés en lent honneur) Lo repas terminé notre bande de musiqne est canadienne (cela va sans dire) fit soth apparttion. Nos mosiciens nous jondrent aire> si saotil-- h'h!-"hmnfiu-s-nnhu. ot lo plas grand nombre de' ceux présents ne tarddrent point do. se mittre on rang ot de danser poor tout de ben. \, Pas un mot déplacé, pas une parole d'ho-- menr, no fat proféth. Tout ao passs dans to plas grand ordre, L'nceord t is bonne entente regnérent parmi les commves depuis lo matin jusgi®an lendemain, on conx--ci se par ceur gui présents (cérémonie dasage comme saverz.) Une table bien pour la circons» tance offrait & convive le plaisir de jouir un pea plas de la compagnie du Capitaine, et celui ii agréable de boire & aa santé ot & celle sa. Dame qui tous IV Le premier de Mai, a ey lieu, & I'le du Cajumet, l'érection et ia Tevée d'un Mai, en Pbonneur da Capitaine Louis Brizard, Ker. 'Co Mai mesure 92 pieds de hautour. Cest un trds bean Mai. 11 est planié sur le bord de la rivicre, devant la maison du Ca® pitaine. I1 remplace celui qui a 616 rompu par uti cotp de vent, le premier de janvier aprés--midi, (dernier) ot an haut daquel on -ukli-lb'-vilhn,-mmomnlbul les grandes fétos. in bon nombre «e personnes choisies ot du lieu furent invitées pour t' on. Aptbllh'hfimnn\ .On nous écrit de l'Tle dn }!Qlumet sous lo titre :-- _ En'vérité, on ne pout trouver an-- cun raisontigment qmniuo concilier ce plan te avec la Consti-- tation, owle liee .avec surété a la 1i-- berté du peuple Américain. 8i on veut y parvenir, ib faut fouler aux Eied! la M, détruire les tats, établir le isme sur ce continent, enfin coat lutieme. Su'?powns qu'on puisse appliquer le méme raisonnement & la religion. Supposons que Summer et ses parti-- sans nous disent que la croyance re-- ligieuse d'une certaine secte ost fausse, et que ce n'est pas une religion d'a-- prés le sens dela Constitution, et uen conséquence il peut et a le gmit de s'e'n occuper. -- N'est--il pas brSAhin ib teidaiin i mnhan C2 DOERCGCCE!PrONQE, ... } a de meme pour tout cé qW i rendre, faisant de sa con-- scieuce ou de son mangque de cons-- cience la loiprganique du pays tel que toukdespote pourra faire. _ Le Con n'a done pas plus le gonvoir dfir::lir un Etat gn'ilpn'a le roit d'établir une religion. Mais Sumner nous dit dans son plan, « ]'enclsvl:ge est injuste. Je veux abolir les Etats seulement pour abgfir l'osohvag?." Cangrés poss@de dans tout ce qu*lle acporde. IA)Constitution lu?sse le gontrole do la'question de la liqueur, Ue Pesclavage, de la punition pour crime etde toutes les autres questions d;)mestiques, aux Etate et au pen-- e _ _ d . "Le gouvernement est fondé sur le consentement de ~goufernés, et ce consentement dans'te pays est conte-- nu dans ls Constitution, qui est la regle élémentaire 'de notre liberté. Dans cet instrument, le Propus a ex-- primé sa volonté; par elle il a mar-- qué les limites de tout le pouvoir gou-- vernemental, prescrit les ?intn sur lesquels le éongtes et le Président ont droit d'exeree;- lelnr )lm.orité. [@uicongue~--veut _ aller plus loin, est | un neur; ""M s mfchir. -- l" Jon --west Wbli que pour ter ce que in Constitution ordon-- ne rae énéral de faire. ; act-- dexcéder ses limites ? I1 n'a certrinement aucun droit. | La Constitution, par exemple, prescrit que le Congrds ne forec au-- cune loi pour &mir une religion quelconque ou pour en défendre le libre exercice, ou d'emJ;bcher la li-- berté de la parole on de la presse. Le m&me instrument pourvoit aussi %ue les pouvoirs non délégués anx tats--Unis par la Constitution, ni dé-- fendus par elle, sont reservés aux Etats regpectivemem ou au peuple. La premi'te de ses clanses dpéfend de se méler \g opinions religieuses, la dernidre mopitre l6 pouvoir que le W d . I I 1t ne lontpoint, il n'y a point de ré-- 'p&mll':'rf';in; {1-.5-'7.':1, il faut qu'ils nous démontrent pour nous con-- vainere, _ wan ri Sflrdn&n.dnm * Am:l-qdon question avec les homines qui pensent juste et bien n'est pas et ne devra pas étre de sa-- voir si_ Pesclavage est un crime ou mon, s'il est juste ou injuste, enfin pour parler correctement la vraie question est de savoin~ si cenx qai nous gouvernent ont le droit de faire tout ce qu'ils --nous proposent. ~ S'ils Détroit Mich. ler de mai V."» F Sm ---'-n -fim.wb& & son étendue. Lorsqu'il devient un &n ne saurait s'imaginer gnndoudt sa fécondité pour toutes espéces 'ow N'importe quelque soit le lieu, le "Pflkpltemguilnioudon- né naissance, il se fait partout sen-- tir; 'si clest en France, il produit ; thoghe i e op Apvelt ces ho lieaae e Le premier de Mat ), accompagné de sa Dame coups de fusile qui farent ut présents (cérémonie 'eg ' M. Bochanan propose qu'un comith soit chargé de faire un rapport sor in meifleore méthodo de tirer dertainos municipalités d'embarras dxosés: par 'In constraction de chomins de for, En réponse & M. Foloy, I'Hon. M. Car-- tier dit que les municipalités endetibes ne doivent pas so fer sor les deniare ue motion de M. Langevin, un comité pour prendre en considération les différents pro-- jots de loi relatife h Fusure ; ce comité est composé de MM. Bose, Carling, Foley, Si-- mard, Howland. Boorassa: Bochanan . A,. Les débats sur les bétisses d'Ouawa so wont continaés jusqu'A 6ha. uer soir. mard, Howland, Bourassa, Bochanan, Ar-- chambanit, Morris, L&rigetin et Tascherean. Les débaiy sur catte motion continuarent au départ de ln dépéche. Plusieurs projets de loi'sont ensuite lus pour une premiére fois. M. MacKenzie propose qu'il soit nommé un comité pour s'enquétit de la dépense de Pargent public et des travaux des nou-- velles bitisses parlementaires & Ottawa. Bur motion de M. Jos. Dufresne, il est or-- donné au greffier de la couronne en chance!-- lerie de paraitre demain devant cette cham-- bre avee les livres du poll qui ont servi i ia derniére élection de Ia division Ext de Mont-- En reponse a M. Fortier, M. Cauchon dit @ue le gourernement n'a encore pris aucune mesure pour 'élargissement de !a rivicte Yamazke, Sue motion de M. Hooper, il est résola qu'il soit ordonné & M. Robiin, officier--map-- portenr des comtés de Lennox ot Addington A la derniere élection générzle, de compa-- taftre & la barte de cette chambre e 21 con-- Cette motion fut déclarbe hors d'ordre par Porateur en ce qu'elle demandait une appro-- priation d'argent dont le gouverneur n'avait pas fait mention dans un message. La Chambre s'mourna & 104 heares Aujourd®hui, M. McGee dépose sur in table le ler rapport du Comité de Pémigra-- tion recommandant queiques altérations dans Je Département de 1'Emigration, relative-- ment an débarquement ef & la protection des Emigrés qui arrivent en ce pays. incultes de la courotine. M. Bureau propose que !a chambre se forme en comité pour prendre en considéra-- tiom Hopportunité de présenter une adresso & Son Exeelience m: dans Sur motion de I'Hon: M. Tessier la ques-- tion de la colonisation fut rélérée a un Comi-- 16. Sur la motion de PHon. De Laterriére _ le bill poor régulariset les expositions publi-- ques fut lu une troiséme fois ot passé. Quebec, 13 mai. LHon, M. Cameron présente un bill pour In protection des femmes mariées assorant la vie do lears maris. Québeo 8. L'Hon. M. Reesor propose qu'il soit fait wo rapport sur les employés du Bureau de Poste de Montréal, leur nombre leurs fonc-- tions. Le bill pour régulariser les exposi-- tions publiques est lu pour In troisizme fois et adopté. Vient ensuite In deuxi¢.ne lecture du bill de I'Hon. M. Lacoste pour annexer une partie de la municipalité de St. Lambert a celle de Longueuil. Dans in séance de londi, il a é1é nommé Nous ne savons trop ce que de Chateaubriand dirait de leur gouver-- nement aujourd'hui s'il était de ce monde Lorsque Chateaubriand était en Amrique, il disaitsouvent aux Amé-- ricains devant qui il pouvait ouvrir son dme " J'aime votre pays et votre gouvernement, mais je ne vous aime point" et ils 'écoutaient sans dire mot. On disait en ville avant hier qu'u-- ne cage de bois avait sauté lea ra-- pides du Long--Sault &.Grenville, et que douze hommes sur vinqt dont était composé 'équipage s'taient noyés. Nous a regu le nrpon du mi-- nistre du'x::nou surle Traité de Réciprocité avec ies Etats--Unis. Ce rapport forme un volume de 69 pages et contient en appendice une copie du traité passé entre la Grande--Bre-- tague et les Etate--Unis, en 1854, et un mémoire de is Chambre de Com-- merce de St. Paul, Minnesots, se dé-- clarant contre toute législation qui aurait pour but, dunntfi: présente session du Congrés, de suspendre ce traité et le rapport du comité de commerce. de M. John Page et de. M. Killaly, sor les bitisses d'Oitawa, --M. Page évaiue le codt total de ces batisses & $1,654,166. II ne do-- uih-qubm;uhl!.hp et Killaly, attribuent cotte angmentation aux dépeases imprérses qu'out nccessitées les canaax, les appareiis de chauflage et de ventilation et les accidents du terrain. lis peasent qu'ou--pourra beureusement: différer des travaux extérieurs qui cotweraient $315,-- 290. Une somme de $500,000 est ubces-- . saire d'mprés eux pour continuer les tmraux. hfiflmgqufl-r! table, dans laquelle 'se trouvaiont: les per-- sounce les plus influentes ot . les plus hono-- rees du lien. Honnear & notre Capitaina!.. Espérons que nous Pauroas encore longtemps an mi~ hou de nous ! Prions le ciel, que le Trés» Haut, proionge ses jours. Nous avous requ une. copie des rapports Assemblee Legislative. Conseil Legislatif. , 13 mai sur lus terres Québec 8 Mas Norfolk et Portemontn sont pris. La pre-- mibre do ces villes s'est rendue sans coup ferit. Lo gbnéral Wool n a pris possession #& la tdte de 5,000 hommes. Les Confédérés battus & West--Point so retirent ot MeClolian les suit de prbs. --Aa Merrimac n'em plas, les Confédirks car--mémes Pont fait anater. ' trois millions de dollars. Un incendie terrible vient de met-- tre en cendres nnwrflo de notre ville. Prés de maisons sont brilées.--La perte est d'a--pea pros Un combat nava! a en liea sur le Misson-- ri entre 8chaloupes canonniéres Confédérés ot 6 vaissenux (edéranx. La victoire west rangée du coté de ces derniers, qui se sont emparée dn Yorktown et du Jamastoin. Caire; 7 mai.--Un transfoge venant de Jackson, Missouri, rapporte que le quartier-- général de Beauregard ext & Pocahontas on pas moins de 75.&'!! hommes sont concentrés autout de lni. & L'armée du génerai Lowell est a 'Patho-- EM' sur la voie ferrée ontre la Nouvelle-- léans et Jackson, 4 50 milles no nord de In Nouvelle--Orléans. Fort Munro¢, 8 mai.--Le Président Lin-- coln est arrivé ici ce matin eta passé la journée aveo le génral Wool. Cette aprés-- midi, il a visité Newport News pour voir le énéral Mansfield et voir distinctement le 5bvr(u¢c ?ui a 616 toute I'upr'--midn';':-l- vis C sland, pour e pécher, sans donte, noe u:':nynibnt dcpo:omonm Jn riviére Ja-- ! Aucun de vos amis n'a 616 blessé, bien que notre perie soit considérable. Celle de Pennemi a 66 grande : hier, Hancock a éte superbe. J'occupe le quartier--général oi était hier Joseph Johnstom. . Williamburg est une belle ville, mussi antique que pitto-- Mme, McClellan, qui se trouve & New--York a regu, mercredi soir, la dépéche suivante, de son mari: «* Williamborg, 7 mai 1862. *' La bataille de Williamburg est décidé-- ment une brillante victoire. Nous avons les formidables défonses de Pennemi, Ia ville et tous sos malades ot ses blessés. ' On a regu du fort Monrog, une dépdohe qui raconte un combat intéressant. . Le «* Monitor," le " Ducotah," i0 " Sarquehan-- nab," le.© Minessota,"" le " San Jacinto," le *86minole." se nont dirigés le 8, vers 11 heures, par la riviéro Elizabeth sur la posi-- tion Sewaitet |ile Craney.. Les rebolics furent quelques temps eans repondre ; mais evfin la 'bataille s'engagea ; les Confédérés dirigérent «urtout leara batteries sur le " Mo-- nitor." Les vaisseaux et los forts échan-- gaient rinni les bombes et las boulets avec rapidité, lorique le * Merrimac® fit son ap-- parition, le © Monitor® fit mine d'allor & sa rencontre, maie aprés quelques évolutions, ils finirent par «o retirer tranquillement. Une bataille sanglante a on lisu a West Poiut. -- Les Confédérés ont ét6 battus et ont souffert de grandes pertes ; les Fédéraux n'ont perda que 300 hommes. . Nous lisons dans 1Zntelligencer d'Atlanta, on Georgie : Nous attirons Pattention des mem-- bres de la Société St. Jean--Baptiste sur Pannonce du secrétaire convo-- %nml upe assemblée sur ordre du résident pour + dimanche prochain iu-uu...-u.. BPe . Le premier ordre du joor fut alors in, et | M. Francis Cassidy comparat & is baire. | . M. Dufresue propose qu'en sutant qu'il | appert par les explications de Francis Cas-- sidy--et d'autres personnes qu'un accident incvitable I's empéchée de remplic «es de-- voirs d'officier=rapportear duns in demidre élection de Montréal-- Est, et que malgré la vhhh-bhhm-l-'unfl.mp-' bie en donnant son vote, la chambre cepen-- dant est d'opinion qu'il a agi sans mauvaise intention, il suit renvoyé. L'U-&.l.&flr':n-m en amende-- meat que cette Chambre doit pour Jn pré-- servation de l liberté et de PhounBtoté des élections seruter avec vigilance ia conuite des officiers--rapporteurs et qu'ayant vo dans |'accomplissement de ce dovoir et Pexemen de M. Cassidy, député officier--rapporteur et dautres temuins que M. Cassidy avait agi avee boune foi, elle ordonne qu'il sait dé-- eharg6. . La question était disoutée quand la depéche partit, L'klon. M: --Morria présente un bill ~pour vendre les bills faitsen conformité ux lois du Haot gt-- dp Bas Oanada effectils pour travsporter les biens fouds dans d'autres par 1 Voir les annonces sur la 46me ge, qui sont presque toutes non-- Nouvelles dos Etats--Unis. Joudi matin, 15 Mai 1862. Fort Monros le 12 Troy 12 mai. Baltimore, 9 mai ooo en e e en oE <»m laofiuoilbbtfi--u. Sa f-"hfi_mnn- 'l Yb Hone wtk: Grandear o%. regarde les billeta Pexsursion M---: m ® "'.1.'.'..."";"':&! I"m'fi.llw M. . Jown McGowan & Poffice da hi¥ ow k PHANIE, m'll.. 1 Il y aura dimanche prochain le 18 du o{nmtts heures de T'aprés in 8t. Te Beptine. pow Poladtion 3 ean-- * de nouveaux officiers, pour l'année courante. T Ce monument, fruit de la générosité des citoyens de cette ville, sera comte one at-- testation de ses éminentes qualités 6t de P'as-- time quil s'était aequise aupros de ses dio-- cé sains. D'illastre Eveque : car Prince de non, il fat mussi Prince de I'Eglise, Prinoe dave la ver-- tu ; Prince dans la science, et surtout Prinee par le e@ur. * Menearam nominis implevit, éloge touchant ndlgmflu grandes vertus de D. D. J. C. PRINCE, -- Primi Sti. Hyacinthi Episcopi, qoi in his mdibus obiit Die Maii V, A. D. MDCCCLX. Au bas du mounment, sar ane pierre on marbre noir sont insorits en lettres d'or ces Le monument dans leque! est maintenant renfermé, le coar du regretié bévéque Prinee est en marbre blanc et remarquable par sa forme simple en méme temps qu'élégante, on lit Pinscription suivante : Dieu. L'escorte se coniposait de deur éléves du couvent de ia Présentation de Ma-- rie dont |'véque a 6t6 le fondatear en Ca-- naca, doux de l'école des S. S. Anges, deur de collége et doux de I'école 8. Charles, qui tenaient chacun un ruban attaché & Parne contenant le caur. Toutes les communantés de in ville que Mer. Prince chérissait & un si haut dégré étaient venues pour témoigner de leur teo-- pect & sa memoire. Apres Poffice, ie cour de l6véque, enformé dans un urne en argent, fut transporté proces-- sionnellement de in dathbdrale & 'Hotel Le service fut chanté par le vénérable mpesire Lafrance ancien et intime ami --de sa graudeur. 11 est & regretter que lo pré-- dicateur qui devait prononcer Poraison fu> nébre du swint Eveque n'ait pQ le faire pour cause de maladie. Association St, Jean--Baptiste. --Nous lisons dans le dermer numéro du Courrier de St, Hyacinthe : Une cérémonie bien touchante par les sou» venirs qu'alle rappelait a eu liew hiet en cette ville ; c'étit la translation du caur du venérb évéque 'Prince & i'Hde!--Diou, pour étre déposé dans un monument & cet effet. «* Nous sommes heureux d'apprendre que Paspect de la récolte de blé, dans toutes les sections de 1'Ouest, est des plus satisfaisant. Le grain n'a pas eu & souffrir aucunement ds effets de la golée et a la plus belle ap-- parence. . Les cultivateurs sont tous joyeux par anticipation, de l'abondance de Ia récolte. Lo temps humide de ces doux derniers jours est venu en temps opportun, et fait aspérer une croissance tapide.* UN TABLEAU BIEN PAYE.--Le cé lobre tableau de Paul Delarothe, représentant Marie-- Antoinette con-- duite a l'échaffaud, a été vendu £32,-- 000. C'est un brasseur de Londres qui l'a acheté. «* Les apparences dela récoite de bié d'au-- torine promettent généralement : beaucsup par tout le pays. Le printemps est en retard d'une couple de semaines sur les terrosior-- dinaires. Un correspondant de North Mo-- @ naghan ccrit: Le premier grain somé en «* cette partie--ci du pays, le fut par M. Stack-- galo, le 25 avril." _ --Le commandant P. Fortin a'est.ombar-- qu6 fundi & bord du Napo!éon I/I pour we» prendre son expédition ordinaire duns: le Golfe St. Laurent. Avaot son départ, it lui a été présenté par le Dr. Robitaille, député de Bonaveuture, et M. LeBoutillier, députb de Gaspé, un 'chronométre en or, avee chaine, cachets otc., en témoignage d'esti~ me ot de raconnaissance pour services ren-- dus. --On hi dans in Review de Peterborough, Haut--Canada : tion, de in part de 'ampereur Nupoléon, de se rendre, cette année, au camp de Ch&lons. (Il Movimento de Génes.) --On assure que ie Pricce Hubert, fils du toi Vietor--Kmmanuel, . aurait regu . Pinvita-- _ Sur motion de M. Bell (Russell), it ost vo-- 16 un adresse a Son Excelionce, demandant copie du rapport des arbitres provinciaux en date du 18 cctobre 1861, des thmoignages qui 'accompagaent, touchant la réclamation des propriétaires de certains ponts de péage construite sur tm Rividre des Prairies, pour compensation résuitant de la revocation de certaines clauses des actes 10 ot 11 Vict., chap. 97 et 98, at des autres dispositions de. Pacte 24 F'.:t.. ch. 69. ' * Boniface" OttawaVotre potit morceau est biew joli ; deux on trois peoveat écouter arce plaisir, mais il paralttait mal sur le J. N. R. St, André Avelin--Nous a'avous point encore requ l'épisede de 1812. P'l--h&h-n-'dl.-.fi-'] weuter le capitaing de notre part. PLEVR-- --On lit daus le Spectator d»Hamilton Par ordre du Président, Hio servatur , do _ Las passagers allant aux céldbros sources de Caledonia poorront débarguer & POri on des voifares seront prétes & hm «ux Sources. PRIX: D'Ottawa & Montréal Tore alasse., . . .. 83 50 _Les exeurnonises, poorront obtenit des billets de retour 00-.5:' k Ovnvil.l::'hn- poor un jour, & moitib prix. _ __Le confort et Péconomie de cette ligne ne peuvent dtre sarpsssés. . Cette roule ost des rm, ot la plus recherchée par et au Vapeur * PRINCE OF WALES" a Carillon, arrivant & Montréal & 4,30, P.M. Retournant i1 arrivera i Ottawa & 6 P. M. manche) pour Montréal, & 6.30 A.M. temrs pU CHEMIY DX Fem, n(?'oi'nul & Grenville au chemin de Fer de Carillon et Grenville, E Yapear " QUEEN VICTORIA" laisse L Ottawa tous les matine, (excepté le Di-- « QUEEN: Vféi'fiifi:""ai'. A. Bowi®, "PRINCE OF WALES" "H.W.Smenueap LIGNE REGULIERE ET QUOTIDIENNE I1 y a de bonnes et '-';;-;:oum bcuties, et remises attachbes & son établissement, ou i! tient des chevaux quil louera A.des prix rai-- ronnables. RIVIERE OTTAW A, Qn"\il vient d'g réparer et moubler & neu. _On pourrait regevoir an certain nombre de pensionnaires goif au moig, soit & la journée, mknnl |: ,d!','f,d," appliquants. _ Font le trajet on Dix Heures. LE SOUSSIGNE prend la liberté d'an-- noncer & ses amis et au public, qu'il a loué la maison si bien connue de Billots d"Rxcarsion & Montréal et retour$6. II sollicite le patronage do ses omnr-lrio- tes en particuligr et du publicen géubral. Ounva, 15 mai 1862. te sera épargn6 pour® soutemt ta réputation déja eul:fi:l}:up:n"ni-an. ot in meottre sur unbriod & pouvoir oftrir tout le comfort dési-- rable. 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Brovon, Buonaxa® & On., Ottawa, 3 jany, 1862 U'A Pavenir i sera pdlyu, A haque Q vente do terres mindrales, unh:'r'ok régulien de 24 pour cent sur tous les mi-- nérmux:extraite; payable er espboes, sur ln valear.do minbral prefui pour le march6 & la mine, et que des lotres patentes seront émises pour tellen terres lors du priement des deniers d'achat, sans aucunes conditions additronnelles ; aussi que les lots dans les townships arpeutbs, qui présentant des indi-- cer de minérnux, reront Yendus 'au méme prix, par more, qu6 lys: terres Adjacentes, sujets au droit régalien sus néentiouné. GOUVERKNEUR GENERAL LOGXTIONS DE MINES, TERRES DE LA COURONNE EOCATION B MIM TERRES DE LA COURONNE. horloges e 'on voudrec faisante. _ " _ Oitawa, 8 mai 1862, + Pr. Parion. DEPARTEMENT ¥es Opangements suibants. tout ce que le magohé W Wvebom, one ton (Sign6) GBO. SHERWOOD, ler Mai 1862 Commissatre: LE MERITE EXTRAORDINAIRE mt het AnIBE Ayico Nomu® aitcamon Rue Dalhousic. A quelques pas du Marché, OTTAW A. CARON & CIE., NOUVEAU -- (= Ottawa, 8 mai 1862 MANIERE DE DIiSPOSER RUE CGLARENCE DEP ARTEMENT Sans Rival do nos QUEBEC, 21 AVRIL 1862 ont £16§ avtomists par EN..CONSEIL : CaAFFES Tout pais x La ANDREW 'RUSSELL, Québec, 17 avril 1862 DANS LA Assitant Commisenires, t#

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