_4 9 Tout souscripteur qui chan-- ge de> localité, "sans :en' donuner avis«aw propriétaire d'un journal et qui est cause qué--le<journal Ini est adressé au bureau de poste, de sa ci--devant résidence. est tenu responsable de Penvoi du dit jour~l nal. . 1 89° Todtsouscripteur refusant de prendre son journal au burean de poste, ol il lui est adressé, est rel'po'da'sblede Tabonnement, jus-- qu au payement : des arrérages et ordré' dé renvoi; renvoyer le journal,ou refuser --de le prendre au bureau de 'poste n'est pnsl'uvisl que la loi requiert 2°\ Tout>~souscripteur quirne | uns c trangtmet pas les arrérages qu'il ;fl"' doit, au moment ou il envoie son Tuve ord?l de distontinuation, est ex--| D ,'fé pos Arecevoir son journal et d s:gg payer tous les numéros transmig, donm Jusqu'au payement 'de tels an'-,g}lgfl rages _ d Adiut Loi concernant les Journaux. --r0=---- f 1©--Tout souscripteur quine donne pas ordre formel de dis-- continuer »llenvoi d'un journal, est censé continuer son abonne-- ment. ° ; KtCourtier D O ttaton court délai. t Nous a£rt'om instamment ceus de nos abonnés qui n'ont pas mam.m leur abonnement, de bien voulo ir te faire sous le plus t Le Bureau du Gourrier se trouve maintenant Rue Clarence prés. de la Rue Dalhousie, & la résidence » dn Rédacteur, ~Les personhes qui désirent annoncer, ou transiger quelques --affaires quelconques sont priés de s'adres--. ser directement an Propriéhirep' Rédacteur; 4 nfl"';g:mm e m_flupr'fl:t dre gu'il serait enfin temps qu'ils se rendisnent d nos Justes dema Ne ie nareenainir sontQC)ePavasues D'AVANOER;, Tne visite do mos voisins. rappeler qu'il faut se soumettre d ""fii&" tons dabonnement--qus Mi«lqmi'w parvenir par te, affranchie, sera P: poste, mon prit des capitalistos Now abonnés voudront bt. Ottawa 21 Aout 1352 « Dorion, Redacteur, rout i I w"' ¥ork, r':""d: de' marghan l!!!'_t."_ beaucoup t un grand poids sur Pes: NPA ie t ~*, dbonadbaeg in de: led.: con» sux chites dee TieuX qui pour nur autour--de 1 leut sera servi le meéilleoures recevoir plus con-- Fid@le & son pn\gnm:w le Minis-- tdre fitnfl_ e';fi peut to;ém 'les ninag:.- tes; M our va done cosser tre Tnspecteur des Postes. Mais l0 gouvernoment devra utiliser see serviges dan sun emploi qui serattache & ses aptitudes, A ses études et A son expérience. M. Meillear est un hom-- 'me qui mérite mienx qu'une singen-- ré, qui 66t en état de rendro an public \A'éminenens services, ot qui a . droit de la-- part du gouvernement anx met i la considération que Pon , dans tons les p-fp, aux fone-- uonnddr;qnl ont 'ié:i'il dang . des ites dont le profit était an--dessous s:'lur . DC -- Ctait an--dessous Nos nou¥eaux d On sait, dit 'Ordre, que le Dr. Meillenr a été pendant plusieurs an-- nées Maitre de Poste de Montréal, ot on n'ignore pas que cette charge est uns des fonctions pubh'(]nu les plus ardues et los plus difficiles & remplir, T! était seccondé par un corps d'em-- ployés trop peu. nombreax, qui a été rté sous lo Maitre de Poste actuel, 5: 22 d 68, et sur lequel on ne lui donnait droit d'exercer qu'un controle insuffisant. Aprés qne?que. aunées d'administration, on -- constata un déficit de $5,000, et lo Ministoro en« voya un employé supSrieur, M. Le-- Nous avous Je mis, respecté ct véfib}%'j;l;;'&;d. derniers nevenx. C m t NP SZTORd NV M. le Dr. Meilleur a rendu & son p':ys en mille occasions, dans la législature, par la voie de la presse, etc. Son nom sera uni d celui (fe feu le vénérable J. F. Perrault, pour lour z&le du bien public et comme étant ceux qui ont travaillé le plus & Pavancement de N'éducation sans avoir été & peine ré-- nuniérés pour leurs longs et pénibles travabx, et toutes les tirades gn Mer--. oury et consorts n'emfiocheront pul gue 16 nom du Dr. Meilleur soit trans-- De plus le «Mercury devait aussi savoir qu'en parlant ainai il soulevrait la presse fru?aiu du payscontre lui. L'on connait 'Ailleunr; services q ue M. le. l]I)l-. Meilieur arendu & son pays TT 0700 ROwene en ver ty ceb _diou viqlenutos, qui, tembl':hl:': 'des | viperesme se plaisent q; erser i P lauh 'h".rn.«."' feweds faags: i nter e g: vous'ruingront la. meilleure : des Causes, qul vous : feront . perdre .. vos _llhll:n'unlfiplicront vos ennemis, etc. +« Cortes le AMeroury, journal anglais w mauvaise grice do'nJo point . laisser soupgonner qu'il y.a chez lui et-- an-- tour de lui?'ombre do . cette : belle qualité, qui a mom.... détécatesse, elle lui parait . exotique--car ses rédac-- tears devraient comprendre qu'on ne porte point ainsi des accusations aus-- aiinjustes contre un canadlien--frangais, qui a toujours 6t6 estimé par ses com-- patriotes, dont la probité est devenue pour aingi dire proverbiale, contre un Lommt de la respectabilité du Dr. | Meilleur sans dtro an moins certain | de ses avancés. i sea atrangements." Notro 'sor ondant Enropéen de Londres pro-- us avona Je plaisir de présen-- "m.uml\:lwr- indants avee leaquels nous nvone 'envers le xl'fllflz leroupy, car i1 doit y avoir 'ddvales bureaux ood.mior,,eom--- lo.disait un }on::nh Mu'da la lalldhnn ommes. !'l_::viohltu, q:'i. semblables & l{d.:; Notze eonfrore de Québec est -- en core trop:modéré dans son llu::e. B "P--M0in Aiipptdiinint h Gnccriat cesicacicws T Dr. Meiliear 'dont toutJs monde comnalt is "e daornts" ts D; To: M:l des '6tats do '-:'.qll ve p'nv'nbl ubtre vant '1." llm-l-m vhl. an '.'p:hlu ol a Iul'c'?lmd In considéretion et & i @ratittde publiques. Quoiqu'l! arrive, nous sommes sur d'srance de la décision impartiale de Iadusinistration 6 son égard.--" Canadien," €Umisdon: un déficit de plas'de $5,000 tglzm:.u:.h., mu.'l:'im .p'u *n rembourser. Nous regretions 1e © Mereury® :46 sol #n empress6 do -%dud-&ol . m um sommes bien rmés, teposent sus ute enqubte dont les revélations vout & exo-- nérer pleioginent de tout blame personnel 1-- , dans tous les pays, aux fonc-- res qui ont vi.nfi"a... des lont le profit était an--dessous mérite ot de lears services. *Mercury" ¥s. le Dr. Mellicur w h .'- Mhrar sc ow Torgnine Soy w7 malie dicge in Mellieur gomme Tuspectcur de is alréal; ond«»mapt pour cause de ssion' un déficit de plus'de $5,000 Correspendants. nais du moins Pautre de ces ho m Cl ETT Ill'u,"filn pes en que nOB lienne tidre : d'économie politiqne: . .Os im' n'est pas fitt-:_r pour 'ndminnteation, 06 Weshioglon ; mais on sait "Md'o-'ym "P"-flo'-h--'rn pasda main i)our le cbfir;; :Elleaccuse ouver-- 'emént M. Linooln ot ses conseil-- lers d'ineptje 6t d'ignorance en ma-- La presse anglaise se préocén Megnp de la grise financidre ..l: vicaine, ot blime toutes les tes1res prises par l6 gouvernement fedéral thise, 6t poor le gouvesnément du Non! une dette presque znb A calle de 'Angletorre ; 'Mpn-l les -- résuRats obtenu® depuig : un an an D* Mutes : 'o sany coulant par rorrents, metce anbantly in prodaction anerwe aommation nulle, la furtune privéo ltes, low cambagnes sns .,_:',.-. '.I'IQ: coltes, low campagnes saccag niuh'. kll:l'_mt par torrents, l:eom- $ an 2 Et ETY ** Quoi qn'il on soit, Jn dutte, a:o lutte ef froyable, cotte tuorie quia égul6 les pius san-- glantes batailles da: premiar: Bmpitoy vo to-- commencer aveo plus d'dabarnement qne ja~ vinis. Ju-1:'! présent, lea résultats les plus olaire deox pays sont ccax--6i: das villos m'lhg des quantites 'immensus de n'nh:nu perdues, lor champay los 16-- anbtal PTPT T OAgST 1 i P P TTC Ton survivant« & cea horribles luttus ';wmm thire aveo orgueil ; © J'6tmis de Parmée ..do Potomac." _ Mais 64 parodiant le mot oblé, bre du général Bonaparte, .V;ch-Ilm n'a oublié qurune ohose; clest @06 Pimmorte} commandant en chef de Parm#e dTtalie n?m inscrit cette phrase antiqug tana. ea . progla-- mation qu'apréa des, vietvires.comme Rivo-- I1, Areote, Roveredo, Lodi, Montenotts apros nmlmn quatre armées autrichientes ot we piemontaise, ot forcé Pompereur d'Autriche, le roi de Sardaigne, le Pape -- ot Tea «ues italiens & demander. la prix . ' UDU prions lo lecteor de prendre connais-- aanee de la prociumation:adressbe k Parmde »du Potomac par son eénéral McClellan, . et queinoul publions ci--aprés Nons comprenons le« ilusions, nou comprenons, i lea exas gérations qui gnt bqurp?flwa%' le moral do soldat mis tavestir alnst la 46-- tit ot présenter six 'défaites sucosenites -- at des plussang luntes:somme une sbrig de viee tolrea contribpaut,d. opérer.an ~mouvemeit combiné d'avanes, 6'o<t, ce nous. sembloy: Rousaer Wh nausman dat i9204 08 eset uh peu trop loin l6 droit do ooo dos Sermgdsi 4 , Nt Nous voulous bien otoite que T08 sur¥ivants & coa horrihlas Jow.. #* ... En regard -- de ces nous prions le lecteur de sance de la prociumation:« du Pflomnqplr son aénér On continue a se préoccn; mond. Les prinoipn{axjournnux de Paris, le Constitutionnel ét la Patrie en téte, demandent & grands cris, au nom de 'humanité, une modération, et " s'il le faut, uneintervention armte. 0K 4. 1st¥ 00 hests ialicc id MA Li 'vé. Le Times voit tres au noir la si-- tuation actuelle du Nord, et . croit savoir que le président Lincoln, dé-- couragé par l'ineptie de ses géné-- raux et par .les tiraillements des partis ne serait pas éloigné & se lais-- ser aller A une pression amicale. ; Loxouss, 2 Aokt 1862. (Par ie steamer ©" Scotia.?") La grande question d'intervention duns les affaires américaines est de nouveau a 'ordre du jour.. Le cor-- respondant parisien 'du Times de Londres, 6crit a ce journal que Na-- poléon III s'en préoccupe plus sé-- Frieusement que jamais. ° II prétend que le gouvernement frangais croit le moment opportun pour agir, arri-- wél 62 ons NR uh 2 eClellan ']--> A.partiles Gcrits si intéressants de > no!ml::ldn Détroit.nous comptons 10 dm'e uzd::}' un li;on_veun o;rru- -- |.pon américain--qui.. signe |.New-- | Yorkais--" Je w.-gmi, nous écrit-- ;| il de rendre mes lettres aussi intéres Jeantes que possible, ct. sans . entrer | dang tom» les détails que yous pourres trouven dane, les journauy, je m'effor-- cerai de peindre' la 'gituation . :anesi fiddlement, et clairement, anasi, que possible whN. W Comm I'on voit les collaborateurs n> noug.foront point défaut, et il eat & espérer que les amis du journal s'em-- presseront de communiquen Ja bonne nouvelle d.leurs voisius et les prier de s'abonner & notre feuille afin de se procurer .ls longne série do--lettres in-- téressantes dont nous commengons aujourd hui la publication, va que nous tirons juste ce qu'il. nons faut de ' wg}u pour nos souscriptears. ©u8 commencerons . dans, notre prochain No. un feuilleton inédit que uous recommandons tout particulidre-- ment & nos aimables lectrices ;. ¢est le produit de la plume du. Révd. . J. |. de l}"" qu'elles connaissent déjé, f + En retour nous ne demandcrons a nos abounés, que ce que nous...svons 1 'tfiifimm&s g-fi:é par nowunu'i.l , prix de mille sicrifices, oa--d n&d des abonnements dus. Nonsaurons aussi prochainement un correapondant Parisien, et si nous ne :'mmu point trompés dans nos: ¢s Tances, nous croyuns pouvoir ' senter dans notre ";'lod::: No.P;fi écrivain--d'un,hant mérite qui a'inté. resse tout ur'ainlemenl & le. . conser-- vation et & la propagation du Cour rien d Ottawa, Tectenrs voudront bien comprendre tous les sacrifices que nous-- voulons bien nous i dans leurs intéréts communs, z'd':nivnl ln lettre le précepte d'Horace ; Omflm gud miscuit CORRESPONDANCE D'EUROPE. uir néipe qui les a conci fot qui en est .Z.um. y nous espérons . done (Pour le Courrier d' Otawa.) En racontant ce qui se passe d'ex-- wmal'rfm"z & t i arminpen issance des évenements, aft--comme historien; it tera commai~ les sciences politique U'_ll-uxd-nwnd: T0 O T0 prévccuper tres t des projets " d« Ceribaidt e, McClellan n'a #t u6 Pimmorte} Parmbe dTiale n'a senseigne me nt« [' et dans la fl; , h con« plus tard que nos intronisé, nos fiers répmblionins kursione puueg 1e "ooo rignblignins fNous sommes en plein régime ni-- mt'\ nne fois lanote sur cette pen-- to fitale, Dieu seul sait on Ton s'ar-- rdters ! -- Si, il y a un an . sonlement, hn atsts u22 adivs ut mandement. . Les Pope et MeDowell éwenm la ba-- taille du o6té du Nord, Ils ont été constamment exposés an fen le plus nourri, et un instant on a cru qu'ile aunraiont été faite prisonniers dans une charge du cavaleric enmemic. On loue ansai beauconp la condui-- te dn général Banks. Des denx cotés Partillerie a fait de grands | ruvages, La cavalerie ennenic a opéré succes-- sivement plusieurs cha magnifi-- :rueo' Cest l6 major P;mge, nd)'n- ant da général Banks, ;ni 8'est chargé :':- os.mmu:damm;]t es régi-- wents we. l est parve-- nu & h's"oo'::inma?: feu, On ci: parmi ments qni se sont maieux conduits ot nlt particalidgre-- mont mfenale'mo «du Massachu-- sotts, le 5me du Connecticnt le 2me de 'Indisna 'ot le'46me de la Ponn-- aylvanic. Pas dantres détails. . Hier matin, des escarmouches ont ¢u lien entre les deux Armée-i et _ un moment on a cru que la bataille allait recommencer ; mais des denx cdtés los aidats étaient si exténucs, que les généranx ont soignousgment évité ane nonvelle rencontre. Le général A. P. Hill a amgné 18,000 hommes de troupes fraiches a Jackson, que le géné;.l Ewell mnde dans -%n com~' mandement, et McDowell étaiant m' bpe o o e en m T WOTeUk ?sux. Aug?r et'.ktx gt;newdl Jackson eat légi blessé aA la main. Un grand nombre d'officiers wl:: Aemourés sur le champ de ba-- taille, * dans (RUn de Dien devint générgs: iJn n a encore que !réspeu dedétails ; mais, d'aprés les premiers rapports, il parait qu'une fois encore Pavanta-- &Ie n'est pas demeuré anx troupes du Nord, qui ont 616 ernellement déci-- mées et ont di se retirer & un mille et demi en arridre. Les gens du Sud sont demenrés maitres du champ . de bataille. Plusiours régiments dn'I)\ford \ ont été mis en déroute, et il s'en est 't;nllu de bi«iu peu que la panique . ne lswlee sd0 40. ! : Une sanglante bataille vient encore d'dtre livée en Virginie, & Cedar Mountain, entre le corps d'armée du général Banks et le famenx Stone-- wall Jackson -- en personne. Cest avant--hier, 9, que Paffaire a ea lien. On h's encore A16 WPs en esb onl rte B L0 ilg Cl e dsteniepe in p PR DT rrh force des armes... I1.serait & ln is triste et curieux de voir, en Amé-- rique et on Eum&u, deux républiques se plonger dans la plus déplorable des luttes, la guerre civile, pour em-- pécher un on plusicurs Etats de se séparer, Le Tessin se sent naturelle-- ment entrainé very I'Italie par la com-- munauté de la langue, des mcsurs et de lareligion. Mais d'un autre coté, cette scparation serait un précédent fAchenx que'le gouvernement Suisse ne sanraif accepter. _ _ Un nuage vient toutefvis de surgir 'dans Phorizon earopéen. Une dérgé- che télégra hique annonce que le panton fl f-m menace de se déta-- cher de Js Suisse pour se: réunir au rayaume d'Italte et que le gouverne ment s?déug est decidé & s'y opposer Tout ne respire,dn reste que paix et entente'cordiale, sur le continent européen. C'est u':z-truh frap-- pant aved la lutte fratricide qui en-- sanglante le continent amérieatn. Uentrevue des empereurs Napoléon et de Russic et du roi Guillzume de Prusse aura décidemment lieu & Co-- ln?no. du 5 au 10 septembre. -- Le nee Humbert, fils ain6 de Victor-- Ermmuual. épousé une princesse de Leuchtomberg, proche parente de 'empereur de l{uuie. i.o roi de 'Pr!qnl est fiancé a F'une des filles du roi d'ltiulio. Ces alliances ont une rtée politique 'gu'dn 'ne saurait nl:;:ttre l::'douu. ?'lrn:aatu, la nou-- velle du mariage du comte de Paris aveo la fille ainée de la duchesse de Parme est démentie. Correspondance Particuliere des Etats--Unis. vrs une rudé ligbn, w Vigtor-- (Pour ie Courrier d' Ottawa.) nos fiers répmblionine Naw Yorx, 11 Aoit 1862 avait pris un aspect nouvean t charmant ¢n dn on an tetiegs ® ; tout in ien x Touiteromnte Pn o. t 6monic. -- La chanalia Alboumemset wcces Kémonie. La chapelie éligamment parte Pendant que MM ies muciciens se prépa-- raient a charmer nos oreriles pat des flots de mélodie et dharmonie, dantres :nn- mes non moina zélées ni moins habiles ré-- jooissaicnt notre vue an faisant de notre mo-- deste chapplle un temple <décoré avee une fononterrmmtinas se te t étre bien considéra e moins, ceux qu'slle renformait a*harmoni-- saient ---icxm... aveo las seatiments de cony qui assistérent & in cérémonie, ot ils ceux natnre, ot vous saver na-- : est riche & w 3 : phh ©#. comme votre aluis es o t mt f8te pour Ogdensburgh, la féte de 1'A tion dabord qui, comme vous le any celabre toujours le 15 da mois d'Aot, snite la premidte Communion. T1 m difficile, Mr. le Rédactour, de vous mer avec quel bonhe'r nos bons Car ont aaloé fl-rriv'o de ca bean jour. nerait peut--btre plus difficile eacore d dire le. zéle, Pintellisence. Pentraia digue en ain un vieat. Neanmoine, on na "atoourates Pobnt; on 16 jour fot uow piag A dix heurés préci=as on commenga is 66-- Une Ceremonie religicuse a OGDENSBURGH. Ogdensbargh N. Y. 18 Aont 1862. Mongiourle Rédactour. Wila 0 A0000),27 CI2 CClFulE, Aprés avoir dépassé le boujoa Sara, sa machine s'est dérangée, et pendant qu'on essayait de le réparer, |'Arkan-- sas n6té attaquée par plusicurs ca-- nonnidres féd(irules. Aprés ue lon-- gue et conragense résistance contre des forces supérieures, le lieutenant Stephens, son commandant, l'a fait sauter. lLes officiers et tous les hom-- ' mes de Péqui ont pu er l cote sainnégt m pu gagn trat Mn ioi o o RonnoEeny ment défait, & Kicksvi",yln trou;e du séparatiste Porter, forte de 2,500 hommes. quinze mois, ils auront levé 1,300,000 hommes, et mis en jeu des centaines de millions. . Mais fe gouvernement est constamment demeuré au dessous de sa tache. D'un coté il a compro-- mis par ses lenteurs le succds des ar-- mes fédérales, et de Pautre, par des mesures impolitiques, il s'est aliéné les Etats fmm'i}:\,res, moins bien dis-- posés avjourd'hui que jamais. On annonce de S?t L{mis ue le co-- lonel McNeill, & latéte del,%OO hcm mes de; troupes dn Nord, a compléte-- 00. ies ts c ainbabindhcsnadAl ré ubli'cniues, le g;u:',eruement fedé-- nrnunit du tout faire pour Péviter. Mais il faut des hommes, et puisqu'ils n'arrivent volontairement, on les obtiendra mbme. Si enthousiasme des premiers mois existait encore, . il aurait été inutile de recourir & cette mesure. Dans le premier moment on a refusé des milliers 'de volontaires. On regardait le Sud comme un -- ad-- versaire trop faible pour nécessiter tant d'efforts. Ensuitesont venues les: fautes militaires et politit'ues des gé-- néraux, les bévues de Vadministra-- tion, etc., les lentcurs que le public ne s'expliquait pas, les désastres suc-- cessifs devant f{ichmond. Aujour-- dhui, se faire soldat, n'est plus qu'un pis aller. On n'a pas de confiance dans les généraunx et les officiers. Le citoyen qui risque sa vie a droit a certaines garanties. Les Etats du Nord ont accompli des prodiges. En quinze mois, ils auront levé 1,300,000 hommes, et mis en jeu des centaines de millions. . Mais fe gouvernement est constamment demeuré au dessous de sa tache. TDYun cAtA i) a anw..l. Pour en revenir an régime de la conscription qui répugne aux mesures Ie ana c cR tm Et encore faudra--t--il ensuite organiser ®t construire les nouveaux régiments. 'Une armée complétement nouvelle ne se forme pas ainsi en trois ou qua-- tre mois. Et les officiers, on les trou vera--t--on ? Il en arrive journellement d'Europe. surtout d'Alflem?ne, maie ils ignorent pour Ia i)lnpurt a langue et auront dans tous les cas un ap-- ntissage plus ou moins long & faire. E'Clellln a mis préos de quinze mois & organiser armée dont le Nord était fier, de laquelle on attendait des prodiges, et %m, & Pheure qu'il est, se trouve littGéralement bloqnée, n'a-- yant de communications qu'avec ses canonni¢res, démoralisée et souffrant d'an climat insalubre, Les enrolements voluntaire conti-- musient & marcher lentement, an moins dans les Etats de New--York et du New Jersey. Du train dont vont les choses et avec les difficultés et les lenteurs a'ue rencontera le tira-- ge au sort, les 600,000 hommes de-- mandés derniérement par M. Stan-- tom, ne pourront. entrer en cam-- Engu avant le m?l.i:u de Pautomne. t encore fandra--t.il ananita arsarnt.... rts. Bon nombre de passagers ont mmonm en nn'iérelj arréter et punir souverainement, sans sutre formede procés. Il est défendu & tous les citoyens valides de quitter Je pas on méme de s'établir dans un untre Etat. Bientot on ne pourra plus passer d'ulmil'lflm"p seports ol une autorisation spéciale du grand--prévot. Samedi, les deux steamers en partance pour 1'Europe out 616 retenus an quai jusgu'd --une heure nv.utéedchwmu" quence des difficultés vées par lupolin: dans I'in'.pe.miou des passe-- " r F C %Md-hpfl- rey & W et son chef .m été I! peot maintenant -: m I'sutorité des tribunaux ordinaires, Nxw-- Yorxars Lenmrt ue le now stea~ mer con a'é?"Ng.;Q"v;:"Liver- pool a relaché & Holyhead est dé-- mentie. IOn T'a va la do;n.iére fois e en vue * giant Pimmens Aondnanes w . P00 h"T-e-':anitMA 8A re-- 'M" dans n-l' Q.l'lrhad.. a ®st revenu senstown ufldMEVpurm'd- nation inconnve. Cée nouvesu mou n-u-ua les armateares ARRIVEE DU GLaSsGow. Cap Race, 15 aoit. Le steamer « Glasgow," parti de Liverpool le 6, et de Queenstown le 7, a doublécecap & trois heures et demie, P. M. _ Les= Nonnfihn" était de retour & ?:o-uw- e & courant. ©" Great Fll.mern'.' était en vue de Quenstown le 5 courant. Le " City of New--York" eat arri-- & Queenstown le 6 _ Cette conversion a créé une pro-- fonde sensation dans le Haut--Canada et le (Zlobe a poussé descris de colére fanatique qui ont trouvé de Vécho dans la presse anglaise de Montréal, Un certain rombre des amis de Sir Allan qui s'étaient rendus & Hamil-- ton pour assister & ses funcrailles. se sont absterns d'y paraitre, en appre-- ' nant sa conversion. Sir Allan McNab s'est converti au catholicisme avant de mourir. ka veille de sa mort, i1 regut le baptéme, !A Confirmation et 'Extréme--Onction des mains de Mgr. Farrell, évéque d'Hamilton, appelé par Mme. L&c Nab, sa belle--scour, fervente catholi-- que; et lundi il a été enterré avec les cérémonies de Péglise dans un sépulteur de famille, pros de son chi-- teau de Dundurn, A drté de ses deux femmes. mas 2220 ce SCs que'ques jours un temps magnifique tel gup le cultivateur ne peut en désirer de plus beau. Nous appre-- nons aveo plaisir de toutes les parties du pays que les grains sont abondants. Dans plu-- sieurs endroits le foin est déj& coupé et Pon a commencé & récolter les grains. --Le cercueil du major--général Bruce ex-- @nuverncor du prince de Galles, a éte orné d'one evirlande sur laquelle est gravée celte inseription :=--«* Dernier témoignage d'amitie d'Albert Edward et Alice,"" Istineti pea anntdncipks sans distinction de races sont invités & contribuer & la réception de nos vi-- siteurs. | [Nous croyons devoir repondre & notre correspondant que nous pen-- sons flne tous les citoyens en général aame Afastanginl o c See ons Plusieurs de mes amis Canadiens se joi-- gnent & moi pour vous prier d'exprimer le fegret que nous avons de ne pas avoir été invités & contribuer & la réception de ces MM. Américains qui doivent jeudi de gette semaine visiter notre ville. Comme nous nous sommes montres libéraux en toute au tres circonstances; savoir : & la réception du Prince de Galles, du Nonce du Pape, du commandant de la Capricieuse, et . surtout Tors de la venue de son Altesse le Prince de Galles; Pon aurait d savoir que nous n'au-- rions pas 616 lex derniers & nous montrer dignes de nos illustres visiteors. M. le Rédactour CORRES POND a NC 2 U ECTC CC MNUIMECS T Ottawa, est terminé pour le p:'gsent, il renferme 42 pages. M. Fuller, de la société Fuller et Jones, architectes des bitisses du parlement, est main-- tenant devant la cour. Le rapport préliminaire, fait par ordre du gou-- vernement a été terminé et envoyé & Québec.--L' Union. Agréez, M. le Redacteur Passurence de ma considération distingnés. 'Maintenant, M. le Rédacieur, si vous me permeilez d'ajouter encore un mot & cette «eitre déja longue, je vous dirai que j'éprou-- vais un scntiment de joie bien profonde en pensant que, dans cette ville oi deux objeis (en ce mument du moins) semblent exclu-- sivement aitirer Pattention: Penrolement 'les volontaires et la grande lizne de che-- min de fer entre Ogdensburgh et New--York, nos canadiens conservent & ce point Pamour de lsurs fétes religieuses. On dirait que C'est dans ces solemnités q0i leur nrpellu e doux souvenir Je la religion et de la pa-- 'tie, qu'ils trouvent leur unique bouheur. Ql'l'ill seraient heureux, M. le Rédactear, +'il leur diait donné de pouvoir _ bientét ter-- miner leur belle Eglise . . . «Quelques uns pensent qu*ils éproiveront pour cela dis d:i-- ticultes reelles. . Pour ma part, ma convic-- tion est qu'ils conduiront & terme ceite en-- treprise qui lear fait tant dhonneur ; il ne leur fant poor cela que leur géubrosité ac-- coutumée et pardersus tout Pentente et Puni-- formité de vue. Quoiqu'il en soit, vous nous «endiiez un service signalé, si vous pou-- viez, de quelque maniére que ce soit, enga-- es nos ccmgmlriolu d'Oitawa & nous aider on peu dans Paccomplissement de cette ou-- ve catholiqne et Canadienne. Ottawa 20 aont 1862 --Nous avous depuis quelques Wiblaifibls aidhit w o s 'vllni-hku'-,;u liee le chant de Véptes; méme fou , meme entrain, méme piz'é que le matiu. Aprés véepres, a'accom-- vlit la touchaote cérémonie de la renovation "es promesses d baptéme. En ce mo ment, un méme sentiment paraissail domi shredh is prone qa'uve tm site haile on cl un u'une auss 1 vair tair. Du nl-, il sorait ditficile d'as-- sister & une eérémonie de premiére com munion plus remplie de poésie et de charme ot en mLo temps accompagnée de phul vi.v-u etde plus délicieuses émutions. de peusbes e UHIDDOGcorresup Mc c k hss d at Pauditobe; aussise lnissant aller avs dlans de sout caur de atissionnaire, ie R P. fit une peinture saisissante do bonbeur qu"avaient ces emfants de recevoir leur Dieu i» méme qui en ce bean jour de I'As--omp too, couronnait dans le ciel in Sie. Vierge leurmeére, | L'suditoire paraissait virement impresiouné. #o ieuplissaat d'une foule compacte, sties La commusstox.--Le témoignage de NEBINE B Sb mt in hi Morris, exelere des ouvrages Eopn D uathe n P n hk o s ons t 1 oo ho winletre da be oo rorg" avait été A sm re-- tm de in go s Te canal _ d'Triandé, | Terlier i Pocgmiton 42 revenn & Qusenstown| _ 8 Dan« !s cas on in p nrhlo'&purund.fi. m:.-:l?.. inve, nouveau mou e 66 " los seront com tn f""- , n.u PAn-- ;"'.",..:"% EUROPE. de seatimeats eutre POraicar Un Canapren--Frangars Qu'd ctait beau suriont de lnissaat aller aux atissionnaire, ie R Un Crroven vivement vice des Etats--Unis Anssit6t apré« -rvb Poxpiration dn détaj pour gagner les lienx du rendez--vous, le mm-ndlnl'.t:ompl'fiz ol';.ru.i-lh- on lamant noms Ners, nommés :':firmhcm mux lois des divers Rtata ; dans le cas oil o« lois d'an etat oxige:a eat 1§ lection, on y procedera sou« In direction du commandant, qui mm-m'zn les nomi-- nations nmvm'l-nr de l'h pour m-&: tiom ; quoi les colon« nommeront -owaz'i:u Ensuite, les troupes passp-- ront l'im:nim- ot seront @dihises au sop-- ies Aiss Procss e ul °2C Lds ses parents ou tuteurs. . Les citoyens tombés au sort a'a«sembleront aux chefs--lieux de «e leurs comtés respectifa cing jours aprés le tirage, le commissaire enverra un copie des ordres au commandant da rendez vous e & Padjadant--eénéral de 1*Eint, qui orga-- niscront anssitot ler consorite en compagnics et réaiments d'intanteri0. Chaque compa -- gnie anry 101 homimes L:h.qu. régiment comprendra 10 compagn _ Un avis imprimé on éctit de son enréle-- ment, avee indication du liew de rendez-- Yous, sera envoyésh chaque personne tombée an sort. Celle--ci peat offrir un remplacant an moment firé pour rejoindre le m'x:z- Your, pourra que ce remplacant «oit en état de ..:fi?.' enlrfl'dn de rs.::d&m,'fl con-- sente par écrit & remplir lea obligations de celai qui le rresentera. S'il est mineurs, il duvia preseuter le le cousenterent . de IPANE Siinne raneatihan it onl mt 1o, de tons les individus actuellement au | nervice des Etats--Unis; 2. de tous les opé-- |fateur® on constructeors du 1élézraphe / en fonetion le 5 aout 1863 ; 3. de tous les mé~ caniciens de chemins de fer ; 4. du_vice> président des Etais--Unis; 5.' des offie ers jndiciaires et exécutifs des Etats--Uni« ; 6. de tous les membres et employés du Con~ gres ; 7. de tous les officiers et employés de In douane; 8. de tous les employés de la poste ; 9. de t0us les pilotes et marins an service.militaire ou du commerce ; 10. de tous individus exemptés par les lois respec-- tives des Etats. On n'accordera pas cr'::- emptions & ceux qui se diront impropres au service; excepte si leur maladie ou infirmité est do nature & durer plus de trente jours, co gui sera' cert i6 par un chururgien nommé lans ce bat par le gouverneut pour chaque * x Pepoque xke 1 issai A me fix r !e commis«aire pour le tinlg:oqln sort, I':-Nflf, on & son defant tout individa nommé par le commissaire, placera publiquement en sa présence, dans une urne ou dans une boite, des bulletins plide separément, contenant les noms de tortes les prrsonnes qui n'auront pas é1é ray6es : un individa nommé par le commis~ aaire en tirera un nombre de bulletIns éaal & celui des hommes que doit comprendre _ lo contingent fixé . par le gouverneur de I'Etat pour chaque comté. m hrm-. Aanuich dices en in nda :II« !'o:huh..l- .: 'hbn:".m .'m"""!" cas oi ln pretidre levee de ne serait ms un Etat poor le 15 aodit, Tes reaument® PEEET TB 10 tuntons seront le moins nombreux possi-- ble et choisis en voe de ia facilité des trans-- ports. 3o. Le tirage au sort aura lieu sous la di-- rection d'officiers nommés ad hoc, et com-- prendra tons les citoyens males entre 18 et 45 ans. -- Les depenses nécessités par le tira~ go au sort seront remboursées par les Etats-- Unis, sur Pétat détaillé que contresigneront les gonverneurs. 3. Immédiatement aprés que lea roles se-- ront remplis, its seront renvoy6s nux bureaux des shérifs des comtés. Chaque comié au-- ra un commissaire nommé par le gouverneur pour piésider au tirage au sort, et joger des cas dexemption. . Ces commissaires rece-- vront $4 pour chaque journée que nécessite~ ra Pacquittement de lear emploi. | L'officier recrutent fera part au dit commissaire du moment oU les roles des gens sujcts d la conscription seront complets, et celui--ci avi-- sera aussitot les cit: yens, par tous les moy-- ena de publicité, de la localité. et de Pépo-- que ot .ls écoulera les réclamations et ju-- gera des droits & Pexemption ; le délai pour faire valoir ces droits sera de dix jours ; le nom de celui qui sera exempté sera ray6 des roles & Pencre rouge, de maniére pour-- tant & ce que son nom reste lisible. * Le commissaire aura & rayer / les noms ; MWP M Real raabain hP ront & soccuper de fournir leuss contingents respectifs, -- conformément & Pordonnance du ministere de la guerre. 2. Les gouverneurs deviont fixer des liewst de rendez--vous pour les conserits ; ces lieux de réunions seront le moins nombreux possi-- ble et choisis en voe de ia facilité des trans-- ports. Le département de guerre: vient de pu-- blier pour le tirage au sort des régloments dont voici les dispositions principales : 1. Les gouverneurs des divers Etats an-- ront & s'occuber de fournir lmce aausinnzzcal 40. Les passeports étrangers devront por-- ter le visa du grand--prévot ; les passeports américains deviont é're dune date posté-- rioure au 31 juillet 1862 saze 3o. Les hommes évidement Agés, de plus de 60 ans, les femmés et ies enfants pourront s'embarquer sans passeports sur la simple exhibition do leuts billets de pas-- Le grand--prévot de New--York vieat de publier les rustructions d'apres lesquelles doivent agir les avents placés sous ses or-- dres, relativement aux voyageurs. 10. Toute personne cherchant a sortir du district pour éluder le tirage au sort, doit éiro retenue. . Si ia tentative de dépait est accompagnée de circonstances fnutfllouus. teles que déguisement, emploi des papiers appartenant & une autre personne, le delin-- quabt sera immédiatement livré & Pautorité militaire. . On en agira de méme avec ceux qui, relchés une premi¢re fois, auraicat d= nonveau essay6 de s%esquiver. 2o. Les navires & destination de ports étrangers (y compris Aspinwall) seront mi-- nutieusement fou:l!é« le matin de leor dépait On arretera quicongue 8'y trouverait. sius passe--port, en dehors du personnel du bati-- ment. On ne laissera monter a bord que les persounes munies de passe--ports on ;3» cées dans les cuthégories dexception déter-- minées ci--aprés. La Reine, dans son discours de pro-- rogation du Parlement & déclaré que la guerre civile qui sévit si_cruelle-- ment en Amérique a produit des dé-- sastrer qui ne se bornent pas seule-- tment au continent américain, mais Sa Mujesté ne veut pas néanmoins se departir du principe de stricte neutralitéqu'elle a adopté d&s le co in-- mencement de la guerre. l ol en . ;' m-l: proclamation, appelé de nouveau gens anx armes. . Victor-- Emmanuel adans une proclamation plus sage, dénoneé tous mouvements révoluti-- unnaires. . Les journaux anglais con-- damnent généralement la conduite de Garibald], coln aura bientot les 300,000 hom-- mes dont la levée a été décréteo, Dans un sutre article, le méme jour-- ndfiit.llu-'onihl.l:@.dum" Ruseeli concernant --croiseurs des iles Bahama, et démontrant que les Etats--Féedcraux n'out P4s, dans cette circonstance, rendu justice a la modération (" Fubmn) de l'Angleterre. Garibaldi a, dans uue virnlents fomete: Peltem: t tvo sux edéraus, a'a qu'& faire des démarches simulces pour Pintervention, et qu'alors Lin---- Nouvelles des Etats--Unis. TIRAGE AU SORT par an officiet nommb 18 tirage ao sas loi l boulots & in por envoyk dots de eonvicti rith e r&n le yankee tout, qo tory ot e chaz le sorions do Pind toire & Pautre vorent 1 tache d longten Poutra ment ai peuple At Miom lour dit culté a mémes Paffai les pi Poich i L"pe.l* nont regu notre Journ dans 'ingd Cmai ridre du R dons dérés Louis qu'ils ville avec