Le confort et P'dconomie de cette figne en peuvent étre surpasssé. Cette route est de rlu pittcresque, et la plus recherchée par les touristes. Les excurnonistes, pourront obtenit des Villets do m:r':;O:'. & Grenville, bons an joor, prix. 'T.'.- passagers allant anx ceidbres sources de Caledonia pourront débargquer & I'Orignal .d.gniummlpfih. & lnconfniu LE Vapeur "QUEEN VICTORIA® laisse Oftawa tous les matins. (nocfii le Di-- fnanche) pour Montréal, & 6.30 A.M. Tearrs wax Sources. Les nouveauz et magnifiques Vapeurs. « QUEEN VICTORIA," C;lpx. A. Bowi®, «PRINCE OF WALES " "H.W.Snapmzar we CHEMIN Dt rE®, se joingnnn( A Grenville au chemin de Fer 48 Carilion et Grenville ot an Vapeur " PRINCE OF WALES " a Carillon, arrivant & Montréal & 4.30, P.M. Retoutnant il arrivera a Ottawa & 6 P.M. 1863. LIGNE REGULIERE ET QUOTIDIENNE (y--Les passagers laissant Ottawa le matin Kl.' ie Vapeur Queen Victorta arriveront Montréal a 4.30 P. M., ou iss seront & temps pour profiter de la ligne. -- Poor plus amples informations, s'adresser au Bureau de la Compagnie du Richelieu, No 29, rue des Commissaires. sai ind on hdB stt Le "J)cur Terrebonne, Capt. L. H. Roy ; partira du Quai Jaeques--Cartier pour LA« somftiml_ toos les Lundis, Mardis et Ven-- dredis 4 8 heures P. M., et les Samedis a 4 heures P.'M., arrétant, en allant et en reve-- nant, & Boufi!rvuh, Vareunes et St. Panl I'Hermite, et partira de PAssomption les Lundis et Jeudis a 7 heures A. M., les Mardis a 5 houres A. M., ot lee Samedis a 6 heures Bureau de Ia Compagnie du Richelien, Moutréal, 27 mai al§63. } Le Vapeur Vicoria Capt. Ch. Daveluy, partira du Quai Jacques--Cartier pour Sorel tous les Merciedis et Vendredis, a 3 heures P. M., arrétant, en allant et revenant, a St. Sulpice, Lavaltrie, Lanoraie et Berthier, et partira de Sorel tousles Lundis et Jeudis ma-- tin, & 5 heures. Le Vapeur Chambly, Capt. F. Lamogroux, gnmrl du Quai Jaeques--Cartier pour Cham iy tous les Mardis et Vendredis, a 3 houres P. M., arrétant, en allant et revenant, & Ver-- chéres, Contrecaur, Sorel, St. Ours, St. De-- nis, St. Antoine, St. Mare, Belail, St. Hilaire, St. Mathias, et partira de Chambly pour Mont réal tous les Dimauches, & 5 heures P. M., les Mercredis & Midi. Do s Pap on ooo o pellnes 2 Le Vapeor Columbia, Capt, J.--B. Labelle, partira pour Quebec tous les Mardis, Jeudis et Samedis soirs, 2 7 heures précises, arrétant, en allant et revenant, aux Ports de Sorel, Trois--Riviéres et Batiscan. Le Vapeur Napoleon, Capt. Jos. Duval, gnnirn du Quai Jacques--Cartier pour Trois-- iviéres tous les Mardiset Vendredis, 3 heu-- es P. M., arréiant, en allaut et revenantt, & Sorel, Maskinongé, Riviere--du--Loup, Yama-- chiche et le port St. Frangois, et partant de Trois--Riviéres pour Montréal tous les Di-- manches et Me_r_crediu, a 3 heures 'l: M. Font le trajet en Dix Heures. Mess esd Le Vapeur Europa, Capt. P. E. Cotté, par-- tira du Bassin ordinaire pour Québec tous les lundis, Mercredis et Vendredis soirs, &7 heu res précises, arrétant, en allant et revenant, aux. Ports de Sorel, Trois--Rivi¢res et Batis @an. Les personues désirant s'embarquer & bord des Vapeurs Océuniques, & Québec, seront certaines de se rendre & temps en pre-- nant leur g:mg e a bord de ce Vapeur, vi qu'un fender devra les transporter aux Va-- peurs Océaniques, et Bfll?' sans charge extra. B U ubmeonnemaiinan ons axtae Montréal etles Ports de Trois--Riviéres, Sorel, Berthier, Chamblu, Terrelonne, 12 Assomp-- tion et autres Ports intermédiaires. Jusqu'& Avis contraire, les Vapears de la Compagnie du Richelien laisseront leurs Qll_ljl.!t'lpoc!i'!l comme suit, savour : MONTREAL & QUEBEC, LIGNE REGULIERE GOMPACNIE DU RICHELIEU. OTTAWA ET MONTREAL. (Le Dimanche excepté.) RIVIERE OTTAWA LIGNE DE LA MALLE ROYALE "QUEEN VICTORIA" PRINCE OF WALES." L1G DE LA MALLE Troisieme A'még. P RIXK ,, & Montréal Tor elmaso.. . . .. 9850 C ( CC ) e .L'}i,!-'(fi' TW Ds JO URNAL PUBLIE DANS LES INTERRTS FRANCO--CANADIENS DU CANADA CEN'»TRA.L: n, M LES VAPEURS sUR LA ENTRE J. B. LAMERE, Agent--Géenéral Je Coufrfict _ Ceux qui désirent recevoir la prescription peuvent s'adresser FT la BRONCHITE, etc., Je seul objet du soussigné en envoyant la prescription est de soulager les affiigés, et de répandre les infor-- mations qu'il reconnait inappré-- ciables et il espére que ceux qui souffrent essaieront son reméde qui ne leur codtera rien, et qui sera ionrhnt pour eux d'an grand bienfait. A tous ceux quile désirent il enverra (gratis) une copie de la prescription avec les directions afin de la préparer et de Femplo-- yer, qu'ils reconnaitront comme un moyen certain de guérir la Rev. EDWARD A. WILSON, Williamsburgh CONSOMPTION, L'ASTHME, LE Soussigné ayant rétabli sa santé en quelques semaines par un reméde bien simple aprés avoir souffert pendant Plusieurs années une nflgztion tres sévore des poumons, et de cette terrible maladie, la Consomption-- est heureux de faire connaitre & tous ceux qui souffrent les moyens de se guérir. -- Le "Courriee _ d Ottawa", et tous les journaux francais et anglais de Montréal et de New-- Y ork, & vendre au Dépot de jour-- nanx de TeuespHor® Turcrox 1#~Nous prions nos abonués de vouloir bien se conformer & nos conditions qui sont de payer le premier semestre de leur abon-- nement d'avance. Les arriérés auxquels nous avons envoyé des comptes sont instamment priés de faire immédiatement droit a nos justes demandes si souvent réitérées. Le succés de notre cuvre dépend de lencourage-- ment qu'ils nous donneront en payant le vieux compte, et en nous expédiant de suite le mon-- tant de ]gur nouvel abonnement. AVIS,--Revues périodiques Magazinas, Livres de fantaisie Nouvelles, Paperies, Livres d'E-- cole, Livres pour enfants, Chan-- sonniers, Almanachs, Estampiles, le GCourrier des _ Elats--Unis, Messieurs les bourgeois de chantier, les marchands et autres en seront suppléés d des conditions avantageuses. . Son établissement est toujours abondamment fourni et il est en tous temps en état de rencontrer tous les con-- trats qu'on voudra bien lui confier. Evovamp Provix. Rue Dce général pou'r le généreux . encouragemen qu'il en a regu jusqu*a ce jour, prend la liber-- 16 d'annoncer qm continue comme par le passé & manufacturerses excellentes grandes et petites haches qui sont incontestable-- ment reconnues comme supérieures & tout )s autres offertes sur le marché de celte cilé et des environs. Billets d'Excarsion & Montréal et retou Pour autres informations et pour ce regarde les billets dexcursion, s'adresse Pagent M. Jonx McGowax & Poffice quai. R. W. SHEPHERD, Oitawa, 15 mai 1863 IltlEIIES 1! HAGHES ! ! E soussigog tout en remerciant M M.!u _ M 4 Bourgeois de chantier et le public es Tenu par Isidore Champagn e, Rux Suserx, Ottawa. IOTRLDU tASTOR, DR. DORION. AUX POITRINAIRES. Présey's Bridge O TTA W A. Rue Sussex Ottawa. Rue Clarence Kings Co. New-- York REPAS EXTRA.) ¥ud vctea 'Zml Le nez n'avait pu résister an choc, et serré comme dans une presse hy-- dmlflne, il s'était apiati, rasant la surface des joues. Une figure apparait surmonté d'un nez en déconfiture. Le spectre s'avangait toujours. Cest alors que je pus constater, an clair de la lune, les ravages cansés par le vilain bonchon. Le champagne s'était répandn sur le parquet, les verres étaient brisés, entin, c'était un bouleversement com:-- plet. 5 Pris comme les autres, et ne pou-- vant me sauver sans risquor de me faire découvrir, je n'eus rien de plus })rusé que de me mettre dessons un itqui se trouvait la. -- Que faire ? descendre dit quelqu'un. Je m'y objecte, dit M * * je vais ac-- complir la besogne,. Il commence son opérat'on, il tourue et retourne entre ses doigts Penveloppe :}ui céde bientot & une pression aussi forte. Le precieuxrnpctar coule & flots. Les verres se remplissent, on propose une santé en lhonneur des dames, loreque tout & coup un cri terrible se fait entendre. Nos chevaliers dégnerpissent en vrais Don Quichotte de la i{an(:hc. ct plus d'un, dans cette descente, laissa une partie deson pantalon. On en tire galement les bouteilles. Mais alors nouvel embarras, pas de tire--bouchon, 11 venait de me quitter loreque . je vis venir & ma rencontre, trois france lurons, & la figure rebondie, aux _ al-- lures guerrigres, & la démarche fiere, qui me disent avec ce sans--goue qu'on se plait & reconnaitre aux étudiants en médecine ( car ils en étaient trois:) as--tu va B***, je crois qu'il nous ap-- pelle. Moutons, s'écria Puu d'une voix de stentor. Entin on parvient au grenier; hou fortunc. -- Ici la scéne change, pJus de lumiére. car elle s'cst éteinte dans Pasoension, un chemin & tordre le cou an premier venant. Bicntot aprés si quelqu'un eut été placé sous un certain escalior déro-- bé, il aurait saisi de joyenx propos sur le pére Bacchus, e a Nous étions dans un défilé sem-- blable & celui des Thermophyles, préte a vaincre, car nous avions Pes-- Eérunce de ne pas aller souper chez luton. On cst brave lorsque le danger est éloigné ! Grace & Phabilité de notre guide, le famenx panier est découvert. Je m'inclinai en signe de recon-- naissance. Il ajouta ; a un certain signale que je ferai tu me suivras. Moutons, exclamérent les autres en chceur. _ J'6coute, luirépondis-je. Eh bien imagines--toi mon cherquejai pu at-- traper un panier de champagne, an-- «quel nous enleverons tout A EPheure Pétiquette. . La soirée promettait d'otre amu-- sante, car depuis 40 ans que son pére était marié, clétait le premier parti qu?il donnait, q\loi-qu'irfut extréine-- ment riche. Mais qu'en;sort--il souvent ? du vent. Décigément je jouais du malheur une pluie battante, une soirée sans amusement; . telles étaient les réfle-- xions que je faisais loreque mon ami B * * * vint me tronver et me fit si-- gne qu'il voulait me parler. _ _ T OUT West qu'images fugitives 3 Coupe d'umertume ou de miel," Chansons joyeuses ou plaintives Abusent des lovres fictives ; II n'est rien de vrai que le ciel. Tout soleil onit séleve et tombe , Tout trone est artificiel, La plus haute gloire succombhe ; Tout s'épanouit pour la tombe. Et rien n'est brflfint que le ciel, Navigateur dun jour d'orage, Jouet des vagues, le mortel, No voit qu'écueils sur son passage Et rien n'est calme que le ciel. Feuilleton du vourrier d'Ottaa Litter aturc. Une soiree dhiver. Ottawa <(4.C.) Jeudi motin 26 Novembre 1863. (Poce ue * Covraner."") SOUPIR . (Suite et fin.) THI Jran Remour " I1s devaient surprendre la garni-- son fédérale de Iile Johnson, délivrer les prisonniers, les emmener on Cana-- daéans des batiments frétés & cet ef-- fet, les conduire ensuite &A Halifax, puis a Nassau, d'oh ils auraient raga gné la confédération. _ La plus gran -- de partic des fonds était consacrée & payer lenr paesage pour ces divers pointe. 0 000 _ * En préscnce de cet état de cho-- ses, le gouvernement confedéré a ré-- solu d'essayer de secourir ces mal-- heureax ofi':iniers : dans ce but, il a organisé une expédition, comprenant trente six officiers et trois cents hom-- mes sous les ordres d'un capitaine qui s'est souvent distingué dans des entrepriees aussi hardies. Les offi-- ciers se sont embarqués & Wilming-- ton sur le steamer confédéré ZRobert E. 12e,ct ont débarqué & Halifax. La vente du cotou et du tabac; apportés par le steamer a fourni les fon£0 né-- cessaires, se montant & environ $110. 000. Les hommes sont venns par terre an rendez--vous général par cs-- couades. _ " Toute oYémtion uitérieure . sur les lacs était laissée A In discrétion de Vofficier coramandant : il @vait regn Pordre péremptoire et ;ifonrenx d'i-- viter toute atteinte & la neutralité britanique, et de se garder méme d'un semblant de tort international Si l'ile Johnson avait 6té prise, elle pouvait devenir la basse de nouvelles opérations contre le commerce yan-- kee sur les lacs. Mais le but réel de Vexpédition était de soustraire 2,-- 000 vies précieuses A la ernauté qui les a dévonées & une mort lente mais certaine, dats un climat qu'elles ne peuvent supporter." . " L'expédition qui devait effectuer ia délivrance des officiers confédérés retenus prisonniers sur lile Johnson, lac Erié, ayont échoud, il est bon d'6é-- carter les appréhensions mal fondécs répanduce par les versions fédérales, d'une conjuration canadienne qui au-- rait eu pour but Pinceudie des cités de POnest. -- Voici les faits tels gn'ils sont: on pent les accepter en toute streté. * Le Gonvernement de Washing-- ton ayant refusé de continuer Péchan-- ge des prisorniers de guerre aux ter-- mes convepus, a envoyé les officiers du Sud accoutumés & un climat tro-- pical sur File Johnson ; il y en A la 2,000, confinés dans des quartiers ignobles, qui répugneraiont & des bes-- tiaux. -- Il n'y a pas & douter que les ufficiers choisis pour cette prison sont cenx sur la eanté desquels le climat froid et humide doit agir de la fagon !a plus pernicicuse, Rfiur]e fait; clest une tentative de menrtre, qui épar-- gne Podieux de 'rseassinat onverte-- ment commis. LoEvening Telegraph nous fournit les rgnscignements suivants sur le complot américain formé en Canada et dont nous avons dit un mot dans notre numéro de lundi : Je le fis avec précaution, me pro-- mettant bien de ne plus boire dn champagne a ce prix. " J'étais venu pour me reposer de " mes fatigues dane co lien, pensant " étre en sureté, et voila que ce vilain "* bonchon, tout en m'é\'vifilnnt, vient ** me chaunger le nez de place." Et la--dessus i! se passa la main sur Particle endommage. #* Les polissons, ajouta--t--i}, si je puis "les empoigner ilss en suuviendlront." Aprés avoir déchargé sa colére, i1 s'étendit tout son long sur le lit. Bintot des ronflements sonores in'annoncérent qne jo pourrais . n'é-- vader. plosion. Je chrchai en vain & expliquer sa présence dans ce lieu, quand les paroles suivantes vinrent dissiper en-- tidrement mes doutes. " Oui, maudite boisson, s'écria--t--il, * clest toi quiest ln cause du malhenr * qui vient de marriver, * Non contente de faire le malhour de: " familles, tu fais encore celui des fi "gures, et malheureusement jon ai un "triste exemple dans lt mienne. J'aurais pout--Otre riailieurs, mais dans ce moment f'ens frayer. . Bien-- tot des paroles incohérentes parvin-- sant a mes oreilles. . Je distinguai les mots de polisson . » +. bouchon. ... , . .. buisson, . . . . . . , Bije les toumiq. . . ) --} . Et il] vint so placer'sur le lit en-- dessous dugquel y'étais. -- Quelle no fut pas ma surprise longue je reconnus que cétait le bedeau de la paroisse, gardien des liqueurs de M. le Curé AC+ * qui avait été viotime do Pox-- o malheur toujourstraine un malheur apres soi Prriootrom Un anglais regarde trop attentive~ ment le grand cadran de . |'hotel--de-- villo. _ Un filou lui enlevesa montre. L'anglais va faire sa déposition chez le commissaire de police, et avee un nccent que je n'imiterai pas: "Un petit canere qui n'avait rem-- porté aucun prix dans sa remion, passait, aprés la distribution d eoPrix, devant Uctalage d'un libraire. T rc-- margua sur un coin de étalage cos denx mots affichés en grosses lettres : PRIX DIVERS. LK BOS8U DESPRIT RIT DE sA Bose%. --On parlait 'antre soir, devant M. Victor Séjour,--qn'on dit de descen-- dance niegre--d'un individu gni an. raiten un tort grave envers quelqu'un on quelque chose --(n ne ménageait pas Nabsent, ct c'était a qui fernit & son tour un petit bout de réquisitoire Pendant que jo regardais la grosse quelle heure il est, un voleur me pre-- nait mon petit, quelle heure est--il. --Voyons, dit le spirituel drama-- turge, n'allons pas trop loin....on fait toujours les gens plus noirs qn'ils ne le sont. --Un musicien cherchait un pré-- texte honnéte, pour déménager, ct son proprietaire, qui s'en doutait, fai-- sait réparer la maison, exhausser le lancher, &o., espérant ninsi retenir f;Iocatairedéaafi{')ctionné. Monsicur, lui dit un jour cedernier, je quitte votre maison: mm profession nc me permiet pius d'y demenrer depuis qu'on y n havsaé le sol. Quelle est la chose que on com-- mence par Ia fin?--Cest un bon re-- pas (par la faim). --Surpris par une averse, M do Rotschild se réfugie sous une _ porte cochére ou il rencontre M-- de T. --Cela vous ennuic d'dtre mouillé, demande celni--ci 2 --Ur condamné & wort était en train do feuilleter une Bible, quand le prétre de In prison entra dane son earchot, Pas du tout, répond le baron, cetto pluie est excellente }mur la récolte. Cest de Por qui tombe du ciel. --Oh ! monsicur le buron, si c'était de For, vons seriez rosté an millieu de la ruc. «--®Monsieur le euré, répondit 1e condamné, je cherche un passage....... pour me sauver," En quel temips fautil jouer nux cartes pour étre heureux au jou !-- quand on est enrhumé, parce quon a tonjours de Patout (de /u touz),. --"Quel Hmasage cherchez--vons ? dit avec bonté Pécclésiastique. Pourries--vous dire combien il fan-- drait de tcm})u pour rebattre tous les matelas de Paris?--quinze minates, parce que Cest Paffuire d un quart dhoure (d'un cardeur). --Ah bah# --A un frane la séance.... Mais si tu voux, je to Yawemivlmqnu legon pour une bouteille.... --Au cachet, alors ? --Les artistes no savent pas se te-- nir, ceat un tort, voistu? Qa leur nuit dans Popinion....Ainsi quest--ce que tu fais en eutrant dans un salon{ ~--Je salue. --Tu salues ? fit le danseur en hans-- sant les épanles, eh bien! ce n'ost pag cela du tout....Je vais te dire ce qu'il faut faire! Quand -- tu ontres dans un salon, tu vas droit A la maitresse do la: maison....tu lui tapos sur le ventre en Ini disant. Eh bien! la grosse mére !| nous n'avons pas Pair d'; bouder sur| le roti, hein ? ..... Aprés cela, tu brises| une phalange & son mari, une vraie poignée de main, quoi puis, tu mots ton chapean sur le lit et tu vas Pas--| soir sur la commode ! Dans }ncllu ville meurt--on le moins riche !--Coest duns la ville do Périt Gueuz. n en tss Léopoldi dessinait dos zig-- aarnd tait brusquement,, gmluulelg't doux ou trois mots ln{uwrlellx, puis repre-- nait sa route..... Vernct fette les youx sur ce panvro 4inble;eale, sb jnequa I@ corde et dont le/gostume se distin gunit par une absengembdolue de linge lanc ou gris. --Quest--ce que tu fais aintenant? demanda--t--i1. --Professeur de belles manicres, dit Léopoldi. . Un jour, le peintve ~Alfred Vernet, rencontra le vioux danseur Léopoldi sur le trottoir de la nue des Martyrs, CAUSERLES. * La cataracte du Niagara n'est qu'une 'fmm.e deru a (wi?ti de In on-- taracte do mon cil, qui a'6tend A per-- te de vne. trq * I'homme ost un cigare .que Vn-- allume ot.que la fomme: fait. fumer. * J'aime mieux voir jouer les pigoes dn Souli¢, que d'en voir mettre .aux miens. * Daimemicux yoir un clair de lune qu'un clerc dhuissicr. * Dai remargué en refléchissant que Cristophe C'o!omb cst leNPremicr colomh qni ait débarqué au Notivertu Monde. 1 * On parle toujours des inaladiés sbrieuscs, jatnic 'doa maladies fort gaicn. U * J'sime migux voir mon énnemi sans monvement que ma montre. --I1 y w quelque temps, un colliet en diamants, dune valeur de $3000 avait été--volé A un riche citoyen de Bt. Touis. T1 n'eapé-- rait plus le recouvrer, lorsque la sempine derniére, i1 lui fut remis par un prétre catho-- lique; un pénitent le Ynl avait remis 'au con fessional. --Les ro'nes do la fashion" parisienne port 1t maintenant des porgnards tll'rmmcm cisg~ les, & leur cinture. Les andalouses, qui no sont pourtant pas: esclaves des mades, en portent A lours jarti¢res. "La Scie doit un tout petit mot de remet-- ciments i tout ceux qui ont bien voulu a'ac-- cuper do on entréc dans la vie publique, auswi accomplit--alle anjourd'hai un devoir de courtoisie, et prend--elle pour cela sa vpix Ia moins criarde. Elle remercie les journaux frangais et an-- glais qui echangent aveo elle ; tant bien que mal, elle essayera du faire profiter les petits consaile qu'ils lui ont adres:és.--Merci aux notabreux souscripteurs qui-- Pencouragent ; merci & la foule compacte des scres qui lui fournissent grafis six coloues de mati¢res hebdomadaires. Merci surtout n cette wima-- ble Mathilde du Uourrierd'Oftawn ; depuis longtempa elle la savait bien gracieuse, bien jolie et surteut bien bonno. 0. --Pourquoi dites vous en me vo-- yant : Oh' ce teint! oh! co teint! |répliqua la dame rouge de coldre. _ --d'appelais le directour. ~ ----Notre ani intime, Jules B..:.l..¢ [ est un vieux célibataire ui commen ce & so fatigner de cesnint otat, maia nous craignons fort qu'il puisso amér liorer sa condition, s'il n'gst pas plu1 soigneux quant d la wanitre dont i écrit ses lettres. -- L'autre iour il dert-- vit a deux jeunes demuisclles, Emélio et Clara, mais il adressa in lottre de Clara A Emélie ct cello d'Emélie@ Clara! de sorte qu'Emélie regut 16 pitre suivante : "NL\ chore,--V ons de-- venez folle quand yous m'atribucz le mauvais gout davoir la moindre at-- tention pour Emélie gui n'a ni beauté; ni bong seng, &c, &¢," Celle de Clakd était dinsi cengue :. Ohére Emélig Vousaves certauinoment Pesprit détré jalouse dg:Clara, qui n'udl')ua plus.de traits qu'un vilain melon d'eau. Flle a les mains rouges, les pieds énorind#, In pesu rude et de plus, olle cst folle, Non, chore Emétie, croyez--moi, et so-- yez sans craintes ; il n'y a que vyous quo faime, &c, &e," Pauvro Jules, son inconséquente maladresso sera, Ja cause do sa mort !-- On lit dans" Ze T\"uuw~orgt\nc dos scieurs do Québec : --Une demande de divorce,est maintenant pendante devant les tribunaux anglais ; el-- le ast {rite par un Révérend Ministre contre #a femue pour relations eriminclles entrete= nucs avec Lord Palmerston. Ce dernier qui est, croyons--nous, Ag& de prés de quatre: ving! cing ans, repousse cer to accusation, ot F'on dit en aa faveur qu'alle n'a été faite que pour Ini extorquer de Par-- gent. _ I1 n'y a vraiement que I'incorrigible Fils de Giboyer qu'elle wobstive a ne pas remercier ; le mu'fheuruux t a ed Paudace de faire sous--entendre . qmellemrait tes. dents un peu longues. Débiter de pargilles billev&-- sées sur lo beau aexe ; realy it is shocking! * C 1 * M. de B.se trouvait dana les cous lisges de la Gibé; en voyant le direc-- teur traverser Fextrémité du thédtre; il cria: Hostein! Hostein! Une ac trice qui entendit oos vris tmita M. de B. de polisson ot d'insolent; puis ell@ jouta: Bi_vous aves la permission doutrer dans les coulisses, vous n'a-- vez pas le droit diusulter les dames. ----Pardou, madaime, répendit M. de 1. étouné, jo suis 16jh de vouloir voud insulter, _ --Monsiout, ditit :Eiim%, yous! avez des prix divers : donnez--mot done > an prix de'sigessd; paps sera biew" : content. ; M I elonrg id _ * Mile Page diswjtun soiraux ar*" , -- Mile Lage dmul_uu golr qux Er_' Sonbee Smbert Amonits us \perait' la langup. --Ceat parce qu'il a tonjours D vert 8)01 lwb'oW'}w. 'ré;)ltci'\ihfi * ritholle fi!!'iw. L = --l'oun';lgirl?fidu\.n"u\l(ln Ch. Pergy. Gouttes Diencre Higvmendo sJu0T ~€ 180 #13%3 l apou Tant thmel