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Le Courrier d'Ottawa, 17 Jan 1863, p. 2

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) tainpth-- y¥ a Dstvid WICS ESSIBLAIONT & son 'départ. Sfiut & (l"i recevrait un mot de lui, uno derni¢re bénédic-- tion, un'dernier adieu. Nous avone oublié de dire que son sermoi sur 1% transubstantiation qui a fait le:thome: de la grande soirte de Dimanche soir, lui ont attiré de Tnime Fanouein ie pios mrormcls aar. ieil le plus favorable d'an-- tant plas que le bat principal de cette otu d de venir en ajde 'aux iv®e8, 6t qu'il étaitimpossible d'ar-- t dlans son cours cet élan géné-- __'!'_,'f'_ de nobles &mes qui ne v y que le soulagement de lours nblable Comme le disait un de os o m de Montréal ' _ Lunidi le Dr. Cahill prenait Ja;':f'é de nous, en 'route pour Brockville. Plus de 2,000 personnes nssistaient parait pas avoir de prise on boaie o bat mols io prise vrai, pat intervalles, mais cost la tice de la mor au repos. # CR asnUnilah a e a » loin 1 ; tandis que sa parole est m:bmo, et%o Ventp(;o ln Chose étrange, dds que M. Cahill saisit sn plimo.,.o'llo doq':ient paraton-- nerre, ot attire & sa pointo le fen du giel qui communique de prés et de Sa parole n'est glnl ausai incisive, car pour attirer & lui, i1 est essentiol gqa 1 ne blesse pas, mais, si on nous permet de le dire, ses prouves le sout et sa parole, sans lg:éteutiou, sans vi-- s6e, est par fois tres pittoresque, trds imagique et par cela mdme trds éffi-- I"'M" lm%ilomhmem;:'ofigim- ité, nous nouis trompons, car Porigina-- lité de, &meul:s lettros, 8«:'ent P du langage, tandis que celle de ces discours, c'ast l'originn?ité des nnements et des moyens de défence ot d'attaquo, _ _ _ _ _ Oe n'est plus cotte lave ardente qui coule sous sa plume Iornqll:'il parle & mo d" souffrances physiques et les de sa patrie; ce n'est plus cette massue avec laquelle il frappe a coups redoublés sur la tte de Foppres-- seur; mais cest la méme originalité et la méme vigueur de dialectique. L'enchantement do cette 6pnrole familidre, juequ'd . la naiveté, fa~ cile comme si elle était produite par un mécanisme, qui ne tarit ot no 8'6-- mousee jamais, son enchantement est )?'I dlfiou, qu'elle a eHerméme ate te surprise do zonrvoir #@arrg-- ter. . Il en était do méme de celle du Pé "llffl régénéra I'Irlande en sant.Ia Tompérance dans une contrée ob le vice contraire débordait. s io Rpbhrte dane Dexamen. do 'cee et {quetois ai Shotnlalistnent Miftbrocien, in méare duu&h'mmo sgience et la ménie force de raisonnoment. Bur.co.dernier sujet, il fut aussi 'mdalo'lul-m'mo,'] ott'nuul triom-- phant que la vérité. Nous:--avons en le plaisir d'assister "'W&'i" ot: religicuses do Dr, & de cette ville dont avait pour objet 'as-- t :seconde les marées et les conrants 00 ~Ot--la --troisieme la tra que le vénérable et le savant lectureur a délivré dans la e:&édmh dimanche soir, on la grande foule était venue Técouter ot q:l#dtpu assez grande pour la ' con Mss aussi les retar-- e Jeurs comptes se-- ront jentre les muins d'un avocat. pour collection, s'ils ne les .Qd.g- d'ici au ler février prochais.' On concoit" que pour soutenir % 'Ohblineme?u co:':ne le notre, il nous faut compter sur la ponctualité de nos souscrip---- teurs Le Rev. Dr. Cahiil sans doute que la E dl. lgonn-éln'?l é:é ht docteur, male les wen manifesteront que ; t.ll'ldil < re & l'état de germes Jn méditation aurtont * N6tait--co pas de voir an secours de ln viell6sso, et ln ect ot un :dévoue-- (CKF n socidté dest. est impossble de f sans jamais re-- la dernigre ':rll ville" qui Pfi sait la hausse \leprix du papi-- 5 og:inm un journal de exprimait ainsi au su [ & yite de mt.b llslnmnnis,.don qn.}l'E 2| no ancunement notre vi 5 Qgcfinmdflmr la cmpitale des e es (h.si;dn:. Nous dmo-:r.eim~ > cet article ue son au-- m m'&dulou nuflamauwt par m dl: vues étroites d'une ce classe fmnureinas ce uie i ne reconnait pas toujours edacteurs /) Piofpartislite comme dtant" n verto Meeriw ommc :'E'nd- Ames et Is qualité des I"M m prite justes. .. .. visitera '"wpmhu homm du Rev, farent pour &:\%m --| Bobieaki asanvé 'Europe de is bar-- ~] barie musulmane, La Pologne était On t mieux peindre le carac-- }th En::\? d'll';. l'ntior. (hq.;:nm_ J it Ti on sont sovtis. oo ym Pone dleeg rr gloire. Un rnd homme est la p nification vivante du qui onais, c connaltre cott e tioh dans son ' ctour, dans toute son' _ C'était done un magnifique s; tacle que le d'roul:gnntqdo m ces faits, et nous devous dire que c'était un panorama vivant de Phis-- toire d'une nation secouant ses fors et so levant pour récon quérir son in dépendance, car une nation qui a produit des hommes aussi illustres ne ceux sus--mentionnés, ne peut Jl-p-nhn du monde ; un jour vien-- dra ou elle reprendra la place qu'slie occupait autrefois, et ce jour sera cel li: 'd'u:m ollo-momoo':u rétab toute s it et recouvrera sa Moufl:é.. car clest surtout de la France qu'on t dire & coup sir, la nationalité loparg_m Tke : * * \ B un ns o TR P E-n, celui, de la défense militaire de p | la provinee. ~A co point de vue, si g | alle offre encore les avantages qwon lui attribue ct que.des antorités com-- " | pétentes peuvent seules déterminer, " | nous reoonnlhon;ov:;lodntim que en treprise projetée e un sureroit dméritg 'q'::i suggére des consldéra-- tions qui ne sont pas & dédaigner, sur-- tout & une époque ou le mot guerre r oneé en Angletorre ot avx Etate-- 8 m vient de rgvélor une possibilité @|inattendué et contre laquelle il est -- | bon de se prémunir, dét--olle ne point 8 | se réaliser Kvsntuellemeut ainsi qu'on Yer; car, si n ire et si ° | légitime qu'elle puisse étre,une gnerre | est toujours idéglorer. Mais de meme +| qu'an {)on chef de tamille sait profiter f 395 jours d'abondance pour se mettre +'|a& l'abri des atteintes de la disctte, | cette guerre des saisons on de Pimpré-- '| voyance, tout aussi redoutable pour | le moins que la guerre du subre et du canon, oudgouvernement sage sait ti-- ' [ rer parti des ressources que lui offre | la paix et forcer see ennemis & no rien |tenter pour la rompre inconsidéré-- ment. _ L'Ottawa g'm\z«m, journal | qui a donné beaucoup d'attention anx ' flétaih dn projet dont ilsagit, la ville wl il s'impriime y étant trs intéressée, apprécie comme il suit les avantages que le Canada Yunrrnit on retirer mi. litairement. "Il convient bien en ce |-- moment tant an gouvernoment de la | province gu'd celui de la imétropole, j de considérer sérieusemont si cotte|\ ceuvre n'est pas absolument nécessaire | { comme un des ouvrages de défense|, de In provinee. ~En cas. do . guerre, | une ligne de communications en arri-- | dre entre Québecet les lacs do Ouest, | pour le transport des troupes et des| munitions de guerre, serait do la plus | grande improtance, Les vaisseaux|| qui remontent le St. Lanrent seraient, | sur une étendue de plusieurs centai-- | nes de mylm, continuellement & por-- | tée de cation de la rive ineridionale] ] du fleuve. Le Grnd Trone de chemin | ; de fer pourrait dtre facilement détruit t sur aucun point et rendu inutile, et le | ] canal des Igi{:iam)x, quoique beaucoup | q mieux situé, dponrmit étre atteint ans-- | 3 si sans grande difficnlté par une force | 1 envahissante qui passerait au--dessus| n de Brockville et pénétrerait dans le| t pays. _ Mais le canal de P'Outaouais| , se tronverait telloment en arrigre de la ligue de front de défense, qu'on y serait eucore en shreté longtemps apros que les autres seraiont an pou-- | 13 voir d'un ennemi. Nous pensons que | ]; kxm de militaires ne seraient dils:séu c recommander la construction de ce |-- canal comme ouvrage qui ponrrait a encore sauver lo Canwl% la Grande-- | 5¢ Bretagne." ai f: . «Lexpression d'opinion provoquée le projet de can-';:tion de 'flo&" de l'ant'aouio vers l'intérieur e laisse pins de doute sur les grands avantages que cette vaste entreprise est destinée a produire, si m"l:gwnt elle peut étre exécutée dans toutes les conditious Indiornublu & son suceds. Considérée dans ses rapports avec lec intérdts du commerce et de la colonisation, elle parait en effet émi-- nement rmpu & rmiur les espéran-- ces qu'alle fait naitre chez coux qui en ont prig initistive ; mais on peut aussi l'olnvu:gor sous un . autre rap-- ob d t m s wal ol T canal de i'Outaonais on cas Joguerre. Institat Canadien. reste de l'Amérique encore Fatendze cotte patole ayi n «prés avoir pa llfl _R :n_ a Paver ...:':.':.r"' mormaina conftdér ts i mfra mm aiothet o bmmarce $oor in somare W au s e e voi d'affats de toutes. sortes est £200. Mdmnnu--% g6 do romettre 1' de in Une lettro regue de Mgr. Tuché, de St l-:-.d-- Q#" war . las noavatie d pitioge Pn ie ds anogime E--m-m-m destiné & in belle mission do conragonst cathédraie. ot amint n:.l&;;.',' _ La perte sora :-T:"'-... wentie, colons sont vres on~ '.!2":."' o Tuter: ht mot" seiied 4 quil romd' t au plus jeune do see en-- ?nnh 'avait remfu u{u fort pour en-- treprendre le long voyage du Canada pendant | lequel 'il ne redsentit parla mgindre indisposition malgré son Age déja avancé. f:' righeur de nos hivers ne lni avait pas causé le noindré dom-- mage loraque tont & coup il finit com-- me finissent ordinairemont les cons-- titutions du genre de lasiemne. Une attaque d'apopléxie.l'a.onlevé & Paf-- feetion de son fils le sept du conrant. --I! fut inhniné le 10.<--Le service fat chanté par lo curé de N.D. de Bon-- mecours.--Le Rev. M. A. L. Bou-- rassa.--L'absoute, par. le -- Rev. M. David, curs de Papineanville. Maigré les manvais cheming, va le pou de ndfn dans cotte saison--il s':nit foule & 'Eglise Beautoup per sonnes des paroisses voisines assistd-- rent nux fubbratfioe't J avait regu une éducation solide qui jointe au bon sens remarquable & 'I'e-prit de justice: et de conciliation gom il était donm avait fait pen-- lant longtem son propre pays et anx egviros: Thomme ge lgou con-- seil, Parbitre ordinaire des partages ot . des contestrtions. menagant de tourner en lprooéa ruinounx, et on doit le dire qu'ils sont rares les cas oi il n'a pas. réussi & la satisfaction et an grand . avantage des deux parties on litige. L'amour tout particulier Nous avons la douleaur d'annoncer la mort inopinée de M. Joseph Guil-- laume pére du Reyd, M. Guillaume, curé de St. André Avellin. ~ Néa Vm(hntfinlgu) France, en avril 1792 il approchait par con-- séquent de sa »rléme année. . I1 mains, et qu'avant l}i;gtenr te l'l,'(:;lr; mémes qu?auient juré sa dgl'aite, se trouveront satisfaits. °| En 1864 lorsque M. Frie}, fut élu © | maire 'de cette ville, voici ce qu'um T | correspondant de la Afinorve écrivait # | an Fn de son blection. e . le Rédactour;--Ici, comme :: "vo';n.::hm avoue eu & nous ow on Clections municipales ; ici, ® eorrme ches--vous--nous avons eu & *| combattre tine opposition chaleuren-- ® | so de la part d'hommes qui, n".fnnt '~ | devedté, les vrais intoréts populaires ~| ne ponsent qu'd faire triompher: les *| intéréte particuliers d'une caste qui t lln]go Paristocratie . avec t,;mt le ridi-- " | oule qui> accompagne: ordinairement * | les dzmarchudupuvenm. Le can-- '| didat favori :des réformistes de By-- ' | town, ne pouvait révandiquer qu'une ~ | humble extraction ')lbbékunc. sa go- >| sition sociale et politique, avait &t6 '| son propre ouvrage, la protection et | ln f:venr,du grands ne lui étaient ~ | jamais venus en aide; seul par. son | énergie et un travail constant, il a'6 -- 4 uic?:it apprécier par le pouple qui, | comme le disait il y a déja bien des ' | années,. M. Etienne Parent, " est ad-- | mirable & choisiz." ~M. H. J. Friel ' | notre présent maire est, quoique ud . --irlandais;--un--enfant du-- sol; Montréal fut la place on il na-- | quit. Ses Fnrentl vinrent s'établir | ici_lors de la naissance do la cité des | bois, eg cest avec raison qu'il se trouve fier d'avoir grandi avec notre ville, dont il fut tonjours un défen-- seur zél6, alors que la renominée était plus que doutense et ses intérdts né-- Fligés, Y" tout le monde. Cest a ui 3" e parti--réformiste, qui trone ici depuis sept & huit ans, doit son existence, lui plus que qui que ce soit, le forma et su Ini 3onner le poids et l'importance qu'il posséde aujour-- d'hui. Avec une constance admira-- ble, ne se rebutant de rien, il sut ré-- unir les Canadiens avec les Irlandais, trouva les moyens de cimenter cette j union ; et clest en se montrant tou-- I'onu f'impmi-l ami des deux, que | es intéréts du parti se trouvent an--| jourd'hui si bien sauve--gardés. Un | tel homime .devait nécessairement| trouver, chez cenx qui n'ont rien fait | dans lintérdt public, de Popposition ; anssi ne lui manqua--t;elle pas; mais | elle se brisa en présonce d'hommes| déterminés & étre juste et & faire tri--| & ompher la cause que M. Friel repré-- | c sentait. | Il fat proposé par Damase | 1 Bou is, écr., qui, an imilieu des| i uriuimm des opposants, se montra| J d'ane fermeté inzl(:::nlnble, ce quil p edt Your résultat !a nomination ds"h. c Friel, & la premidre. place des hon-- t neurs civiques. Nous espérons et nous sommes certains d'avance que 2 les intérdts du progrés en géuém(ll et | g do_notre ville en particnlier, no POW| vaiont otre confiés en. de moilleures|© andre II ne pourra pas.se plaindre; *'--'unrwm&% qu'glle est Jjugée par ses ennemis, calomnié par des . publicistes il"n.bihpv(-- senter sous le jour le plus faux et le ui l'ont vue qu'en cou-- rant et qu?u le connaissent pas. avec EW'W mes rappelés 10 cette lecture que ces premiers avaient regus le nom de M oy e o e es pouvait & _leur résister. . Les "frangais.dg..Nord"~~...................... .. . Lo Russic sous Nicholss et Alex 11 fora a Pavenic lo trajet de Necrologie (A contimuer.) des allemands et des omuntcancce J offt-- det suien do se tervible maladio, ln: ,": était ane paralysie de cconr. i3 Jeadi lo Rov. . Pare Lefabrre l-:l:' UlInstitat Ca-- 9 Lo ) force :,.......'."':'.':;'L"'%::?: site pare Soliiee dn JBA 4o . Rev. & . PArchevique de Paris, lo Pova thes . iCsc qpec on ts vp ho hi rant Laf "'i'; Coux qui désirent so faire bar-- fi.d'nne m excellente, et se com lok comme i} fant !em::'bh- ds an restan-- Les canadiens, exprimer lour satisfaction, di:i:::. vm"' une flh?oh tout eonsi:ol .:'hu lnul.-qh cloche q'ué- 'avoir payé um-m 1 nous res-- te encore de Pargent pour achever le clocher. Gadces en solenit, rendues & Dieu F"i' nous fait d'.nhn notre sainte r6-- igion aussi ces loin= tacbgs. --Che Canaiigen.y °o fois par M..le ouré, les parrains, les marraines, et tous les assistants. . A 11 heures du, soir elle, annongait la messe d:nmllqnlh assis-- taient n les congrega-- tions du village mais beaucoup de eatholiques des environs dont plu-- sieurs étaient arrivés de 30 a 80 mil-- les de distance. et se met Les catholiques & 100 milles des alentours n'avaient pas encore de cloches, quoiqu'il { ait dans plu-- sieurs places des églises catholiques et beaucoup de oongré;_gntions, (iui comptent de 50 & 100 familles. Ici un protre, quiparle les différentes M. le Directeur, On ne lira pas sans attendrisse-- ment la lettre suivante qui nous est adressée d'une mission catholique lointaine et qui iefléte si bien le sens religioux de nos populations franco--canadieunes : (KC.) Semedi matin 19 Janvier 1068. Il n'y a pas moins do huit caudi-- date sur les r dans. la division Lanaudidre dom sidge au Conseil Léqillatif est resté vacant par la mort de 'Hon. M. Bareil--Lajoic. Le writ d'élection n'a pas encore 6t6 émis. W Combien done que vous dtes toi 1 E¥" I! pousse plus de racines de choux dans mon jardin que de raci-- nes grecqnes. &3 Le portier est le premiér per-- sonnage de la maison. Cette pensbe n'est pas nouvelle. (3° Il ne faut pas confondre im-- potence avec importance. K¥ J'aimerais inieux voir entrer chez moi une jolie femme qu'un cré-- mss fiv?- Chaqué échaudé eraint Peau CA LZ" 1| est infiniment plus agréa bye de manger du. poisson '::ud'au- ler du poison. KH~ J'aime mieux les rate de 1O-- péra que dos rats de cave, bos ratelier. ue . U oo fant pas confondre sen ter avec s'attendre. Cette pensée n'est pég nouvelle. Une ébauche est bi _ Bs , Daeiébanche eat bion préfé ic 24y p 44 chal de France d aime mienx an monlia & Sytine on un, yroubit A paroiens . =," Une Chippewa Falls, Wisconsin, ce 26 décembre 1862. Division Lanaudiere On rit avee vous ettu te faches belie fete Canadienne Un bon Un Caxapuex. Quw.vi-hd& atelier vant bien un Les dbpéohes de ce soir nous apprenitient inrmimme e eiace Seronun: "Orut--o on nQ Saich o on mfi' pertes énormes. Porteresse Monroe, 11 .--Le stea-- gfl ic Mm;' dit & Richmond que is oanonniare confedérbes Merrimac ost mainte Les forees confédérbes étaient sous je commandement mmandement do géobral Magrader noncent que Galveston % 'battage'par torre ot par o:ndmlunli;h du ler courant. Le colone! Burrill 6t se« : hommes 'pnt : tous été tude ou faite privonniets. Quatre ca-- nonniéres a épergn ont Hariret Lane ot Pont emportés '& M Le capinaine Witson de FOmaes a 6th tud. Le iral 'W." Pem -bc'!:: sean am e .&--mflrlw Zitimermana ont tués. Deax chilands chargés de charbon sont anssi tombés entre los mains dos sépa-- HaC sentiel de.garder tont .Pespace qui se trouve entre elle et Port Hudson, d'ihrd pour em-- rlc Ia.Nodm. ml"flxr leuve, ensuite pour sauve-- l-.:u-.'nuni:dwm do Su':.Efl lno';'A'-r kansa, lo Texas et lt Lousiane. + Depuis s bataille de Murfreesboro, Ro«-- enorauz ® régu 30,000 hommes de renforts, tantdo Kentucky que du Grant, qui doit se trouver: maintenaht : répaitio . eaire (Vieks-- burg ot le Tennessee ovienial. On dit l6« 'tédérnux ont repria possession du J; d& Cumberiand, et qu'une expédition sera lu'tt:mqal envoybe contre Chattancoga. I! parait maintenant certain, d'aprbs les derniéres depéches, que les fédéraux ont es-- suy6 & Vicksborg une -ngnu défaite-- mais Pexpédition du général Sherman, qui a engagé une série d'actions infruotaguses, est encore dans les euvirons & attendre du se-- gours afln de faire une detpidre tentative sur Vickbarg. On est daccord sur lo fait que le genéral Sherman a emporté dans un pre-- mier combat les deux premibres lignes des fortiGeations de cette ville ; mais il n'en est resté maitre que pendant une demie--heu-- te ; toute Parmée du genéral confédéré Price est revenue i la rescossse et les fedéraux ont abandonné leur conquéte ot subi des pertes terribles qu'on estime & pins de 5,000 hom; Vickebarg est une ville trés importante ; le m !'l Sod a déclare qu'.l{flgi( es-- LA PROCLAMATION PRESIDENTIEL-- Lz.--Un correspondant du Times de Chicago dit %ne le gouverneur Ro-- binson, du Kentucky, vient d'en-- voyer une circulaire aux membres de la--législature de 'Etat, pour leur demander individuellement leur opi-- nion sur la proclamation émancipa-- tioniste du président. Il résulterait des réponses reques que les deux tiers sont d'avis que l'Etat doit se séparer de l'Union si la proclamation est mise A exécution. La législature doit se réunir trés prochainement, et on dit que le gouverneur Robinson demandera la séparation dans son message. Le correspondant qui don-- ne cette informatio® ajoute que les milices de l'Etat passeront au Sud et que ZZumpherey Marshal est dés a présent a Mont Sterling pour les recevoir . Il est I;f-n"i: rrfi;&:lr;--ls'r'l'éam que Jeff. Davis srépm une expédi-- tion pour reprendre cette place. Des avis de la Nouvelle--Oriéans mandent que les les confédérés ont 12,000 hommes avec 30 canons & Port Hudson. Ils ont des ouvr en terre sur une étendue de 4 m?l?:: Des avis recus & la Nouvelle--Oriéans --Nous voyons d'aprés les deaniers télégrammes regus de New--York que les confédérés ont eu Favantage dans un combat naval livré & Su:ti'fWest Hass, Galveston, le 3 du conrant. Une canoniore fédérale. la Harrict Lane, était tombée en leur pouvoir. Les troupes du Sud commandées par Magrader se composaient de 50,000 hommes. Le Nur(i aurait eu 260 tués et 1,200 faits prisonniers. 'rour retourner & Caprera. Dans une ettre datée de Pis, Ks céldbre géné-- ral a répondu en ces termes, a quel-- ques dames de Naplesqui Pinvitaient A venir dans une ville: "Je ne caois pas pouvoir aller maintenant a Na-- ples, je veux auparavant passér quel-- que temps a Caprera, mais je vous assure que le temps n'est pas éloigné oi jo vous remercierai vergi\lement, A Naples de votre aimable courtoisie." Garibaldi s'est embarqué & Livour-- ne avec ses enfannts et ses médceins Une grande demonstration a eu lieu & Athénes en faveor du prince Alfred. . iJen-- voye spécial de |"Angleterre a refusé le tr6-- ne pour leprince Alfred, et assuré que 1'An-- umm éuait remplie de sympathie et de une volonté pour la Gréce. On a déclaré f;;u de bouvelles troupes de-- vaient étro envoyées & Mexico. Les ouvriers de Manchesier se sont as-- embiés le 31 dans le but de passer des ré-- solutions destinges & supporier ia cause 6 dérale et pour voter une adre«se an Prési-- dent. L'assemblée i mpprouvé la conduite de ce dernier dans ses travaux pour Paboli-- tion de Pesslavage et pour le rétabiissement de 1'Union. ITALiE.--Garibaldi est arrivé le 22 Jé cembre dernier & Caprera. Par suite d'une indispovition]ie Pape . n's pas officié le jour de Nocl. Le Jura parti de Liverpool le 1er courant est passé an Cap--Race le 10. ment, . a P eeincnnecammncnn en Le Cardinal Morlot, arghgvéque de Pari« est dungereusement titslade 6t a toga 'Pex tréme-- onction. dernier d' Angloteree, cetie bataille: comme in plus sauglanie défaite qu'aient éprouvé les armées Tedé-- rales, Les aums. dy Nord sout dans Ja consternation. C raaxce-- br- euvope «n France :nnw lru.'l'pul aln.au ouvriére mi te, comme margue mpaihie et gratitude du dévouement qu:'h France lai a montré. La rumeus d'un prochain traité entre la la France et !'Espagne relativement an Mexique est regardé comme sans ionde-- asourrtzsas.--La nourelle a Pord.e du jur out celle do is u'?.'n'.ha. "rannde dg & *' ~l'"'m a Now--York'do Times de} Londres regarde lifax : a * Tob o 1o Terve eer on 109b0ge s ne forte et solide .uhd.-eig: Cest ce que Fou peut appeler Phi-- xeH, .. i NOUV ELLES-- DEUROPE: Nouvelles des Etats--Unis. Le navire & vapour 4 e-- an~ mumla- do ler courant. l' ". es Enfsruas cce L 2e Aullartaie." Iapoiiot fot Te ramre me réohal 4 Wagram ct--pis due de Tarents. Apiés in restwuration, il ,fit partie de in Mile MeDonald ost uné patenta dn dub'de M"j. Son nom est e-': dCaone 'z...- @gloires du cemmencement du sidcle. p andre MeDonald & in bataille T ethmapes weke far 4e e n io Plnille de Smint--Cyr on 1825. Le genéral Canrobert fat nommé mark ohal de Eranca le 18 mars 1856. 11 a main= tenant cinquante--trois apa., ... ... .. _ . __ '---On::-_uu_p:hhiizq-hnm 'u moin de janvier, le marisge du maréchal de France senateat Frangois--Cortain Car-- tobert, aves Mile Macdonald Brotagne. 1 ost néan 1809. 1/ ontia & Paosle Trines do Gaites aren ie princouge " Aforan --Dcx capitaliste ambricains ont 'schoté an prix «l:'t'lum comptant chacune deur mines appartenant Pune & M. Shaw,. sitube & ln Rivigre--Noire, prés de. Qaébeo, Pantré Botiprgmedes ts do Mighoieg" mant ad ansai dermerement acheté six flbs-tz tor rains miniors ao prir: de $300,000. : © > Or;'-""n; :'n bl:n'rtp-m- i -- n Nouveite= a h une .!w& tion p::l t.p..a..';."?ufl du Croissant. ' --Le prix du foin, & Montréal, a augmenté depuie mlgn-u' $12 & $16.500t in paille d:':iiq $7.50 par cent bottesi> : # M., le Vicomte de ia Guéronni¢re, Senateor, va publiet, dans l6 joornal® Tw France, une série de lettres embrassant tou-- tes les questions de la politique intbrieare."" UXE résureEction.--Uu homme étant mort, a West--Tro (New--York) le jeudi soir, d'une mafidie qui res-- semblait beaucoup au choléra, son corps fut déposé. dans . un cercueil, prét a étre enterré. Il fut gardé jus-- qu'au samedi soir, et pendant que les amis du défunt le veillaient il se réveilla lentement de létat de 1'é-- thargie on i} étaitresté si longtemps Flongé, sortit/du_ cercueil, traversa a chambre et demanda un verre d'eau, disant qu'il avait soif. . Il est aujourd'hui convalescent.-- Le marécbal Canrobent est or M. Darimon, ex--sécrétaire du Prou-- dhon, ex--rédacteut en chef du jour-- nal le Peuple, député au Corps Légis-- Ivtif, vient de faire sa rentré: dans la Presse. _ "Le Moniteur dit que qnel}nes ournaux, exagdrent la tendance de la "1otef us oope ns ou Anyletnts do o6 M. de Lamartine vient de vendre 200,000 francs, ses Mémoires d Outre-- Tomb; _ Autre nouvelle de Presses. ----Les journaux do Haut--Canada annon-- cent la mort du juge Burn, qui est décéaé & Toronto, le IJ courant. . On parle de M. Adam Wilson ou do Dr. Connor comme devant le remplacer. LA FAMILLE DV GENERAL peavizcaRp. ----Une partie de la famille du genéral Beauregard, qui avait habité jusqua présent la Nonvellv-'}.)rlém-, a quitté cette ville aveo lautorisation du général Banks et est arrivé & Mobile le 29 décembre, se . rendant en Georgie.. La femme dul général | était trop malade pour supporter le. vo e, ot dor':mura A IlpoNoufiE:Orlhu. yee _ Dans son réce'nt'voyngé, Jefferson Davis a trouvé Popinion publiqne fa-- vorablement disposée; tous les habi-- tants sont encore préts & fairo tous les sacrifices possibles pour le maiutien de la Confédération. En faisant voir I'inconséquence des gouvernements de 'Europe qui font pour la Gréce, U'Italie, la Belgique, ce qu'ils n'osent faire pour le Sud, il a remercié la France qni a fait demarche amical en sa faveur, Le général Butler a regu de la chambre des représentants de Was-- hin%mn des remerciments pour la conduite pleine d'habilité, d'énergie et d'humanité qu'il a tenue dans le Bud. Cette approbation donnée& des actes que tout le monde a quali-- fi6 d'inhumanité et de barbares, n'est pas de nature & faire une bonne im-- E'reuion sur Pesprit des Confédérés. est pour eux une nouvelle preuve ;gu'ils n'ont aucume grice & recevoir n vainqueur. | Aussi un journal de Charleston disait dernidrement qu'il fandrait mieux jaisser démloir laville de fond en combfe, et. (abandonner comrplétement lutdt que d'y recevoir {es (0i des 'ngl)-anx du Nord.; Notre dépéche d'fx'i'cr soir nous apprend que la ville de Boston prépare une récep tion publique an généraf Buatler qui y est attendu aujourd'hui. . _ _ O P Emt OV M EROWET, IEiNORRee. Le sapport de l'u=iu'- du Mor-- geb cousiate que 2 i ont 616 sor parvie, et eentsines m'" ont 816 tubs et! immense quantité d'armes et de # 616 détruite. ' l:- le npfpnfl de Forest, 15,000 (deraux @uralent 616 faits prisonniers et 10,000 taés @t blessés ; la destruction d'armes munitions, lpmvnionuwuu est immense. spérations dus confédérés & Morfres-- boro, y compris ia cayture de 5,000 . prison-- niers ot mfi'&'u.m.vm., out eu pour r6-- woltat 10.000 prisonniers faits en moins dn mols. . is ont aussi capturé 30 canons, 60, 000 fusils de petites dimension, et 20.000 . de plus qui sont entre les. mains de leors troupes. . 1,500 wagons ont 6té détruits. La perte totale des féderaux en tués et blessés est estimée & 20,000 hommes; y compris sept géoéraux. '"Ji'-- 1_ # A Phonorable J. Je puis dire que lés transports de Pennemi eal remontré ln .riviere.. l n'y .a plus gue , Ankiia 1 cbare de in Tmes Yone t MiFivcrs"Baad.vicks" burg se fortifie sn plus ; . nous. ¥99~ lons garder cette -E «Signé: J. C. Pemzexton, géo. com." Chattancoga, 9 janv.--Le Rebel public In dépéche suivante venant d'une source offici-- elle t iransmise de Winchester, Tenuessee. fort mnare ol fe en w . Quartiors--géme de P ermibh Potomac in dépéche suivante 12 janvior.--L* AFaits Mibets pour le maringe da q3 c eae inon aprte io vrsor--tr on Jurvies, compiut e2 810 al per" petements panion ind cce raioees Couronne & Olontarf lo Township. de Win. MeDOUGALL AVIS A Montrécl le . 13 du conrant, & . PEgli Miuial:. I'Abbé LeBlanc, Chfil'mll:: ; h' C'lhE'n.l;, m'b{':l':', Beandet, ., du Cot o » Marie--Ju-- lie. ilhnlg C.. A. Lablune, gc., Avo-- cat de Montréal. MARCHAND: : de : Fleur, Grai Lard ot autres Provisions, --A Ste. Schnlu(i.'u.. le 11 du comant, Ia lfi)"" de Charles Marcil, Eer., Avocat une le. W mss TERRES DE LA COURONNE --A Rigaud, le 10 du courant, ia Dame de M. Alexandre Dapuis; trois fils. --La visite de Nemperour Napoléon III, & la résidence princiére du bureau de Roths-- child n'a {-o cot6 au .célébre financier moins de 1,500,000 framas soitenviron $300, 000. On fait mille mots ut cette féte , et Pon fait dire, entre autras choses, au . baton dans son mauvais frangais :« Sire, je ne perdrai jamais le mbmxdlmnjmmh." 10 Janvier, 63 --Le fen a détruit te & courant le magni fique American Hotel, aux chutes Niagara. --Le Moniteur universe! public le décut qut convogue 16 cofps légi'lmlif et le senar pour le 12 janvier. --Il est question de la candida-- ture de MM. Berryer et Thiers, aux f)rooh.ines élections du corps légis-- atif, pour la ville de Marseille. --Le igheur dit que des érables en-- taillés u'!?p?xcm}nl de cette année, donnaient Teur 8éve comme au mois do mare, _ _ --Un Anglais, M. Robert Mallet, a congu le projet de descendre dans le cratére du Vésuve pour 8'y livret & des observations scientifique. Le projet a attiré sur son antenr Pattention ot les sympathies des amis des sciences nussi 'Association Britannique pour le progrés des sciences, voulant concourit aux frais de cette expédition, a offert une subvention de 5000 & M. Mallet. Ftuo Atidie OTTAWA Ohtawa T7 Janvier 1863, ne opnlence, --Les Hon. M.M. Howland et Si-- cotte étaient passagers a bord de 1' A-- frica, arrivé vendred: matin A Hali-- fax. --On cite un mot charmant du Pape A des puséistes qui ont eu Phonneur de lui étre présentes au Vatican. * Vous étes a--t--il dit, comme les cloches. . Ellos appe-- lent les {fidéles & Péglise ot n'y entrent pas,"" i oo n o en en e PR iEt rale de cetip Compagnie de Navigation. M. Lumére est depuis lougtemps lié aux affai-- tes de la Compagnie fin lfichelieu, et la maniére habile avec laquelle il. sest tou-- jours acquitté de ses travaux le désignaient d'avance a Pemploi important qu'il esl ap-- pelé & remplit ; meilleur choix . aurait été, svivant nous, difficile & faire. (L'Ordre) --Nous apprenons avee plaisit que M. J. B. Lamére a 616 choisi par les directeuts de Ia Compagnie du Richelien pour succéder au regreité M. L&vy dans . P'Agence Gené-- Les correspondances parisiennes de divers journaux de province donnent depus quel-- ques jours la: l;ouullo suivaote : * On dit que ie NA NO Sss 1 Pimperatrice fera, au printemps pmehmn,"un voyage & Rome aveo le prince impérial. Le Souverain--Pontifo serait, dés & présent, infor-- wé de ce dessein et on aurait témoigné & Pempereur toute sa gratitude." --Horace LeBouthiller, Eenier a 616 nom-- mé consul de Sa Majesté 1e Roi de Sardai-- ne pour Gaspe, la Nouvelle--Feosse, le i'nuvnu-l!runawick,l'lludu Prince Edouard el Terre Neuve avec pouvoir de nommer des vice--cousuls ou agents consulaires. _ ~~La Minerse do samedi dit. que |'Hou. M. I}:nnd,wmn ds e Hivlaick Rigaud au conseil législatif, a offert sa dé-- ;a:im de l:;hup de Lt.--Colonel ; cette seion a 616 accepice, C journal ajonte que cetto 'démarehe dela part Je'- Hu-.e': a eb adoptée pour les Mémas raicns ... 1 m ns Pn e e mttt eté adoptée pour les mémes raisons que eelles invoquées par les co lonels Campbell et Tuche. R d by fanll s 2 C Pn TEPTE qul%n- jours la nouwelle suivante :« On dit ue Pimpératrice su printemps pro-- ghin. un voyage & aveo le prince im -- périal. Le !ouv o srail, dés a présent, informé de ce dessein et en aurait témoigné a Pempereur toute sa gratidude." e & 22 T PC CC la figure. _ Sa petite soor aceontru en en-- nndm..em;nhilh'uuqu.d, On désespére des jours de Penfant.-- Com. soin de --Les correspondauces parisi i p parisiennes . do divers journaux de % p eUrate journaux de province donnent depuis Le duc de Tarente actoel ost fils du pré-- ebdent ot de sa troisiéme femme, Mile do =-""l. Iln'a'--;flmm..: 'emperour en sigge o .-."w.u ---nma chambre DEPARTEMENT Quiuee, I'MM . ol neaohant's s To oo eeie un oo Dhatwerd ane va rendre & ce duché son ancien-- NAISSANCE MARIAGE, PAUL. K josqu'en gut

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