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T est & peine nécessaire d'ajouter que les parents de Ia jeune Mrfiiém #'op-- posait & cette alliance, et que, quelque part qu'ils renconitrassont I'mq!oftnné' soupirant, ils le taitaient & peun pros avee h-Qm.hl::oz-Au qu'en mofi tent grand nom/ personnies recevoir leur collectent de taxes. Ton-- gagner les bonnes graces de la char mante Gertrude, & peine Agée de dix sept ans, an moment of ce récit com-- mence, et la seale enfant, et par con-- lé("mnt 'unique héritidre de la fa-- mile. 1 Derrigre la maison principale qu'on pout appeler maison de campagne, montaient les grands arbres un parc immense, et derrigre ce parc on eut Yu distinguer la ferme séparée par les cent arpents de terre que cul-- tivait le fermier du proprictaire, Du pare & cette ferme le chemin était ravissant sous les pommiers . et les vieux érables aux branches touf-- fues. On eut dit un tapis de verdure a bandes brunes. Ces bandes parfai-- tement égales, clétait la dunhie or-- nigre tracée dans Pherbe par le pas-- sage des voitures charroyant les grains aprés la moisson. Soit que Phabitant vouldt se dis-- traire au spectacle des travaux cham-- getres et admirer les lourds chevaux Pceil sonrnois dans Pombre des écu-- ries, les brebis dans limmense han-- fiard, soit qu'il préférat la promenade ies bois et des allécs moussues, . il n'avait qu'a pousser la porte de com:-- munication qui onvrait sur Ja cour de la ferme, on & traverser le chemin qui sédpsrait la maison du taillis ; mais de quelque coté que Posil con. sentit & se poser, il me tronvait que calme, sollitude, donce verdure, . im-- mense étendne'de la nappe du_ ciel, douce perspective de la plaine bigar. 1i} [ EDCT 20W!®, 8 deus ctages, avait pour ornement une couche de chaux, teintée d'ocre. Les hautes fendtres, & petites vitres carrées, et deux perrons a balustrades de iorre, donnaient & la fagade un caraotgre de noblesse, en méme temps que de simplicité ; le parterre constellé de fleurs robustes et violentes de ton, comme les roses blanches et rouges, les marguerites, les cillets, étalait son gazon dru et vert, rafraichi chaque nuit par un long ruisseau bordé de cresson et de roseaux & la tige flexi-- ble. Une épogne mémorable de ' Phistoire dn Cunada, cest-- A--dire, vers lannée 1810, vivait un riche propriétaire nommé Maurice Hubert Lafarge. _ > s Sur un magnifique coteau, & peu de distance d'un florissant . village dont les maisonnettes bianches et n?i- nées se mirent dans les eaux du bean gt. Laurent, apparaissait aux youx. du navigatenr une batisse splendide, mais r3ui échappait bien vite a ses regards, cependant elle mérite d'étre visitée en détail pour sa raro élécan-- SUBSTITUTION Le corps du logis, a denx Feuilleton du Courrier d'Ottawa CHANT DE YOYAGEUR CANADIEN (Pour te Courrier d Ottawa Litterature. Fier Oitawa, les feux du soir Nous guideront sur ton mirage noir ? Patronne de ses verts ilots, Ste. Aune, aide--nous sur les flots ! Souffies, zéphirs, car Ponde fuit, Le npiJe est proche et le jour finit. Pourquoi douner is voile au vent? Pas un séphir uy vide le courant; 3u-d d bord les vents souffieront, ous dormirez sur l'aviron. Nagez, ramours, car Tonde fuit, Le rapide est proche et le jour finit. La cloche tinte an vieux clocher, Et Paviron suit la voix du nocher. Sur le rivage il se fait tard. . Ohantons, chantons I'sir du départ Nages, rameurs, car Tonde fuit, Le rapide est proche et le jour finit. Amilé de C Anglais de T. MOORE Je Coutrier ¥ oes it { nt an sortir du bois, il de-- Ti dyraant pror Ievor ol sises de plus on plus égaré. La tempéte Le jeane homme n{pfit cournge, et le panvre animal, quisentit que le terrain s'6tait affermi sous sea gcd-, sembla reprendre une partic de sa premidre ardenr. Enfin aprés deax heures de lutte contre la tempéte, au moment oi le cheval épui.é de fatigne, sen.blait prés & se Iaisser tomber pour ne plus se relever, une ligne noire devint vi-- sible & horizon, et, an bout d'an ins-- tant, Hector se trouva sur l lisigre d'un bois, qu'il crut 6tre celai qui devait le conduire an but de son vo-- yage. Les branches des arbres se trouvaient la si étroitement entrela-- cées que la feige n'avait pn pénétrer an travers ot que la route était facile & suivre. ' Cependant, & peine était--il parti, que la tempéte commenga avee . vio-- lence. L'horizon tout entier était cou-- vert d'un épais nauge jaune d'ok tom-- baient d'énormes avalanches de neige ; bientot toute trace de la ronte dispa-- rut, et il devint impossible de gou-- verner le traineau au milieu de ce bouleversement de la nature. Le che-- val s'en allait an hasard, tantot esca-- ladant des montagnes de neige, tantot se laissant tomber dans les ravins. Cha-- que instant aggravait le danger que courrait le jeune officier, qui ne tarda pas & se convaincre qn'il' n'était _ mé-- me plus dans la direction de X***> Ces derniers prur:lirent A Damant heureux de le servir en tant qu'il dé-- pendrait denx, et Hector.rempli de joie s'en retourna chez lui pour s'0c-- cuper des derniers préparatifs. Pu is chargeant un domestique fidéle de Ia conduite du trainean qu'il envoyait a sa fiancée, il en prit un pour lui--mé-- me et se dirigea vers X***, La journée avait été par lui acti-- vement employée. Le matin il rvait été prendre avec le ministre de X*** les arrangements nécessaires pour la cérémonie. De 18, il s'était mis en quéte de téemoins. La premiére per-- sonne a laquelle il s'adressa était un vieil officier en retraite qui consentit volontiers & ce qu'on voulait de lui, une telle aventure, disait--il, Ini rap-- pelant agréablement les jours hen-- reux de aa jeunesse. Il trouva deux autres temoins dans la personne du médecin du village et d'un de ses ainis intimes qui venait de s'engager dans le ;nem|e régiment que lui. T m ns " s Nous les Inisscrons poursuivre leur voyage, occuper d'Hector. son les out averties que chacun était allé se livrer an repos, elles s'envelop-- pérent Pune et Pautre dans de larges pelisses, et chargées du léger bagage, elles descendirent & la porte de der-- rigre, oi elles trouvorent un traineau quiles attendait. Apros quelles y furent entrées les chevanx ®'6loignc-- rent & toute vitesse, | _ Lapproche de Phiver mit un -- ter-- me aux entrevues, mais la correspon-- 'ee n'en devint que plus active. lg'm chacune de ses lettres, Hector de | Lorme conjurait sa > bien--aimée de | huiter le moment de-- leur bouheur. **Nous disparaitrons, disait--il, pen-- * dant qlle,qulf temps, puis nous re-- * viendrons un jour uous jeter aux ** pieds de vos parents qui, touchés * mre notre héroique constance, ne nous °* refuseront pas leur pardon." Ger-- trude céda enfin & des instances de plus en plus vives. On convint qu'au enc t e ay 10 1 Jour désigné, elle prendrait un pré texte poar ne pas paraitre au souper Mn y o d t d n e on " 'mnouneq, ils se juraient mutuelle-- | ment un amour éternel, et, nocnnnt, le sort d'une injuste rigueur, is for-- maieut mille projet pour le combat-- tre. Entin, ils en arrivérent & conclu-- re que, puisque de cruels #annu o'urfxmxen:qi leur mariage, il fallait | xx is Paccomplissent ucfifemunt. Ce I t Penseigne qui émit un _ beah jour | cette proposition, ct il eut la joie de la voir favorablement acceuillie. maintenant })(illl' nous 1 Ottawa, (H.--C.) Joudi matin, 24 Juillet 1862 _ Copendant cette agglomération n'a jamais ou I'::m;nc darriver & I'homogenéité "hoche--pot, car elle n'est pas, proprement parlant un parti, c'est un amas de coureurs d'aventures. L'amour des emplois, in .soif du gain et des dépouilies gouvernementales ont motivé huri union afin d'étre victorieux, et in 1 _ Les querelles qui existent parmi [Ien diverses factions du parti réepu-- blicain produisent en ce moment un Jeffet trés malheureux sur les desti-- ; nés des Etats--Unis. Le parti main-- lt,ennnt au pouvoir devrait en tout ;temps étre harmonieux, mais plus {particuli¢rement dans la crise ac-- (tuelle qui menace la ruine de 1'U-- ' nion. qlnil le mal qui a assisté a la lnlinnee de 'organisation républi-- caine ne pouvait pas toujours étre confirmé, il fallait t5t ou tard qu'il se manifeste, et avjourd hui il vient de se développer au d jour toutes elpéel;Pede lmlflj POK:IS ues. Parceque son orrmution 3'nbord n'a été qu'un mélange mal assorti de tous Ie; liobuh du vieux i whig, des abolitionistes i r::icm, 'fe- know--nothings des.lr:- auchusettes, de républicains rouges de '48, de tous ces lecteurs hypo-- crites et ambulants; enfin c'est un muugo de tous ceux qui you-- t mettre en communileur con-- science ot leurs intérbts pour le suc-- ces d'un nouveau parti qui -eru'u: opposition au démocrate, c' tait leur seul F:i':t de ralliement. ooo en e en me en on de sa fille, Elle ot son mari consul-- térent &A ce sujet quelques uns de leurs amis, qui déci«iérent d'un com-- mun accord qu'il fallait marier les deux amants. plus one])lufl souffrante. -- Le médecin fut appelé de la ville voisine, et trou-- va a sa malade unc fibvre ardente, quila mit Xc"dm" «quatorze . jours aux portes du tombeau. Rien n'avait transpiré de sa fuite nocturne. La femme de chambre, dans son propre intérét garda un si-- lence prudent ; les autres complices ?u'ils fussent ivres ou & jeun, se dé-- endirent de méme de ioute parole suspecte, tant ils craignaient la co-- lére _ de Mr. Lafarge. Gertrude ce-- }»endant, durant son délire, avait par-- 6 si constamment dn jeune enscigne que sa bonne mére ne douta plus que amour ne f@t la seule cause du mal ifi o. ----Un peu mieux, dit la joune fille, J'espére 6tre bientot tout & fait re-- mise. La journée se .D nag mais vers le soir, Gert plus onerlufi souffrant« fut appelé de la ville v -- Comment vous trouvez--vous ? ma panvre petite, demanda M. La-- farge. sa Jeune maitresse avait passé une manvaise nuit, mais quelle se sen-- tait mieux depuis le matin, et qu'elle allait venir déjenner. En effet, quelques moments aprés Gertrude entra ot alla embrasser ses parents. en en es Ce dernier et sa dame s'éh\:t levés de bonne heure, ainsi qu'ils en avaient Phabitude, descendirent dans la salle & manger., Comme on commengait a servir i::thé, ils envoy@rent deman-- der des nouvelles de Gertrude, qui n'était pas encore descendue. La ser-- vante vint donner pour réponse que sa jeune maitresse avait passé une manvaise meit, mais quwelle se sen-- Snss 102 1 CORRESPONDANCE AMERICAINE Mais sachons d'abord ce qui se pas sait a la demeutre de M. Lafarge, P a e 1 i1 1 1 Qu'allait--il a;;;)r--ezl:h-e --des -- .gc'réue: ments de la nuit ? Lorequ'ils arrivdrent & X***, les rayons du soleil levant rougissaient déja les collines de l'Est, et fis cogs du village commengaient déja n'év:a- ler. La porte de la chapelle anglican-- ne etait fermée ; Hector se rendit en tollse'hei'te d la demeure du ministre. St. André Avellin, Comté d'Ottawa, juillet 1862 mon impatience étxit intolérable, et les minutes lui semblaient des jour-- nées, et il allait encore frapper . & coups redoublés, quand le vieillard tourna le coin de (lln maison -- condui-- sant un choval par l« bride qui eut bientot remplacé gelui de Hector, et ils partirent. . Les querelles dans le Camp republicain vingt milles. \_0' --Pourrieg--vous me .procurer un cheval pour continuer ma route ? de-- manda fi'wtor, qui éprouvait tout a coup le gentiment d'un homine con damné & mort. officier, x'"' ' atancer son trainer® ; ayaut frappé assez longtemps d--the porte, sans re-- cevoir de réponse, il vit souvrir tout & coup un Yetit guighet pratiqué dans le volet de la fendtre ; un vieillard a chevelure blaachey apparnt et de-- manda ce qu'on désirait. avait cessé et la lune sortant du mi-- lien des nuages éclairait la wnfigm converte de neige; un milieu de la plaine s'clevaient quatre on cing malenns suk. 30._ih. 200 2 (P our le Courrier d' Ottawa. voudrais sav (A continuer.) . wl doe? soir, (fverrrudg devint de vous @M, dtes . encore is savoir, dit le jeune suis eucore loin -- de .priga assez bien, 4 dame s'tant leves Rovseas Réellement, in situation du parti républicain fait piti¢, et cest mbme terrible & Ia comtempler. 8i ceffparti, n'était pas en possession dn gonver. nement, je me moquerais bien de ses Tok mm siriiome ow n remgh po" mais ses ans sents sont antant de -d"m"'_ le pays-- Sonincapacité & nm { fait en commun, mais qu'au contrai-- re ces derniers veulent le fouler aux pieds, le méprisent et méme cra-- chent dessus, et en conséquence ils ne veulent plus rien avoir a faire avec enx. II ny a pas une demi douzai-- ne de membres du Congrés qui s'ac-- cordent entre eux sur un méme point. Chacun veut que ses inté-- réts prévaillent ou que aa crpzuncc politique serve de regle a ln 1 gisle« tion du pays. On ne doit done pas étre surpris de voir de tous cotés surgir ces accusations sans nombre, ces animosités personnelles et ces haines améres qui régnent entre eux, découraeent. Inpeup]e, ruinent le pays, affaiblissent le gouverne-- ment et favorisent 'la rebellion du Sud. On a vu des membres répu-- blicains accuser leurs collegues et 'administratiou d'étre un tgs de gueuz, d'autres ne point rougir de jeter a la face de IOII)II'I confréfu ¢1ui veulent se séparer d'eux tontes les épithdles les plus grossidres qu'on puisse trouver dans le vocabulaire anglais ; et d'apros un certain nom-- bre d'entre eux on dirait que l'i-- vrognerie habituelle s'est emparée de tous leurs collaborateurs d'autre fois mais qui sont devenus aujour-- d'hui réfractaires . et qui forment pourtant la respectabilité du parti républicain. wva nc u ie ue oo c se t (Acco Ee Sumner nttnquef; Président et s'efforce d'exciter une révolution dans le Nord. John P. Hals ne craint pas de créer du trouble dans les rangs de cette faction, en décla-- rant qu'il ne veut plus dorénavant violer la constitution. CoHamar, Sherman, Harris et Cowan procla-- ment ouvertement que leurs con-- fréres radicaux ne tiennent plus au programme politiqune qu'ils avaient 1000000004 ooo 90 Sn Emt les vices, les défauts et les motifs du parti_républicain, veuille aujour-- dhui 'écraser et le briser en mille fragments. Ce parti de son coté est convaincu que ses jours sont comp-- tés, que son régne est fini, et cest pour cela 3ue l'aile abolitionistes veut dissoudre compagnie et monter bogtique & son propre compte, | ces memes positions profitables qu'ils 0¢-- | rutem maintenant, | e parti démocrate avait prédit | que ce résultat serait certainement incvitable, -- Mais le peuple fermait les yeux pour ne point voir Pabime qui se creusait sogs sea Piedl, et ne voulait point croire qu'il était si prés de sa chite. Aujourd'hai il est revenu de ses erreurs et touche du doigt les vérités que la démocra-- tie a voulues lui enseigner. Il est pleinement convaineu que ce parti est fondé sur un principe oorromru celui d'"agrandissement personnel," il sait maintenant qu'il " _ préche, des doctrines révolutionnaires, qu'il est en opposition d la constitution, qu'il ne respecte pas les lois établies, enfin que toute sa, politi(}ua n'a 3u'nn but, celui d'opgooer e '!mrti émocrate." Il n'est done pas éton-- vant que, le ')euple. nprgl avoir Icompriu Iels faill)'e-e-, la oorrugt_iop, | _ D'ailleurs, ce parti,ou plutot cet-- te agrégation n'a jamais 6té faite Eour les temps d'6preuves et de trou-- les ; car n'aglnt point de principe, d'éno.rria et d'unité d'action, ellene pouvait se mettre au -- nivesu des circonstances et vaincre les difficul-- es qui devaiont plus tard se présen-- ter. Enfin pour tout--direen peu de mots, > l'orqwintion du parti ré-- ublicain n'a été qu'une habile E)urborie quele hasard du temp a favorisc, et que Dirréflexion et les préjugés du peuple ont fait monter au pouvoir des hommes qui s'étaient épuisés en vain pendant les années durant qu'ils combattaient dans Nes rangs constitutionels pour obmnirl victoire aujourd hui cause la division dans leurs rangs. _ -- |__"La grande faute consiste & avoir sacrifié et divisé cette grande armée du Potomac, et cette faute, cest Abra-- ham Lincoln ou Greerges B. McClellan ui l'a commise. Il est inutile d'en ::'hcrcher un troilién'le. Dans mon jugement , le coupable devrait non-- 'lenlement dtre dél:nil de sa chsmo mais encore étre sonmis aux pénali~ toe im%éo ar la loi. La nation a été dés nor& par cette division do1 T'armée du Pxiwm-c, et E. H.B'Sh.--- ton 8'y est toujours opposé. cette pnnle armée avait ef?' commundée par Parchi--trattre Jefferson Davis, il n'y a pas un mouvemnent stratégique qu'il n'eut fait faire depuis le lnzb- combre, Je demandoA la presse ot aux traftres du de cesser de 46-- noncer un limpu'gcmdn ¢t de dé-- noneer Abraham Lincoln on B. MeClolian qui a conduit Parmée dans les marais de Ia ob les m"ofl'" m-fi trom ot & ldoz'::n soutenir un combat bare, pendant qu'an renfort do hommes envoyé de in 'droite et dn centre aurait taillé w loe belies on -- les nurait miny. Cest un erime odieux qui vandra au coupable P'animadversion éternelle de la postérité. Le pays de-- mande un sacrifice pour ce crime, et la presse dn pays demande le sacrifice d'un simple secrétaire, Stanton, le se-- crétaire devant ob€ir anx ordres dn Président! 8i la résolution que je présente est agréce, dit M. Chandler, 1 elle--ménera i'iu découverte du vrai coupable, II n'y a qne donx perlon-' ;-u qui puissent avoir commis cuul aute. N Le sonateur reprosentant la Pen-- !nsyh anie a besoin de savoir ob est Parmée et qui l's placée ld. -- L'armée du Potomac, quand clle se mit en narche sur fianmms, comptait 230,-- 000 homines, et Fernemi moins de 30,000. Elle marcha sur Manassas ret y tronva 32 canons de bois et 1,100 chevaux morts. _ Cette arinée aurait pa marcher sur Richinond on 30 jours et, sans perdre mille hommes, et rien n'em A(:Lair quelle marchat, vers (})mr{efltun ou i Nouvelle--Orléans, Maislesénnateur représentant in Pen-- neylvanie, a besoin de savoir qui a I»lucé l'armée oi elle cst. _ La Krcue, esxolitiqueurn, ot les traftres du pa-- ys déclarent que clest E. M. Stanton: qui l'a placée 14 ; mais Stanton n'a-- vait rien & faire avec le placement de I'arimée dans les marais Xn Chickaho-- chigan, pendant une discussion qui g'est Clevce sur la demande d'une on-- quéte,. -- Voici, d'apros un journal, les paroles prononcéos par M.' Chand: ler : chigan Depuis les récents d@sastres qui ont fondu sur Parmée du Potomac, le président Lincoln, le général Mc-- Clellan, et M. Stanton, secrétaire de la guerre. sont le point do mire des censures les plus malveillantos. . Les accusationa r.-u plus graves ont 6té lmn.ém contre eux dans To sénat des Etats--Unis par M. Chandler, du Mi-- Detroit Mich. le 11 de juillet 1862 an y compris méine los llllk;llflql-l'; larcins da grand voleur Floyd. I El ooo o en eentony il ne reste absolument rien. -- Cest un vide complet; mais s'il a failli dane sa législation, on ne peut pas Paccu-- ser d'avoir mangué g: suceds dans tout ce qui mgnr}n surtout le péculat la fraude ot le pillage, car an dire md-- me d'un de ses membres le plus cha-- leureux, on a K{Ius violé depuis les seize mois que M. Lincoln a pris les rénes du gouvernement que sous toute Padministration de M. Buchan-- au parti rérub]icuin In mesure de Bumner qu'il a adoptée et la taxe ;fé nérale qu'il a posée pour défrayer les dlépensea énormes de la guerre civile, Cest la soule mesure marquante que le parti républicain a sdoH)tée de-- puis l'é;ection de M. Lincoln, Pascen-- dance des abolitionistes au Cangrél ot la grando rébellion du Sud. -- Otez | _ Cependant i serait injumb;lo ne accorder au i ublicain El:.olit.ioni-u le mm dr";':oir em-- porté d'emblée et d'avoir adopté sans op{)oaition et sans obstacle mi eux le magni/ique plan du oim philanthrope Sumner, qui permet aux meui':m negres de %Inyti et de la Libérie de venir s'instaler dans la métropole des Etats--Unis, afin drof. frir a nos " dames" du Détroit et a toute la haute aristocratie américai~ ne le privildge de s'associer avec le spirituel, aimable et durant M. Ju-- piter Sumboet son agréable, fagon-- née et élégante dame Vénus Jum-- bo. | & bonne fin la guerre que wa'nhul- tisme a T'f; ve . qu'il . est | d'abord in ique. d':"l,: mfl...o. du ! rouph. ot q'\;'nl ne mérite pas enguite le respect des puissance | _ Faible ot vaciliant, i ngt:;m;: ' but fixe ; anjourd hui il adopte une mesure pour plaire & une certaine aile de son parti, et demain il la revogue pour satisfaire une autro. 11 est on-- tidrement dépourvu de tout principe, de sinoérité, de persévérance ou d' habilité, excepnté pourtant dans ce qui regarde la mnmdn piller on gros le trésor public et les intrigues qui puissent n-ng'polldquflnont & ses partisans dew"atantages ot dos sucods 'personels. gerait libéré, 6t qiue 204 julter 1863 dov wu 863 deyrn ; ceux qi auro ' Dcn;e une d-r.ndmfl'r;u o.iéx ances, le Sériat a ¥ote par23 v contre 17 l'.dnmm 1U-- nion, 'comme* Etat distinet de la Virginie otcidentale, ~Ayant le Fote wfi':finfit tant que tout esclave le ville, bien qu'oney entoie tous les renforts -- disponibles. . Une 'foule de citoyens partent pour le le Nord, ungia que les sépara-- tistes expriment tont haut Nespé-- rance de voir arriver les gens da Sad. Les unionistes ont dispo-- s6 des batteries sur Ia capitole et les endroits él6vés, résolus s botibarder la ville si les confédé-- rés s'en .emparent. Cdx"ci, as-- sure--t--on, ne' sont o's quin--, %6 thilles. phea ® Les confédérés obtiennent, en effet, dans cette partie du pays, des suocée signales. . Nos dépéches des Etats--Unis ne contiennent rucune annonce de nouveaux combats devant Rich mond _ En échange, tout linté-- rét est maintenant concentré vers le Sud--ouest, -- Chaque jour révé-- le que le mouvement qui se ma-- nifeste dans le 'Tennessee et le Kentucky, prend des proportions telles que les fédéraux auront I1 y n quelque tems, in soidat désertonr du 16e régt., s'Gchappa & Rouse's Point oi il enrola dans Par-- mée fédérale. Un jour qu'il s'était aventuré an dela dos lignes pour cun-- cillir des fraises, il fit empoigné et amené A Montréal sous un nouvel uni-- forme qu'il n'avait imalhenrensement fM recu de Sa Majesté Britannique, :mrn traduit devant la cour marti-- ale. se somt embarqués mercredi & Boston pour retourner en Euro-- Fe. Avant de partit, ils sont al-- 6s rendre visite & Madame Mc-- Clellan, Dimanche dernier On ne sait pas encore la cause du dé-- part des Princes frangais.. Sid oo e e e en tee compagné de ses neveux le comte deParis et le duc de Chartres qui avaient pris du service dans Par-- mée américaine, 'année derni¢re, ~--~M. le Conlll.ggnéml de France, le Baron Gauldrée Boiloun a visité le cing du courant, les mines de cuivre d'Acton,. Ce mousicur a paru en-- chanté de la richesse du minerai que l'on exploite dans cet endroit. 1013 O003 Co2CRFERATC 84 ligne & Pem-- broke afin d'avoir une communication avee Rentrew, Arnfriou, Pakendam et le Portige du Fort : ----/.8 compagnie du télégr Mantré:l ci?rt'gundre sa ligne 104208 1 Wt L'anxi6té est grande & Nash reate du comté de 1' _qui n'est pas soinpris darie lnm0nnd- ville, los comtés de Mont et de Bellechasse ot les paroisses £ Baint-- Joseph, Smint--Henri ' et de notre-- Dame--de--la-- Victoire, dans .Je comté de Lévis. -- 2&;ou%oh@am.--(bmpnnlnt les comtés de Cha in ob , do Saint-- Maurice ; In vi;? M'l'r&-m&am- les isses de la Rividre--du--Loup de m&-IAol), de Saint--Panlin, et le township de Hunterstown et son angmentation dans le .comté de LHlHnungG, De Lanaudiére.--Comprenant le reste du comté de Mmkino:}gé, les comté de Berthier et do _ Joliette, moins le township de Kildare et son augmentation, et --moins > aussi le township de Cathcart. ruio;ia.--Comprenlnt le reste de In cité do Montréal, qui n'est pas:com-- rril dans la division Alma ot Rigaud a w}?e non comprise, . Kénébec.--Comprenant le reste des comtés de Lotbinidre, Mégantic et d'Arthabaska, Nouvelles des Etats--Unis® coumtés de Saint--Joan at de Napienvil-- le ; Saint Jean--Chrysostome c': Rul-- -lw'id.n. '.fi" 'de, ;Chiteau-- ,:'fi; Hommingford, _(tu le comté untingdon. h P" ----Lms ©/octions qui doivent sgifaire cot automne -b-&h-c le nombre des Conseillers élus par le en vertu de la"loi prssée ai read le Consoil d'bhdl is aix dernidres divisions, . pour Canada, qui ont des membres &' sont ; ¥ --La comy HN00NV 0d WBy 'Etat aprés le 440illet 1863 Le Prince de Joinville, ac ulpM. f ® Les élections qui doivent s¢iaire untingdon, --Gomprenant lo tnudo -- 297 , un soldat s'échappa & la dans Pur-- qu'il s'était be ud @N¢ [ les BC'